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 Rey Nolan

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Rey Nolan
D76M3 tueur Cannibale
Rey Nolan

Date d'inscription : 18/03/2014

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MessageSujet: Rey Nolan   Rey  Nolan Icon_minitimeMar 25 Mar - 16:03

Dossier du détenu Rey Nolan. Matricule: D76M3

   

   

   
  • Nom:Nolan (ouais, comme le réalisateur).
  • Prénom(s):Rey. Si quelqu'un me dit que c'est un blaze bizarre, je lui arrache la langue et la lui colle sur le front.
  • Sexe:Masculin, parce que les filles c'est des *£#@¤.
  • Âge:28 ans. Quoi? Je les fait pas? Comme c'est chentil!
  • Origine: Hispanique. Oui, c'est de la merde. Mais fallait bien que je naisse quelque part!
  • Nationnalité: Rook Islands. T'as aucune idée d'où c'est? C'est parfaitement normal. Moi non plus, d'ailleurs, héhé!
  • Casier judiciaire: Piraterie, prise d'otages avec torture mentale et physique (qui a débouché sur un tout petit petit meurtre, c'était pas ma faute c'était à cause d'un pétard je lui avait bien dit de pas avaler mais il m'a pas écouté et woooh je m'emballe), faux et usages de faux.
  • Poids: 89 kg. Chuis pas gros, chuis pas maigre, chuis parfait, okay? On répond oui quand on s'adresse au maître!
  • Taille: 1m85. C'est pratique, on me remarque pas trop dans la foule par ma taille t'as vu.

   
Psychologie du détenu:

Ok mais combien de lignes maximum? Parce qu'y en a pour des plombes pour que je t'explique tout ce qui se passe dans ma tête, mon pote. Bon, déjà, je suppose que si je suis ici, en tant que pensionnaire avec contrat à durée indéterminée dans ce merveilleux endroit, c'est que j'ai quelques problèmes, plus ou moins légers. Contrairement à pas mal de gens, je suis assez lucide sur ce que je suis, et c'est ce qui fait de moi quelqu'un d'un peu foufou et peu recommandable, si tu veux. En plus, dès qu'on me voit, on comprend qui je suis, je pense. Dès que je me retrouve avec quelqu'un qui ne fait pas partie de mon groupe de partenaires (pour comprendre, reporte-toi à ma biographie), un douloureux combat se livre sous mon crâne. Une partie de moi, la raisonnable, me dit timidement: "tu devrais peut-être le laisser partir, celui-là, t'as plein d'autres jouets...". L'autre, armée d'un bazooka, fait un véritable feu d'artifice dans mon cerveau, et clame: "ok, comment on va se le farcir, lui? On l'enterre vivant ou on lui fait manger ses propres orteils?". Autant vous dire que le combat est vite terminé. Mais les tortures de celui qui a eu le malheur de croiser mon chemin ne font que commencer, elles.
Je ne vais pas  vous décrire en détail ce que j'ai pu faire subir à mes cobayes, mais sachez en tout cas que le nombre d'électrochocs que peut endurer un homme parfaitement bien constitué avant de perdre ses dents et de se découper la langue est d'environ 21, et qu'il faut éviter de mettre des fourmis anthropophages dans les orbites préalablement énucléées de quelqu'un si on ne supporte pas les hurlements de fillette.
Je ne supporte pas qu'on claque les portes. Là où je vivais, y avait pas de portes, et c'était très bien, donc les portes, elles m'insu-portes (ahah!, ahah.).
Ah, oui. Si tu m'entends te dire la définition que j'ai du mot "folie", cours. Le plus vite, le plus loin possible (sauf en cas de masochisme prononcé).


