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 You're my favorite drug [Rp de seqkse]

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MessageSujet: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeMer 2 Avr - 11:46

Pauvre Abel, il doit se sentir tout crasseux. En plus son uniforme lui colle à la peau. Je le tire par la main jusqu'à Caciope et lui réclame les clefs de sa chambre qu'il me donne sans poser aucune question. Il me demande s'il peut m'escorter en haut mais je secoue la tête. A cette heure là, il n'y  a aucun gardien en haut. Aucun gardien et aucun personnel tout court. Oh il y a les caméras de surveillance mais ils vont faire quoi ? Nous regarder ? De toute façon, la moitié des gardes me mange dans la main. Ils ne peuvent rien contre moi.
Dans les escaliers, je garde la main d'Abel dans la mienne. Pauvre chéri. Il doit être transi de froid avec le vent qui souffle dans cette partie du bâtiment. Les meurtrières ouvertes sur la tempête laissent passer un blizzard qui glace mes os alors que je suis parfaitement sec. Lui doit être complètement frigorifié. Courage Abel, tout cela ne va plus durer très longtemps. Je ne peux pas te laisser mourir de froid ne t'en fais pas. Ses chaussons font un bruit humide quand ils touchent les marches en pierre. Mon pauvre petit chiot, il doit tellement souffrir … J'aimerais le serrer dans mes bras mais il y a plus urgent.
Je ne me dirige pas vers la chambre de Caciope tout de suite. D'abord, je prends le temps de l'emmener à la salle de bain qu'il puisse prendre une bonne douche chaude. Un peignoir en pilou est suspendu dans la salle d'eau. Hypnotisant rapidement l'assistant bibliothécaire, je prends son vêtement et le mets de coté. Ensuite je déshabille rapidement  Abel, cherchant néanmoins le contact avec sa peau froide et humide. Et puis je le pousse dans une douche.


« Laves toi … »

Je détourne le regard en martelant ma tête de ''tu ne dois pas regarder !'' et je ne peux que regarder l'assistant bibliothécaire remettre ses vêtements sales et quitter la salle d'eau sans rien dire. Ici tout est plus propre, plus entretenu. Je devrais venir ici pour me laver à la place de cette salle de bain répugnante de l'étage des détenus.
Au bout d'un moment, je ne peux que regarder l'eau couler sur la peau délicatement bronzée de mon aîné. Déglutissant, je coupe l'eau une fois que j'estime qui s'est assez savonné et rincé et je lui tends le peignoir, l'habillant après lui avoir demandé de tendre les bras. Bon petit chiot.


« Tu vas bien ? Tu te sens mieux ? »

Maintenant je peux le serrer dans mes bras. C'est avec émotion que je passe mes bras autour de son corps frêle et que je l'attire tout contre moi. Reste avec moi et ils ne pourront plus te faire de mal.


Dernière édition par Liam Gantley le Dim 6 Avr - 21:21, édité 1 fois
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Abel Bone
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeMer 2 Avr - 14:51

Le Guide, une fois dans le couloir avec moi, me prit la main pour me conduire vers un gardien. J'eus un mouvement de recul instinctif, faisant la grimace et tirant un peu sur la prise de Monsieur Gantley. Je me méfiais intensément des gardiens d'ici. Jouer avec eux était plus que nul. Ils ne respectaient aucune règle et se contentaient de frapper jusqu'à soumission. Ils ne montraient aucune vraie force, juste un acharnement bizarre pour des mecs censés être du côté de la loi. Mais Monsieur Gantley ne demanda pas à l'homme de me faire quoi que ce soit, il récupéra juste des clefs et nous conduisit dans l'escalier.
Nous montâmes deux volées de marches qui m'épuisèrent et me laissèrent pantelant une fois dans le couloir d'un étage que je n'avais encore jamais visité. Et puis, nous allâmes dans une pièce dans laquelle je n'avais jamais mis les pieds mais me parla immédiatement. Je frémis. Une salle de bain.

Monsieur Gantley fit voler deux dés devant le visage d'un homme qui était là et s'en alla immédiatement après. C'était plutôt impressionnant, le Guide avait une grande force de persuasion ! Rien qu'avec son regard !
Et puis, il me déshabilla et je me mis à grelotter. La pièce n'était pas chauffée et ma peau était encore toute fraîche de la pluie que j'avais essuyée. Et puis j'avais bien l'impression, aussi, que ce coup de machin électrique y était un peu pour quelque chose. Pendant que ma combinaison glissait sur mes jambes et que mon débardeur remontait le long de mes bras, je frissonnai au contact des doigts de mon Guide. Je n'aurai pas vraiment su expliquer pour quoi, mais à ce contact, je ressentis un mélange de malaise et de contentement. Avec la sensation que ça venait d'un raisonnement de mon passé refoulé.
Une fois que je me retrouvai à poil, Monsieur Gantley me poussa dans la douche. Je grimaçai, les bras croisés sur mon torse. Non, non, non. Je n'aimais pas la douche. C'était humide et froid et mouillé. Et... Ooooooh ! L'eau était chaude, c'était presque délicieux.

Je me lavai plutôt volontairement pour une fois, bien que rapidement. Après quelques minutes, j'en eus assez et restai sous l'eau qui coulait, attendant que le Guide décide de me sortir de là. Quand il fit cesser l'écoulement, je poussai un soupir de soulagement. Enfin !
Je me retrouvai peu de temps après dans ses bras, serré bien contre lui, au chaud dans un peignoir tout doux qui chatouillait ma peau et absorbait l'eau. Je hochai la tête pour acquiescer à la question de Monsieur Gantley, puis fermai les yeux, détendu par l'atmosphère échaudée de la salle. Je passai mes bras autour du corps ferme du Guide, frottant mon visage contre sa combinaison. J'étais plutôt bien, là, et j'avais envie...

