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J'écris tout d'abord:

Citation :

Entendis un gardien prononcer "tien-toi tranquille, bon dieu", me levais, posais la lettre de ma sœur et me dirigeais vers la porte. Me plantais, un air sérieux.

Totalement incompréhensible, nous sommes d'accord ?

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Je vais m'arranger pour être plus claire :

Citation :

Quand j'entendis le gardien prononcer "Tiens-toi tranquille, Bon Dieu!", je me levais, posant la lettre de ma sœur. Je me dirigeai vers la porte et l'ouvrit, un air sérieux peint sur le visage. Un gardien se débattait avec un détenu.

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Encore limite n'est ce pas? J'essaye de décrire plus précisément les actions ...

Citation :

Quand j'entendis le gardien prononcer "Tiens-toi tranquille, Bon Dieu !", je me levais, posant vivement la lettre de ma sœur, que je feuilletais avec attention un peu plus tôt, sur le bureau miteux. Je me dirigeai vers la porte et l'ouvrit, pour me planter devant le gardien. Un air sérieux avait remplacé ma tristesse.

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Maintenant, je rajoute la description:

Citation :

Quand j'entendis le gardien prononcer "Tiens-toi tranquille, Bon Dieu!", derrière la porte en bois du bureau, qui ne filtrais aucun bruit du couloir. Je me levais, posant brusquement la lettre de ma sœur, que je feuilletais avec attention un peu plus tôt,sur le bureau miteux. Une lettre pourtant précieux, que Rika m'avait donnée avant mon départ du Japon, comme pour sceller notre amitié. Je me dirigeai vers la porte et l'ouvrit, pour me planter devant le gardien. La tristesse avait fait place à l'air sérieux que j'employais tout le temps en ce moment, même si je m’efforçais d'être un minimum sympathique.

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Puis ce que pense mon personnage:

Citation :

Quand j'entendis le gardien prononcer "Tiens-toi tranquille, Bon Dieu!", derrière la porte en bois du bureau, qui ne filtrait aucun bruit du couloir. A en croire le boucan, le patient que je devrais avoir en consultation depuis quinze bonnes minutes avait opposé résistance. Je me levais, posant brusquement la lettre de ma sœur, que je feuilletais avec attention un peu plus tôt, sur le bureau miteux. Une lettre pourtant précieuse, que Rika m'avait donnée avant mon départ du Japon, comme pour sceller notre amitié. Je marchais vers la porte, pour me planter devant le gardien. Le pauvre se débattait comme un diable avec le détenu. mais mon esprit n'était qu'à moitié connecté à ce qu'il se passait en ce moment. Je pensais à Rika, à Takeshi ... à ceux que j'avais laissées derrière moi, au pays. bien sûr, je ne me plaignais d'être ici. Oh non ! Je côtoyais même tous les jour des gens plus intéressants et ... inquiétants les uns que les autres. Mais le mal du pays de votre enfance est une chose ordinaire, je pense.
Toutefois, la tristesse avait fait place à l'air sérieux que j'employais tout le temps en ce moment, pour camoufler mes véritables émotions. Même si je m’efforçai d'être un minimum sympathique, ce n'était pas facile tous les jours. D'ailleurs, je ne comprenais pas pourquoi tous ces patient rechignaient à la consultation. Je ne transmettais pourtant pas la peste, il me semble.

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En rajoutant les dialogues, l'autre joueur saura mieux quoi répondre:

Citation :

Quand j'entendis le gardien prononcer "Tiens-toi tranquille, Bon Dieu!", derrière la porte en bois du bureau, qui ne filtrait aucun bruit du couloir. A en croire le boucan, le patient que je devrais avoir en consultation depuis quinze bonnes minutes avait opposé résistance. Je me levais, posant brusquement la lettre de ma sœur, que je feuilletais avec attention un peu plus tôt, sur le bureau miteux. Une lettre pourtant précieuse, que Rika m'avait donnée avant mon départ du Japon, comme pour sceller notre amitié. Je marchais vers la porte, pour me planter devant le gardien. Le pauvre se débattait comme un diable avec le détenu. mais mon esprit n'était qu'à moitié connecté à ce qu'il se passait en ce moment. Je pensais à Rika, à Takeshi ... à ceux que j'avais laissées derrière moi, au pays. bien sûr, je ne me plaignais d'être ici. Oh non ! Je côtoyais même tous les jour des gens plus intéressants et ... inquiétants les uns que les autres. Mais le mal du pays de votre enfance est une chose ordinaire, je pense.
Toutefois, la tristesse avait fait place à l'air sérieux que j'employais tout le temps en ce moment, pour camoufler mes véritables émotions. Même si je m’efforçai d'être un minimum sympathique, ce n'était pas facile tous les jours. D'ailleurs, je ne comprenais pas pourquoi tous ces patient rechignaient à la consultation. Je ne transmettais pourtant pas la peste, il me semble.
"Bonjour. Je ne mords pas, vous savez ?"