   
Physique du détenu:

Déjà, j'ai un stock inépuisable de cigares et de débardeurs rouges. Le lien? Le rapport avec mon physique? Minute! Mes débardeurs sont à peu près tous couverts de cambouï, et/ou savamment déchirés/troués en divers endroits par divers instruments, et notamment, avec des brûlures de cigares. Si c'est moi qui ait brûlé mes t-shirts? Genre ça t'intéresse? Ben je me rappelle plus, mais je trouve ça plutôt cool. Pour compléter la tenue, j'ai souvent des pantalons de treillis ou des pantalons très larges (pour les mouvements brusques, c'est beaucoup plus pratique), et des sandales, ou des chaussures de l'armée, celles avec des talonnettes et trois mètre cinquante de lacets.
Je suis de taille moyenne, comme t'as pu le constater sur ma "fiche d'identité". Je suis franchement plutôt musclé, et j'en suis fier, parce que j'étais taillé comme un mikado, ado. J'ai un tatouage sur le biceps (un bracelet maori) et un dans la nuque (un P majuscule traversé de trois bandes irrégulières).
J'ai le teint plutôt hâlé, même extrêmement bronzé, puisque j'ai toujours vécu dans les îles. Ça change de tous ces gosses palichons que j'ai croisé dans ma nouvelle maison!, tu me diras! Hormis aux jambes et au visage, je suis complètement imberbe. Ok, c'est plutôt ridicule, mais mes poils m'ont laissé tomber, au niveau du torse, du coup j'ai l'air d'un gamin prépubère, torse nu. J'ai plus beaucoup de cheveux sur le crâne non plus: je me passe la tondeuse sur le côté et derrière, ce qui me laisse une courte mais épaisse crête d'un noir de jais sur le dessus, à la punk (sans les couleurs de tafioles).
J'ai des yeux marrons tout ce qu'il y a de plus normal, quoique soulignés de cernes profondes qui témoignent de la dernière fois où j'ai dormi normalement, et surmontés de sourcils assez broussailleux (le gauche étant séparé en deux par une méchante cicatrice, souvenir d'un combat plutôt épique entre moi et... une branche).
Mon nez est banal, mais pas ma bouche. Je la haïrais si elle ne me servait pas à énoncer mes tortures mentales. Elle est beaucoup trop large, ça fait poulpe, un peu, tu vois? Elle est entourée d'une magnifique barbe soigneusement entretenue, pas comme le reste de ma personne, et taillée selon les soins de mon barbier (comment je vais me démerder, maintenant, merde?!).
Enfin, j'affectionne particulièrement les babioles, que je fabrique à partir de restes humains, ou que j'emprunte pour une période indéterminée à ces mêmes humains. Ainsi, tu me verras souvent affublé d'une certaine quantité de colliers, bracelets en cuir (de quoi? Devine!), de bagues et de boucles d'oreilles.


   Biographie du détenu:

Accroche-toi.
Je suis né en Espagne, donc, dans une petite ville plutôt paumée. Mon père était recherché par la police nationale pour trafic de drogue, et il a attendu que je naisse pour s'exiler avec sa famille dans les Rooks Island, vu que ma mère, enceinte de moi, ne pouvait supporter le voyage avant. Je n'ai donc aucun souvenir de ce pays miteux, que je hais par-dessus par principe vu que c'est le pays qui a vu naître mon enfoiré de père. J'imagine que c'est lié. C'était un barbier alcoolique; or, lame de rasoir et rhum ne faisant pas bon ménage, il a tué ma mère durant une de ses cuites impressionnantes alors qu'elle lui reprochait de rentrer trop tard à la maison, et de ne pas rentrer assez d'argent. J'avais 7 ans et demi. Quelle histoire banale pour un type aussi extraordinaire que moi, me direz-vous! La suite est plus curieuse. Je me suis enfuie de la maison, cette nuit là, ou plutôt, de la case infestée de cafards et de scorpions dans laquelle on "vivait". Je me suis enfoncé dans la jungle, où je suis resté exactement 9 jours et 10 nuits. Je me suis nourri, dans ce laps de temps, de baies sauvages et de fruits exotiques dont la richesse en fibres et en vitamine m'ont donné une chiasse mémorable. Je me suis essuyé avec des orties, si tu veux tout savoir, et mon pauvre cul s'en rappellera toute sa vie. Bref. Je suis sorti de là hagard, égaré, et changé, peut-être. Je me suis mis à voir les choses de manière plus lucide, à comprendre les choses différemment, à les envisager sous un autre angle.