« Je suis fatigué... »

Comme pour appuyer mes dire, je partis dans un bâillement long, la bouche grande ouverte. Quand je refermai mes lèvres, des larmes qui avaient perlé aux coins de mes yeux dévalèrent mes joues. Je me sentais si las.
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeVen 4 Avr - 12:35

Le corps d'Abel tout contre moi me fait un effet inattendu. J'ai tellement envie de le mordre, de marquer chaque petites parcelles de sa peau. Je ne m'attendais pas à cela. Avec Ulrick, mes envies n'ont jamais été si charnelles ou si pressées. A chaque fois que j'avais envie de lui, je me contenais, je pouvais être satisfait rien qu'en le regardant ranger ses livres de loin. Tendant le cou pour placer un livre un peu plus haut, dévoilant sa nuque fraîche et délicate …
Je secoue la tête, chassant mon frère de mon esprit et me concentrant sur mon petit Abel. Il est si sauvage, est-ce que sa personnalité a pu déteindre sur moi quelque peu ? Est-ce que j'ai pu être transformé par ce petit chiot fou. Je ne sais pas si je dois me laisser entraîner mais une chose est sure, j'ai très envie de céder à la tentation, de me laisser aller. Oh ne sois pas ridicule Liam, tu ne peux pas. Ne serait-ce pas une marque de faiblesse ? Céder pour un animal comme Abel.
Je détourne les yeux, posant un regard désapprobateur sur une serviette qui traîne sur une cabine de douche comme si elle m'avait menacé. Je devrais me concentrer sur mon plan, voir si Ulrick est rentré à la minute et vérifier que tout va bien du coté de Caciope. Mais j'ai juste envie de rester auprès d'Abel. De le choyer comme s'il venait de perdre une jambe. Je ne peux pas faire. Je ne peux pas le laisser non plus.
Séchant pensivement les cheveux de mon animal avec une serviette attrapée au hasard, je le regarde dans les yeux. Il me semble être celui que j'ai cherché en Ulrick toutes ces années. Le consentement , la joie de vivre, la fidélité inconditionnelle. Est-ce que je me serais trompé de cible ? Est-ce que le Destin m'a guidé jusqu'ici uniquement pour que je rencontre Abel... ? Cette hypothèse semble un peu tirée par les cheveux quand même. Je ne vois pas comment Dieu aurait pu me laisser dans une pareille incertitude jusqu'à l'âge de vingt neuf ans.
Je resserre la ceinture du peignoir qui glisse sous mes doigts agréablement avant de retirer la serviette de ses cheveux. Il est tellement mignon comme ça, sans sa muselière, sans aucune attaches pour retenir sa liberté. Et j'ai encore plus envie de le mordre. Alors je l'attire à moi dans un baiser violent et j'en profite pour lui mordre la lèvre, faisant couler un peu de sang sur nos langues entremêlées.
Le goût du fer me fait frissonner alors que mes mains caressent les hanches d'Abel par dessus le peignoir. J'ai envie de lui arracher mais je dois le ménager, je dois lui faire du bien. Il faut que je l'emmène à la chambre de Caciope et que je le couche dans le lit. Il faut qu'il dorme, il m'a dit qu'il était fatigué. Alors, quand nos lèvres se séparent, j'ai un regard brûlant mais néanmoins plein de regrets.
Ma main prend la sienne et je plonge mon regard dans le sien.

« Je vais te mettre au lit Abel. »

Dans le couloir, nous ne croisons aucun garde. Heureusement, je n'aurais pas envie de me battre alors qu'Abel est encore faible et a besoin d'un bon lit douillet. La chambre contient deux lits mais un seul est équipé de linge de lit. Le gardien qui partageait la chambre de Caciope a démissionné le mois dernier.
Ouvrant les draps chauffés par une bouillotte au fond du lit, j'indique à Abel de s'y glisser et je referme les draps sur lui. En y réfléchissant, je ne peux pas laisser ce pauvre petit chiot là comme ça. Quelqu'un pourrait entrer et puis il a besoin de soins non ? Il a besoin que je reste avec lui. Je suis persuadé qu'il pourrait désespérer et ne pas dormir du tout si je m'en allais. Alors je dois rester et … Hm …
Mes lèvres fondent sur les siennes alors même que je n'ai pas pu trouver d'argument valable pour les en empêcher. Je n'ai pas eu le temps. Cet instinct, cette pulsion est plus forte que ma raison. J'ai envie de le serrer contre moi. Alors je soulève les draps et je viens contre lui. Mes mains s'infiltrent partout sous le peignoir, ne lui laissant pas le temps de comprendre ce qui se passe. Tu perds la tête Liam. Arrête ça, il n'est pas encore trop tard. Personne ne saura que tu as déparé un instant et ton honneur sera sauf.
Je n'en ai pas envie.
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Abel Bone
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeVen 4 Avr - 18:30

Nous nous séparâmes, alors que j'étais prêt à m'endormir dans les bras de Monsieur Gantley. Celui ci tendis le bras pour attraper une serviette et m'ébouriffer les cheveux avec. Je fis la grimace comme un gamin mécontent, ce que j'étais. Mécontent. Je n'aimais pas qu'on me tripote comme ça, mes cheveux étaient tirés dans tous les sens et des gouttes venaient se coller à mon visage ou menacer de piquer mes yeux. Lorsque la torture se termina, Liam Liam resserra la ceinture de mon peignoir. Et retira la serviette. Je me sentis libérer, cette chose pesait sur ma tête autant qu'un cadavre d'animal.
Je n'eus cependant pas le temps de profiter de la légèreté retrouvée de mon crâne car le Guide m'attira soudain contre lui. Je crus d'abord qu'il y avait une attaque et qu'il voulait utiliser mon corps comme un bouclier, ce qui serait tout à fait légitime. J'étais prêt à souffrir pour lui, mis que pour lui.
Il me détrompa rapidement. Ses lèvres se collèrent aux miennes et mes yeux s'écarquillèrent, sous la surprise et... Je ne savais pas trop, une autre sensation, qui me fis poser mes mains sur son torse, dans un geste de rejet. Mais je ne le repoussai pas. En fait, je laissai même mes coudes se plier pour lui permettre d'être plus proche de moi. Et quand il me mordit, j'eus un sursaut de plaisir.
Oui ! Montre moi ta puissance, ta valeur, montre moi à quel point tu me domines !
Mes yeux se fermèrent et ma tension retomba, en même temps que mes doigts se crispaient sur la combinaison du Guide, comme si je voulais l'arracher de son corps. Le goût de mon propre sang, sachant que c'était Monsieur Gantley qui l'avait fait jaillir de ma chair, m'excita au point que je durcis entre mes cuisses. Est ce qu'il le sentait ? Est ce qu'il savait à quel point je l'admirais ? A quel point je pouvais boire ses paroles et me délecter de sa toute puissance comme on se nourrissait beaucoup trop ?
Mais il me lâcha, trop vite. Pourtant, je sentais instinctivement que ça aurait dû continuer. Quelque part, même si je ne savais pas où. Il me regarda droit dans les yeux et me dit qu'il allait me coucher. Pourquoi donc ? J'allais bien mieux maintenant ! Je pouvais me coucher tout seul ! J'étais même certain que je pouvais retrouver le chemin de la cellule tout seul d'abord !