Quand mon père m'a retrouvé, j'étais dans la case (dans laquelle j'étais rentré pendant qu'il était parti me chercher), assis en tailleur à côté de la tâche rouge du sang séché qu'avait versé ma mère. Il devait avoir un mal de crâne pas possible, car quand il s'est accroupi devant moi pour me parler, j'ai vu qu'il tenait plaqué sur son front un linge crasseux vaguement humide. Il s'est mis à m'expliquer pourquoi ma mère était morte, que c'était dans l'ordre des choses, et que tout irait mieux. Je crois que mon air impassible, mon regard vide et mon rictus sur le visage ont du lui déplaire, car une minute plus tard, il me gueulait dessus comme un porc qu'on égorge. Et c'est exactement ce qui lui est arrivé. Je l'ai saigné avec la même putain de lame de rasoir qu'il avait utilisé sur ma mère, et merde, je me suis senti de mieux en mieux, au fur et à mesure qu'il se vidait de son sang et que ses hurlements se transformaient en gargouillis dégueulasses.

À partir de là, deux choses fondamentales me sont arrivées:
- La première: j'ai vécu seul pendant 14 ans et bordel je me suis bien débrouillé, hormis cet accident fâcheux qu'il m'est arrivé quand je suis tombé d'un arbre et que j'ai failli perdre mon oeil, laissant une magnifique cicatrice qui me rend encore plus charismatique que je ne l'étais déjà;
- La seconde: j'ai pris le goût du sang. Nous n'étions pas très nombreux, sur cette île, et nous le fûmes encore moins lorsque j'ai appris à manier les armes à feu. J'ai touché à tous les engins de mort et de tortures, mais j'ai un petit faible pour les armes à feu et les arbalètes. Sauf les mitraillettes. À part pour tirer en l'air, elle manquent singulièrement de classe.

J'ai rencontré, quand j'avais 21 ans environ, des gens qui ont pimenté mon existence. Ils se sont échoués sur mon île comme des vieilles merdes, il faut bien l'avouer. Ils étaient poursuivis par la police maritime, et, en s'enfonçant dans la forêt qui bordait la côte, il se sont retrouvés nez à nez avec moi en pleine partie de chasse. J'étais donc en train d'arracher des traits, qui avaient pénétré profondément dans la chair d'un écureuil, mince et unique prise que j'avais réussi à m'entreprendre de toute la matinée. J'étais plutôt de mauvaise humeur, donc, et imaginez l'état dans lequel j'étais quand une bande de guerrigueros mal baisés me sont tombés dessus et m'ont encerclé, le visage fou et l'air complètement paumés.

Je me suis rapidement remis de ma surprise et ai brandi mon arbalète en direction de ce qui semblait être le "chef" de cette curieuse troupe. Aussitôt, des lames de toutes les tailles, des flingues de tous calibres ont surgi comme par magie de divers ceintures, jambières, poches et se sont braqués sur moi. Je n'ai pas lâché prise, tenant le taré numéro 1 dans ma ligne de mire. J'ai fait comprendre aux autres abrutis que s'ils tentaient quoi que ce soit, ils auraient du liquide oculaire de leur pote partout sur la tronche. Celui-ci a semblé m'évaluer, ses petits yeux porcins se plissant sous l'effort de la réflexion (il avait l'air de le plus brute et stupide de tous, c'est pour ça que j'ai supposé que c'était le boss), puis a soudain éclaté d'un grand rire et a fait un signe de la main qui se voulait rassurant. Les autres ont hésité, puis ont baissé leurs armes. J'ai du répliquer un truc du genre "je préfère ça", histoire de pas perdre la face, ce qui a achevé de rendre le patron complètement fan de moi.