Liam Liam Gantley me conduisit dans une chambre de l'étage où nous étions déjà, à ma grande surprise. Mais ce n'était pas notre cellule ! Quoi, j'avais le droit à un traitement de faveur pour avoir été emmerdé par cette fille ?
Bon, je n'allais pas me plaindre. Je me glissai donc dans les draps ouverts par le Guide, respirant la bonne odeur du linge et goûtant au moelleux du matelas. Il me recouvrit et je fermai les yeux, m'apprêtant à dormir tout mon soûl. J'étais toujours excité, mais ce n'était pas grave. Ce n'était pas la première fois que je me retrouvais dans cet état et ça c'était calmé tout seul.
Mais le Guide ne me laissa pas faire. Il m'embrassa encore et vint se mettre avec moi dans le lit, se colla à mon corps. Oooh... Ses mains glissèrent sur ma peau encore un peu humide et mon entrejambe se dressa plus encore. Mon peignoir qu'il avait si bien serré autour de ma taille était tout ouvert, la ceinture ne retenait plus vraiment rien, même si le nœud était toujours là.

Sous ses caresses, je me cambrai brutalement et gémis, alors que mes mains s'accrochaient à ses manches, sous les épaules. Tout ça, ces sensations, je connaissais. C'était un peu comme avec Eden, quand je l'embrassais et que je me serrais contre elle. Sauf que là, c'était plus fort. Et ma mémoire était titillée. Je connaissais de mon ancienne vie. Celle que je faisais tout pour enfermer sous clef dans ma mémoire, au fond de mon cerveau. Je ne voulais pas me souvenir. Ou plutôt, j'avais toujours moyen d'accéder à mes souvenirs, qui refaisaient d'ailleurs parfois surface sans que je le veuille. Mais je les ignorais superbement. En tout cas, c'était bien. Je n'avais aucun mauvais pressentiment.
Mes doigts s'accrochèrent à l'ouverture du vêtements du Guide et j'en baissai la fermeture, tout en frottant mon corps contre le sien. Je découvris ensuite le haut de Monsieur Gantley, brutalement, luttant contre cette saloperie de combinaison. Et dans un sursaut d'adrénaline, je déchirai son débardeur.
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeDim 6 Avr - 16:30

Sa peau frémit sous mes caresses. Elle est brûlante. La mienne doit l'être aussi. Déglutissant, je ne peux m'empêcher de remarquer sa beauté sauvage, maladroite. Est-ce qu'il a toujours été comme ça ? J'ai la mauvais impression que tout cela a changé brusquement quand je l'ai trouvé dans ce placard à balai. Il a changé. A mes yeux du moins. Je ne me fais sûrement que des illusions mais peu importe au final. Ce qui compte c'est ce que je vois, ce que je ressens, ce que je veux. Je suis son maître après tout non ? Me mordant la lèvre, je regarde ses cheveux encore mouillés tremper l'oreiller. Qui s'en soucie ?
Mes yeux regardent ailleurs, cherchant une échappatoire, une raison de ne pas faire cela. Une raison de ne pas céder à la tentation qui menace un peu plus de m'engloutir à chaque seconde qui passe. Aucune photo de famille pour me rappeler ma propre famille, aucun bibelot qui pourrait me rappeler ceux que mes oncles ramenaient de voyages pour Ulrick et moi. Rien qui ne puisse me tirer de ce rêve éveillé.
Sa peau est toujours offerte à ma bouche qui ne se fait pas prier pour l'embrasser, la lécher et même mordre à certains endroits sensibles. Sa peau hâlée par le soleil de son Australie natale me donne envie de mordre dedans à pleine dents, sauvagement, sans penser à sa sécurité ou à son plaisir. Je suis peut-être trop habitué au masochisme de mon petit frère adoré. Non … je ne dois pas penser à lui. Ce serait le souiller.
Un souffle erratique passe à intervalle régulier entre mes lèvres. Je ne suis pas sur d'inspirer encore assez d'air pour garantir à mon corps une durée de vie suffisante mais je m'en fiche quelque peu. Pour vivre, il faut ressentir. Je ferme les yeux, essayant de me concentrer sur le corps sous le mien, encore prisonnier d'une robe de chambre lâche. Je ne dois plus réfléchir, sinon je pourrais penser à Ulrick et faire une crise de nerf. J'ai besoin de relâcher la pression.
Jamais je n'ai apprécié autant un corps, même pas celui d'Ulrick. Ah … Je ne peux pas m'empêcher de réfléchir et de penser à lui. J'essaye de noyer mes pensées dans le désir alors que le mordille la peau du cou d'Abel, mouvant lentement mon bassin contre le sien, ma respiration résonnant toujours dans l'espace confiné sous la couette. Si j'aime Ulrick plus que n'importe qui au monde, Abel est sans doute celui avec lequel j'ai le plus de feeling sexuel. Une attirance sexuelle violente et, je l'espère, réciproque. J'ai envie de lui faire mal, de me faire mal. Sa sauvagerie naturelle m'impressionne. Et me donne envie de le soumettre, de l'entendre crier.
Est-ce que je suis dérangé ? Ce corps qui se tortille sous le mien est un corps d'adolescent, au mieux. En le voyant la première fois, je ne lui aurais pas donné plus de vingt ans et me voilà en train de mordre ses tétons, de masser son entrejambe. Je n'ai jamais été attiré par les enfants et mes choix se sont toujours portés sur des gens plus vieux que moi, sauf pour le cas d'Ulrick. Je pense être plus attiré par son énergie que par son corps.
Mes lèvres viennent trouver les siennes alors que je le bascule au dessus de moi, observant avec délice tout ce que le peignoir moelleux laisse entrevoir. Toutes les zones cachées n'en sont que plus délicieuses, plus excitantes. J'ai toujours aimé devoir imaginer des choses. La vie serait tellement plates si on avait toujours tout cuit dans le bec. Ma langue vient trouver la ligne de sa mâchoire, son oreille, son cou, son épaule.
Ses gémissements m'ont fait durcir mais quand il ouvre ma combinaison et déchire mon débardeur, je ne peux m'empêcher de moi même pousser un gémissement langoureux à son oreille. Un gémissement excitant, rauque. Je viens ensuite le mordre le lobe de l'oreille assez fort pour qu'elle soit rouge et lèche cette rougeur tentante. J'ai presque envie de le faire saigner. Mes mains passent sur ses fesses et ses cuisses, caressant sous le tissu du peignoir.
Haletant, je prends ma voix la plus sensuelle pour lui donner un ordre :


« Déshabille moi entièrement. Quitte à tout déchirer »

J'espère quand même retrouver ma combinaison dans un état à peu près potable pour sortir d'ici. Oh au pire j'emprunterais de quoi rentrer décemment dans ma cellule à Caciope.
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeDim 6 Avr - 20:32

DBSK ♫ Purple line

J'obéissais au Guide. Je me fiais à lui de toute mon âme, de toute ma raison, de tout mon corps, de tout mon instinct. Je ne pouvais pas le repousser, parce qu'il était le Guide. Aucune barrière ne devait lui être imposée. Parce qu'il était le Guide. Et puis, parce qu'il avait toujours une bonne raison de faire ce qu'il faisait. … Pourtant, il y avait autre chose, quelque chose chose de perceptible dans les réactions de mon corps. Le plaisir, le désir. Oui, c'était quelque chose comme ça.
Je frémissais sous sa langue, je me cambrais sous ses morsures, je gémissais sous ses caresses. Mon corps tout entier était excité, les nerfs à fleur de peau, plus seulement mon appendice sexuel.

Il nous fit basculer et je me retrouvai soudain à califourchon sur lui, contre lui, sa bouche tout contre mon oreille. Ses mains remontaient sur mes cuisses et mon fessier, ses dents mordaient mon oreille, puis sa langue la léchait. J'étais tout tremblant, aux limites de ma patience. Sauf que je ne savais pas quoi faire. Je ne savais pas ce que voulait le Guide mais surtout, je ne savais pas ce dont j'avais envie, moi. Alors je restai un peu bloqué, après avoir déchiré son vêtement. Et puis, je m'attendais un peu à ce qu'il me réprimande. Après coup, je m'étais rendu compte que ce n'était sans doute pas bien de détruire comme ça les affaires de Monsieur Gantley.
D'un autre côté, il semblait aimer. Et même beaucoup aimer. Ou alors il souffrait, mais quand on souffrait, on n'encourageait pas l'autre à continuer, non ? Mon instinct me soufflait en tout cas que Monsieur Gantley était content, il était aussi dur que moi, au même endroit. Et ça m'excitait encore plus de le voir et de l'entendre, dans cet état. Un sourire démoniaque étirait mes lèvres, que je léchai lorsqu'il m'ordonna de lui arracher tous ses vêtements. Bien sûr ! J'étais particulièrement ravi de cet ordre à cet instant, alors je m'empressai de l'exécuter.
Je me décalai en arrière, pour m'asseoir au niveau de ses genoux, et agrippai en premier lieu les morceaux de son débardeur déchiré de part en part. Je tirai dessus sans douceur, à plusieurs reprises et dans tous les sens, pour le dégager entièrement du corps de Monsieur Gantley. Quand j'en eus fini avec ce truc, il était en morceaux dans mes mains, et je les jetai de tous côtés en secouant les bras comme un oiseau cherchant à s'envoler. … Putains d'oiseaux !

Restait la combinaison. Je devais obéir. J'en avais envie. Mais quelque chose me retint : la vue du torse complètement nu du Guide. J'avais très envie de l'imiter, de faire ce qu'il m'avait fait un peu plus tôt. Mais je devais obéir !!
Je me forçai alors à le débarrasser de son vêtement principal en me déplaçant sur le lit, entre ses jambes, à genoux. Et puis je le jetai comme s'il me brûlait les doigts, par terre. Restait ce sous vêtement. Est ce qu'il était hideux ? Franchement, j'étais incapable de me faire un avis sur ce genre de choses. Parce que je m'en foutais. D'ailleurs, je me demandais bien ce qu'était venue foutre cette question dans ma tête. Je me secouai pour l'effacer de mon esprit et partis à l'assaut de Maître Gantley.
Avec ma bouche, je léchais et mordillais ses tétons. C'était bon, il sentait bon. Son parfum était celui de la propreté et autre chose aussi. Bref, son odeur m'attirait beaucoup. Elle me rassurait. Quand je la sentais dans mon dos, j'étais bien. En sécurité.
Mon nez se heurta à un bijou. Une croix en or. Je fronçai les sourcils. Ca me rappelait la fille de cet après midi. … Non, ça devait vouloir dire autre chose pour Maître Gantley. Il ne pouvait pas détenir cette ignoble faiblesse : la foi. Alors, j'empoignai le pendentif et tirai brutalement dessus. Le fermoir céda sous la pression et je balançai le bijou au loin. Comme pour réapproprier cette partie de mon Guide, je me mis à lécher et mordiller avidement la peau de son cou de son torse.
Ma main descendit sous son nombril et commença à dégager le sous vêtement, dernier rescapé de l'ordre de Monsieur Gantley. Sa majestueuse dureté cogna contre ma main, qui l'empoigna et serra. J'avais un sentiment étrange. … Je voulais posséder mon Guide. Parce qu'il était MON Guide. Il y avait Rose Eden aussi mais ce n'était pas la même chose. Même si je ne pouvais pas déterminer exactement pourquoi. En tout cas, comme je l'aimais bien, je ne voyais pas d'inconvénient à ce que, elle aussi, reçoive les instructions éclairées de Monsieur Gantley.

Lorsque j'eus bien humidifié la peau du Guide, je reculai pour lui retirer son sous vêtement. Son entrejambe était là et... si elle avait eu des bras, elle me les aurait tendus. Je fondis sur cette virilité demandeuse et la léchai de bout en bout, plusieurs fois, comme si j'appréciais l'une de ces sucreries montées sur bâton qui m'étaient depuis longtemps étrangères. J'en suçai le bout, avant de l'engloutir, comme si c'était quelque chose de tout à fait naturel. Mes joues étaient brûlantes, la pointe de mes cheveux encore humides chatouillaient le nombril du Guide, et mes mains se crispaient et se décrispaient sur ses cuisses.