Je vais pas tout raconter en détail, mais en gros, il m'a expliqué que lui et ses compagnons étaient en fuite, qu'ils s'étaient échoués sur l'île car des flics étaient à leur poursuite pour trafic de drogue et recel, qu'ils comptaient bien s'installer ici car les poulets avaient pas autorité sur cette partie de l'archipel des Rooks Island, que je pouvais rester si je les faisais pas chier et qu'ils ne me ferait rien. Il m'a même proposé de rejoindre sa bande d'abrutis. Étant seul depuis vachement longtemps, n'ayant pas grand-chose d'autre à faire, j'ai accepté, et je suis rapidement devenu le bras droit de Dall (c'est comme ça qu'il s'appelait). À partir d'un certain temps, je me suis rendu compte que lui et ses potes avaient quelques différents: le reste du "gang" ne pouvait pas le blairer, et j'avoue que je comprenais pourquoi. Ce type était complètement inconscient, et ça atteint son summum en même temps que ça a décidé de sa perte.

Le jour où il a suggéré à toute l'équipe de recommencer le trafic de drogue (deux ans après notre rencontre), une mutinerie est survenue. Comme j'ai toujours kiffé ce genre de trucs, et que j'étais plus intelligent que les autres, j'ai pris la tête du mouvement, on a buté le cinglé, et je suis devenu leur nouveau chef. Je leur ai parlé de mes grands projets pour l'avenir, comme le germe du meurtre et du danger mûrissait dans ma tête, et tous sans exception ont accepté de faire partie de l'aventure.

On a donc organisé une vaste supercherie: on a répandu la rumeur selon laquelle notre havre abritait une large plantation de cannabis, et d'autres drogues dont vous ne connaissez même pas le nom, et on a fait en sorte que ça tombe dans l'oreille de tous ces pauvres connards haut placé qui s'enfilent sans distinction salopes, poudre et costumes sur mesure. On y est parvenu grâce aux anciennes relations de mes compagnons d'armes. Très vite, des yachts ont débarqué dans notre petit paradis.
Si on leur a donné de la drogue?
Haha.
On les a capturés, certains ont été exécutés sommairement (les moins prometteurs), les autres ont servi de cobayes. Et mes potes et moi nous sommes livrés à nos petites séances de torture et de meurtres organisés (mais je ne tuais jamais les victimes, je forçais les survivants à le faire: beaucoup plus marrant).
Le hic, c'est qu'une fois, on a capturé un type, qui a échappé à notre vigilance. Il a gagné la plage (je lui courais après), et a commencé à nager, quand il a rencontré par le plus grand des hasards une frégate de la police maritime (qui commençait à se méfier des disparitions des bateaux signalées près de nos côtes) qui effectuait une surveillance de routine, et, par je ne sais quelle putain de malédiction, on m'a arrêté, moi et mes potes, 2 ou 3 jours plus tard.

J'ai d'abord été enfermé dans un asile psychiatrique à Glasgow, mais quand on a vu que j'étais parfaitement conscient de mes actes et que j'essayais de m'évader (je tentais de creuser un tunnel dans le ciment friable de ma cellule avec le bec d'un canard que j'avais attiré jusqu'à ma fenêtre), et que j'ai crevé un des gardes avec ce même bec, on m'a transféré ici, à Deardeath Jail.
Ça te va, ou tu veux savoir à quel âge mes premières dents ont poussé et combien de fois j'ai menacé de faire avaler ses couilles à mes victimes?



Dernière édition par Rey Nolan le Ven 4 Avr - 17:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Rey Nolan   Rey  Nolan Icon_minitimeMar 25 Mar - 18:26

LA DEFINITION DE LA FOLIE!!!!

Sinon Bienvenue  welcome  Vaas Rey Nolan!

Il te manque que la bio, bon courage pour finir :3
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MessageSujet: Re: Rey Nolan   Rey  Nolan Icon_minitimeMer 26 Mar - 15:39

Ahah merci, oui il faut que je la continue elle est hyper longue :').
Arrr si tu me demandes la définition de la folie, tu vas avoir très très mal!
Bravo pour Camus, tu gagnes un point Smile.
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MessageSujet: A   Rey  Nolan Icon_minitimeVen 4 Avr - 18:13

A y est, j'ai fini la biographie!
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MessageSujet: Re: Rey Nolan   Rey  Nolan Icon_minitimeVen 4 Avr - 19:11

Bon c'est perfecto! Je te valide <3

Bienvenue ici petit taré! J'en profite pour faire de la pub, ya un event en préparation pour le mois de mai si ça te dit. C'est ici que sa se passe
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