J'en voulais plus, mais quoi ? Quoi ? Je ne savais pas. Alors je continuais. Malgré mon entrejambe qui me brûlait, malgré toute la tension dans mon corps frémissant.
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeLun 7 Avr - 16:55

Mon souffle se coupe brusquement quand je le sens réagir à mes caresses. J'ai tellement envie de lui, de le dévorer tout entier. J'ai envie de le mordre, de le griffer. Je sais qu'il fera tout ce que je lui demande. Mais cela n'est pas ce qui m'excite le plus. Je sais maintenant qu'il prendra des initiatives. Qu'il voudra me mordre, me griffer. Il a répondu par la positive à mes avances. Il ne peut pas se contenter de suivre mes ordres, je l'ai vu dans ses yeux. Il est excité, brûlant. Depuis combien de temps est-ce qu'il n'a couché avec personne ? Est-ce qu'il l'a déjà fait avec un homme ?
Ses gémissements ont éveillé en moi une bête que peu de gens ont vu auparavant. Je me demande même si mes deux épouses m'ont déjà mises dans un état pareil. Le meurtre me met dans un état presque similaire c'est ça mais l'excitation sexuelle a une saveur spéciale. Elle apporte une frustration, un délicieux état de transe. Le meurtre est définitif mais le sexe c'est justement sur la longueur qu'il est le plus appréciable. Ulrick est le seul à me mettre dans cet état où je ne parle plus que par grognements. Était … Avant Abel. Comment est-ce que j'ai pu me retenir de dévorer une énergie comme la sienne avant ? Je le désire, tout mon être se tend vers lui, sans même que je ne puisse le contrôler.
Toucher sa peau est un délice. Elle n'est ni trop douce, ni trop râpeuse. Il a une peau propre à lui même, à sa condition d'homme enfant, à son comportement d'animal. Pourtant, tout cela ne fait que passer par mon cerveau, sans y rester bien longtemps. Je ne peux plus me contrôler, me concentrer très longtemps. Il semble neutraliser mes neurones, les réduire à l'état de bouillie. Est-ce qu'il apprécie mes gestes ? Je n'en doute pas …
Cette langue qu'il passe sur ses lèvres me rend tout frémissant. Je veux qu'il me touche ! Abel je veux que tu m'appartiennes. Après tout, tu es à moi n'est-ce pas ? Rien qu'à moi. Je me colle le plus que je peux à lui et essaye de me retenir de lui sauter dessus. Être sous lui ne signifie pas que je suis soumis. Au contraire, je ne peux que le dominer encore plus. Et la vue que j'ai d'en dessous me convient parfaitement. Son visage est beaucoup moins enfantin lorsqu'il est dans cette situation. Heureusement. Il a un certain air sur le visage auquel je ne pourrais pas donner d'adjectif. Peut-être parce que je ne veux pas en mettre. Parce que j'ai peur de réaliser que je pourrais être la proie.
Quand il recule pour déchirer le reste de mon débardeur je souris. Les confettis de tissus qui tombent autour de nous me rappellent la neige. La neige de l'Irlande, si pure, si belle. La neige qui tombe sur les moutons et l'herbe verte. Celle qui ne peut pas être salie. Pas comme celle d'ici, celle qui est noire avant même d'atteindre le sol. J'aime la neige. Elle me rappelle mon enfance, nos jours heureux.
Je le vois hésiter devant mon torse presque complètement découvert. Il semble perplexe. Je lui ai donné un ordre pourtant, il n'y a pas à réfléchir. Est-ce qu'il me contemple ? Ce serait étrange de sa part. Après un instant de vide, il entreprend de me retirer ma combinaison et je me laisse faire en souriant. Comment est-ce que dois réagir ? Je n'en ai aucune foutue idée. Peut-être que je suis juste sensé ne rien faire. Je n'ai jamais été obéi.
Ma croix est lancée au loin et je déglutis, faisant la moue. Non, je ne dois pas rabrouer mon animal. Il a raison. Cette croix est celle d'Ulrick, sa croix reçue en cadeau lors de sa communion. Je lui ai volé avant de partir de la maison, juste après l'assassinat de Lynda. Abel a raison, je dois oublier Ulrick le temps de cette coucherie. De toute façon, il faut bien que je relâche la pression. Ulrick ne m'en voudra pas, j'en suis sûr.
Après m'avoir léché avidement, alors que je lui caressais et griffais le dos, il vient lécher mon sexe. Oh nom de Dieu ! Je ne peux pas douter une seule seconde qu'il n'ait jamais rien fait avec un homme après ça. Aucun hétéro pur et dur ne se jetterait sur une queue comme ça. Je rejette la tête en arrière et plonge mes mains dans ses cheveux, émettant des gémissements de plus en plus forts et demandeurs. Il va me tuer …
Je le saisis par les dits cheveux après un moment et le rehausse à ma hauteur pour l'embrasser à pleine bouche et lui griffer violemment le cou. Mes hanches remuent contre les siennes, frottant son membre contre le mien. Une de mes mains est crispée sur sa cuisse tandis que l'autre maintient ses lèvres contre les miennes d'une forte pression sur sa nuque. Un grognement m'échappe alors que je me sens de plus en plus fébrile. Je le plaque violemment au matelas et halète, tout contre ses lèvres. Je saisis une de ses mains et fait rentrer un de ses doigts dans mon intimité en lâchant un gémissement que je n'aurais pas voulu aussi appétissant. Mes yeux lui lancent un ordre silencieux que, j'espère, il a comprit. Prépare moi ou je te décalque la gueule.
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Abel Bone
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeLun 7 Avr - 20:44

Sex, sex, sex... ♫

Est ce que Monsieur Gantley aimait ça ? Oui, pour sûr! Je le sentis glisser ses mains dans mes cheveux mouillés, tirer dessus. J'en grognai et mordis sa chair, juste assez pour le faire crier. Mais j'aimais malgré tout, être malmené de cette façon par mon Guide.
Je poursuivis mes actions buccales jusqu'à ce qu'il me redresse en me tirant par les cheveux. Je gardai mes lèvres collées à sa peau jusqu'à la dernière minute et lorsque je relevai la tête, ce fut pour regarder Monsieur Gantley, la bouche entrouverte et la bave au coin des lèvres. Je suivis le sens de ses tiraillements, remontant, pour me retrouver ensuite forcé à l'embrasser.
Une douleur fulgurante au niveau du cou me fit sursauter et je mordis la lèvre du Guide, juste avant de gémir en me cambrant. Il se frottait à moi, bassin contre bassin, et c'était saisissant. J'en avais des spasmes violents et la chair de poule. Mais tout ce que j'avais le droit de faire, c'était l'embrasser, il se chargeait de m'empêcher de fuir, sa main pressant l'arrière de ma tête. Ah si, aussi... Je bougeais mon corps tout comme lui le sien, me frottant aussi fort que possible contre son entrejambe. C'était trop bon !

Et puis tout s'arrêta. Je me retrouvai basculé sur le côté et plaqué au matelas. Mon peignoir ne cachait absolument plus rien, mais j'avais toujours la ceinture pressée contre ma peau, le nœud au dessus du nombril. Je haletais, avide, pressé. Mais je me contenais, comme toujours, attendant les ordres. Monsieur Gantley saisit sa main et je ne réussis pas à deviner ce qu'il voulait en faire. Je compris en sentant mon doigt pénétrer un endroit chaud et un peu humide. Ca m'excitait atrocement, sans que je sache pourquoi. En tout cas, je raidis mon index et l'enfonçai au plus profond que me le permettait sa taille. J'avais le sentiment qu'une partie de moi comprenait les choses et que je devais me laisser simplement guider par sa voix. C'était comme lire un mode d'emploi point par point, tout en exécutant les instructions au fur et à mesure.
Le regard que me lança Monsieur Gantley était impérieux. Il voulait quelque chose de moi, tout de suite, sans attendre, et je devais le faire bien. Sinon ça allait très mal se passer. Sauf qu'il ne précisait pas quoi. Je devais agir vite, alors je me laissai porter par mon instinct et la petite voix du manuel d'utilisation. Je forçai donc le passage de son espace chaud avec mon majeur, et commençai à bouger en lui, gentiment d'abord, parce que c'était plutôt serré. Et puis, quand je pus bouger plus facilement, j'y allai férocement, guettant les expressions sur le visage de Monsieur Gantley. Il semblait être relativement content de moi, aussi rajoutai-je rapidement un troisième doigt, pour ensuite bouger toujours plus vite.

Mon autre main s'accrochait de plus en plus fort à sa cuisse, j'enfonçais mes ongles, traçais des sillons blancs, qui devenaient rouges. Je le mordais au visage, à divers endroits, comme la mâchoire ou l'oreille. Ou le nez. Les lèvres aussi. Mais j'évitai les yeux.

« Haaaan ! Monsieur Gantleyyyy ! J'ai besoin de... Besoin de... Besoin ! »

Je me tortillais sous lui, les yeux parfois clos, parfois ouverts droit sur lui. J'avais terriblement chaud au bas ventre. Et je ne savais pas ce que je voulais. Je n'arrivais pas à formuler avec des mots, ni même avec des images. Mais je me sentais sur le point de péter un plomb.
Je fermai soudain très fortement les yeux et lâchai un ultime gémissement rauque. Mes doigts s'enfoncèrent brutalement au fin fond de Monsieur Gantley, y restèrent quelques secondes, puis se retirèrent violemment.
Je plaquai ensuite mes mains sur ses épaules et le repoussai, juste assez fort pour qu'il se redresse et s'assoit. La position était parfaite, c'était ce que me soufflait la voix. Je me glissai alors derrière lui et me plaquai contre ses fesses. Sauf qu'il ne se passa rien. Mon entrejambe était dressée entre ses cuisses et si ça faisait du bien, je n'étais pas certain que ce soit ça qu'il faille faire.

De nouveau, j'écoutai la petite voix et remontai mon bassin. Pour le pénétrer, dans ce même endroit chaud et humide où j'avais glissé mes doigts. C'était large, accueillant. Mais je l'élargis encore plus, dans un gémissement puissant et violent. Et je me délectais de ceux de Monsieur Gantley.
J'agrippai ses hanches et poussai mon corps en avant, m'arrachant un grand cri de satisfaction. J'étais calmé, jusqu'à ce que la brûlure revienne. Mais j'avais assez de sang froid pour me demander si Monsieur Gantley était d'accord avec ce que je faisais. Après tout, il n'avait rien demandé. Peut être qu'il n'aimait pas que j'ai cette partie de moi toute raide, tout au fond de lui.
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeMar 8 Avr - 14:58

Mon animal préféré n'était pas en reste quant aux initiatives. Il avait bien comprit que je ne voulais pas de petit chiot soumis et tant mieux. Je ne lui aurais pas expliqué. C'est de sa charge de me comprendre dans que je ne lui dise rien. Il ne manquerait plus que ça, que je m'abaisse à lui pour lui faire des cours.
Sa salive sur ma peau, sur mon sexe se mêle à ma propre sueur et à l'eau de ses cheveux et de sa peau. J'halète bruyamment quand je le sens contre moi. Je suis dépassé par mes sensations, dépassé par lui, par ce qu'il représente. Le mal … Le péché. Je suis tenté par Satan et je ne m'en sens même pas coupable. Je trompe ce pauvre Ulrick …
Je sens ses mouvements de hanches et ils me tirent quelques gémissements, rapidement étouffés par les lèvres et la langue d'Abel. Du sang se mélange à nouveau à notre échange. Je ne peux pas m'empêcher d'user de mes dents sur ces lèvres tentatrices. J'aime le goût de son sang. Il a le goût de terre et de sueur. Il a le goût d'un animal sauvage. Mes mains ne veulent pas se séparer de son corps, comme si elles avaient peur qu'il ne s'enfuie.
Alors que je lui demande silencieusement de me préparer à le recevoir, il réagit rapidement. Je le sens bouger en moi, m'étirer, m'élargir. Je ne peux réprimer quelques mouvements de hanches maladroits qui me donnent encore plus envie de lui hurler de se dépêcher. Mais il sait bien – du moins il semble savoir – que s'il va trop vite, je pourrais avoir mal et lui arracher les yeux avec les dents. Alors il y va atrocement lentement. J'ai envie de le frapper mais je ne le ferais pas.
Il prend son temps l'enfoiré et moi je suis collé à lui, soumis à diverses morsures et je ne peux rien faire. Voilà longtemps que je n'ai pas eu un partenaire sexuel aussi violent et je dois avouer que je suis impatient de voir quelle sera la suite du jeu. Gémissant, peinant à reprendre mon souffle, je reste à sa merci, volontairement. Ma voix rauque et grave raisonne dans la pièce alors que je jette un coup d’œil à la porte immobile. Elle n'a pas bougé. Oui j'ai du m'imaginer des choses.
Sa voix me fait donner deux coups de reins plus violents et je sens même de la bave couler le long de ma mâchoire. Il me met dans un état impossible. Un instant, le visage rouge et crispé de plaisir d'Ulrick passe devant mes yeux fermés mais je le chasse. Laisse moi tranquille. J'ai besoin d'oublier mon frère au moins un peu. Il me manque tellement que je vais devenir fou.
Mes mains agrippent les épaule d'Abel et je veux le supplier de me prendre. Non … Non lui ordonner de me prendre. Mais je n'arrive pas à lui parler. Je ne peux pas m'arrêter de gémir et de crier son nom alors qu'il continue à m'élargir. Ha … haa … Déglutissant, je m'approche tout près de son oreille et mes gémissements se font plus sensuels. Ma langue lèche la blessure que je lui ai faite tout à l'heure. Elle a un peu saigné.
Il me repousse cependant, se débarrassant de mes mains sur ses épaules. Me positionnant à quatre pattes, comme un animal, il passe derrière moi et se glisse entre mes cuisses. Juste mes cuisses. Haussant un sourcil, je me demande finalement s'il sait ce qu'il faut faire. Je veux dire, il faut être con. Il a passé au moins un quart d'heure à me tâter les entrailles et - Ah !
Ça y est, il est en moi. Il finit de se glisser en moi et je hurle. Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas baisé comme ça. Et voilà que cet enfoiré reste au fond de moi, immobile, comme si son programme avait planté.


« Mais remues, focáil* ! »

Mes bras me lâchent alors qu'il bouge et je mords les draps mouillés de sueur et ne retiens plus mes cris.

*Le terme français le plus approchant serait ''bordel'' ou ''putain''.
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Abel Bone
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeMar 8 Avr - 18:14


Lorsque je m'enfonçai tout au fond de lui, Monsieur Gantley hurla. J'avais alors eu un doute. Avais je vraiment bien fait ? Est ce que ça lui plaisait vraiment ou non ? J'attendis, sans plus rien faire, même si mon corps tout entier me commandait de bouger. Et puis, le Guide me cria de remuer. Il semblait énervé et utilisa un mot que j'étais trop bête pour comprendre. Aussitôt, je m'activai.
Je bougeai frénétiquement d'avant en arrière, légèrement penché en avant, haletant. Mes doigts s'enfonçaient dans la peau de ses hanches et quelques petites gouttes de sang s'éclatèrent sur ses reins. Elles venaient de mes lèvres... Je les léchai, cela me picota. Comme pour me venger, je donnai un violent coup de reins contre les fesses de Monsieur Gantley, que je heurtai dans un bruit de claque. Un gémissement sonore suivit. Le mien.
Mais quelque chose me dérangeait dans tout ça. Mon peignoir. La ceinture commençait à me brûler la peau au dessus du nombril et les manches trop longues finissaient toujours pas se glisser sous mes paumes et me démanger. Je me forçai alors à me stopper et arrachai avec de grands gestes le peignoir de mon corps. Je voulu le jeter par dessus la tête mon Guide, mais dans ma maladresse, il atterrit dessus. J'eus quelques secondes d'hésitation, puis haussai les épaules. Tant pis.
Désormais plus libre de mes mouvements, je me retirai du corps de Monsieur Gantley pour y replonger aussitôt, aussi profondément que je le pouvais. Et je recommençai mes mouvements, mais avec beaucoup plus de laisser-aller. Je m'emportais dans mes cris, mes mains agrippaient ses cuisses pour le maintenir tout contre moi, je ne suivais plus vraiment une trajectoire rectiligne dans mes coups de bassin.
Suite à un mouvement assez aléatoire, je sentis son sexe cogner contre l'une de mes mains. Emporté dans mon élan instinctif et toujours guidé par cette étrange petit voix venue de mon passé, je le saisis pleinement. Et je bougeai, toujours et encore. Pour ne surtout pas le décevoir, que je me disais. Mais aussi et surtout parce que c'était trop bon pour m'arrêter. Malgré la fatigue musculaire, malgré la sueur glissante qui recouvrait ma peau, je poursuivais.

Et puis, je sentis quelque chose de différent en moi. Je lâchai Monsieur Gantley pour le saisir plus haut, sous les bras. Je le redressai en plantant mes ongles dans son torse et le ramenai tout contre moi. Je me retrouvai alors nez à nez avec ses omoplates. Oh... Je n'avais pas pensé à ça, la différence de taille. Bon, tant pis. Je ferai avec.
Je pressai mon Guide tout contre moi et augmentai encore la cadence de mes coups, la joue collée contre la peau de son dos. Je me perdis un peu dans tout ça, laissant une vague intense de plaisir m'envahir et se multiplier partout, dans chaque zone de mon corps. Je savais ce que c'était. Je savais aussi parfaitement ce que ça représentait. Après un dernier et violent coup de reins, je me relâchai dans Monsieur Gantley, avec un râle animal étouffé par la morsure de son dos.
L'orgasme passé, je le relâchai et vis à quel point mes dents s'étaient enfoncées dans sa chair. Il ne saignait pas, mais j'avais le sentiment qu'il garderait la marque de ma mâchoire un certain temps. Je le repoussai ensuite et regardai le filet blanc couler entre ses cuisses. Un sourire étira mes lèvres avant que je m'écroule en arrière, bras et jambes écartées. J'étais content d'avoir ainsi pris possession de mon Guide.

Ma tête était vide, à l'intérieur. Je haletais, les yeux rivés sur le plafond. J'avais l'impression que le lit tournait à toute vitesse. Mon corps était brûlant, mes nerfs à vif. J'avais envie de recommencer, mais cette sensation s'apaisait doucement. Le sommeil me gagnait petit à petit.
Une seule chose occupait mon esprit. Est ce que Monsieur Gantley était satisfait ?
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeMar 8 Avr - 21:35


Le sentir en moi me transporte. J'ai envie de lui, envie de le dévorer. Alors à la place je mords les draps comme un forcené. J'ai envie de lui hurler d'aller plus vite mais je ne dois pas trop forcer sur son cerveau, sinon il pourrait exploser, j'en suis sur. De toute façon, je suis bien trop occupé à crier, à hurler son nom et même celui d'Ulrick, quand je ferme les yeux assez fort. Mes mains tirent sur les draps jusqu'à les déchirer. J'ai envie de hurler, de me cambrer mais je n'ai plus de force. Je suis à bout, mes nerfs à vif m'ont plus épuisé que l'exercice physique en lui même. Et je suis persuadé que je ne tiendrais plus longtemps. Mais je veux pouvoir réussir à tenir le plus longtemps possible.
Un coup plus violent que les yeux arrache un gémissement à Abel. Je m'en délecte comme d'un nectar divin. Il ne fait pas beaucoup entendre sa voix mais quand il le fait, cela sonne à mes oreilles comme la symphonie du péché elle même. Me délectant de sa voix douce comme du miel de fleurs, je ne me gêne pas pour continuer à crier et gémir, quand le souffle ne me manque pas.
Un peignoir n’atterrit dessus alors que je gémis comme un … Je n'ai pas de comparaison pour cela. Mon cerveau est trop occupé à m'envoyer des signaux de plaisir intense. Désolé public adoré. Ce sera sans doute pour une prochaine fois. Il dégringole ensuite par terre. Je ne sais pas s'il l'a enlevé ou si c'est le fait de ses coups de reins mais je remercie Abel pour cela. Je ne peux pas le voir mais être privé de ma vue me gêne. Et il faisait incroyablement chaud sous ce vêtement.
Alors que je me laisse pleinement faire, donnant quelques coups de bassin assez faibles, il saisit mon sexe et le masse. De la bave aux lèvres, je ne peux que saisir son bras fermement, et le serrer. Oui j'aime ça, j'adore aussi lui faire mal. Mes ongles s'enfoncent dans sa peau alors que je crie à nouveau, sur le point de jouir. La pénétration anale dans ce sens a toujours été ma manière préférée de m'amuser. Ma main se crispe encore plus. Mes doigts pourraient passer à travers sa chair si j'avais plus de force. Il ne faudrait pas non plus que je le blesse. Il doit me servir. Alors je le lâche et pose ma main tâchée de sang à coté de sa jumelle, pour me maintenir dans une position presque stable.
Il me prend alors contre, lui, assis. Je sens son souffle dans mon dos et cela pourrait me faire rire si je n'étais pas en train de m'agripper à ses cuisses pour trouver un repère. Ce déstabilisant changement a retardé ma jouissance de quelques minutes, le choc prenant le pas sur le plaisir. Je donne de la voix, rejetant mon corps le plus possible collé à celui d'Abel. Et je me libère dans un râle presque animal.
Il vient en mois en me mordant si fort que j'ai un hoquet de douleur. Et ensuite il me relâche. Je me laisse tomber comme une poupée de chiffon qui aurait craqué une couture.
Je viens poser ma tête sur l'oreiller couvert de sueur en essayant de reprendre une respiration correcte. Une fois que je pense pouvoir raisonner, je fais marcher mon cerveau. Si ce n'était pas la meilleure coucherie de ma vie, ça s'en rapproche fortement. Mais alors pourquoi est-ce que je suis déçu, comme toutes les autres fois ? Parce que … parce que ce n'est pas Ulrick. La vérité me frappe en plein visage comme un vent glacial. Tellement que je me couvre avec les draps alors que la semence d'Abel coule sur les draps. C'était nul comparé à ces deux fois où j'ai couché avec mon frère. Et croyez-moi, il embrasse comme un pied. Mais je l'aime. Je jette un regard blessé à Abel. J'ai fait ça pour rien. Au final, je ne suis pas liberé de mon envie d'Ulrick. C'est encore pire. Mon envie de le voir me prend à l'estomac et le tord. C'est très douloureux.
Je me tourne vers mon animal et passe une main affectueuse dans ses cheveux.


« C'était affreux. Mais tu n'y es pour rien. Maintenant, dors. »

Je sors ensuite du lit et enfile mon uniforme, le montant jusqu'au col. Je sens encore le sperme chaud d'Abel couler entre mes cuisses et je frémis. Nom de Dieu, j'aurais du le savoir. Tout cela ne m'a rien apporté.
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MessageSujet: Re: You're my favorite drug [Rp de seqkse]   You're my favorite drug [Rp de seqkse] Icon_minitimeMar 8 Avr - 22:23

Screw ♪ False dawn

Je reprenais mon souffle petit à petit. Je me sentais vraiment exténué, prêt à dormir, là, en étoile en travers du lit tout défait. Je remontai mon bras devant mes yeux, celui qui me faisait soudain très mal. Du sang... J'entendis Monsieur Gantley bouger à côté de moi. C'était lui qui m'avait fait ça. Oooh... Je l'aimais tellement ! Il avait laissé plein de marques sur moi ! Un peu comme des sceaux. Je lui appartenais.
Une main dans mes cheveux me fit lever la tête et je rampai jusqu'à me retrouver à côté de mon Guide. Lui aussi semblait fatigué et il avait recouvert son corps d'un drap. Enfin, partiellement. La vue du reste me rappelait combien j'avais adoré le posséder, lui aussi. Et puis, il me donna son avis sur ce qui venait de se passer. Mon sourire s'effaça aussitôt. Affreux ? Affreux comme mauvais ? Mais pourquoi ? J'avais été si nul ? Oh, je savais que je n'aurai pas dû forcer autant en lui ! Ou alors, il aurait peut être préféré que je lui éjacule dans la bouche, ça se faisait aussi...
Monsieur Gantley me rassura pourtant. D'après lui, ce n'était pas ma faute. Alors, de qui était ce la faute ?! Ca ne pouvait pas être la sienne, c'était évident. Après tout, il était le Guide. Bon, j'étais tout de même un peu consolé. Parce que moi, au moins, j'avais vraiment adoré. Je me sentais encore tout chose, même si j'étais flagada. J'avais l'envie de recommencer aussi, mais plus tard. Enfin, si ça avait été affreux pour le Guide, il ne voudrait sans doute pas recommencer. Qui alors ? Rose Eden ? Mais oui, bien sûr ! J'avais très envie de copuler avec elle ! Elle était jolie et froide. Je l'aimais beaucoup. Certes pas autant que le Guide, mais c'était normal. Aimer quelqu'un plus que le Guide aurait été très mauvais.

Monsieur Gantley s'éloigna ensuite de moi et se rhabiller, avant de se diriger vers la porte. J'étais un peu triste, je voulais dormir contre lui. Il sentait encore meilleur quand il était brûlant et en sueur. J'aurai aimé passé du temps à le lécher pour le nettoyer. Mais il voulait que je dorme. Ca avait été son dernier ordre, avant qu'il ne disparaisse derrière la porte.
Je me roulai donc en boule et me cachai sous les draps, comme j'en avais l'habitude. Rapidement, je m'endormis, mes dernières pensées sur Rose Eden. Des pensées si perverses que j'étais certain que Monsieur Gantley m'aurait puni s'il avait su. Oui, mais elle aussi je voulais la posséder.

FIN.
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