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Finalement, on termine en brodant un peu :

Citation :

Quand j'entendis le gardien prononcer "Tiens-toi tranquille, Bon Dieu!", derrière la porte en bois du bureau, qui ne filtrait aucun bruit du couloir. A en croire le boucan, le patient que je devrais avoir en consultation depuis quinze bonnes minutes avait opposé résistance. Je me levais, posant brusquement la lettre de ma sœur, que je feuilletais avec attention un peu plus tôt, sur le bureau miteux. Une lettre pourtant précieuse, que Rika m'avait donnée avant mon départ du Japon, comme pour sceller notre amitié. Je marchais vers la porte, pour me planter devant le gardien. Le pauvre se débattait comme un diable avec le détenu. mais mon esprit n'était qu'à moitié connecté à ce qu'il se passait en ce moment. Je pensais à Rika, à Takeshi ... à ceux que j'avais laissées derrière moi, au pays. bien sûr, je ne me plaignais d'être ici. Oh non ! Je côtoyais même tous les jour des gens plus intéressants et ... inquiétants les uns que les autres. Mais le mal du pays de votre enfance est une chose ordinaire, je pense.
Toutefois, la tristesse avait fait place à l'air sérieux que j'employais tout le temps en ce moment, pour camoufler mes véritables émotions. Même si je m’efforçai d'être un minimum sympathique, ce n'était pas facile tous les jours. D'ailleurs, je ne comprenais pas pourquoi tous ces patient rechignaient à la consultation. Je ne transmettais pourtant pas la peste, il me semble. Lasse, je m'appuyais sur la chambranle, un léger sourire aux lèvres, demandant au prisonnier :
"Bonjour. Je ne mords pas, vous savez ?"
Bien sûr, qu'il le savait. Mais le gardien semblait en avoir bavé pour être arrivé jusque là : il avait une arcade sourcilière fendue, la lèvre éclatée, et une ecchymose se formait au niveau de son œil. Chose surprenante, le prisonnier, lui, était plutôt en bon état.

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Avec une mise en page, ce sera plus lisible :

Citation :

Quand j'entendis le gardien prononcer "Tiens-toi tranquille, Bon Dieu!", derrière la porte en bois du bureau, qui ne filtrait aucun bruit du couloir. A en croire le boucan, le patient que je devrais avoir en consultation depuis quinze bonnes minutes avait opposé résistance.
Je me levais, posant brusquement la lettre de ma sœur, que je feuilletais avec attention un peu plus tôt, sur le bureau miteux. Une lettre pourtant précieuse, que Rika m'avait donnée avant mon départ du Japon, comme pour sceller notre amitié. Je marchais vers la porte, pour me planter devant le gardien. Le pauvre se débattait comme un diable avec le détenu. mais mon esprit n'était qu'à moitié connecté à ce qu'il se passait en ce moment. Je pensais à Rika, à Takeshi ... à ceux que j'avais laissées derrière moi, au pays. bien sûr, je ne me plaignais d'être ici. Oh non ! Je côtoyais même tous les jour des gens plus intéressants et ... inquiétants les uns que les autres. Mais le mal du pays de votre enfance est une chose ordinaire, je pense.
Toutefois, la tristesse avait fait place à l'air sérieux que j'employais tout le temps en ce moment, pour camoufler mes véritables émotions. Même si je m’efforçai d'être un minimum sympathique, ce n'était pas facile tous les jours. D'ailleurs, je ne comprenais pas pourquoi tous ces patient rechignaient à la consultation. Je ne transmettais pourtant pas la peste, il me semble.
Lasse, je m'appuyais sur la chambranle, un léger sourire aux lèvres, demandant au prisonnier :

"Bonjour. Je ne mords pas, vous savez ?"

Bien sûr, qu'il le savait. Mais le gardien semblait en avoir bavé pour être arrivé jusque là : il avait une arcade sourcilière fendue, la lèvre éclatée, et une ecchymose se formait au niveau de son œil. Chose surprenante, le prisonnier, lui, était plutôt en bon état.

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Astuces:

Si vous faites trop de fautes, personne ne voudra lire votre RP. Essayez donc de vous relire, et, si cela reste toujours trop limite, utilisez un traitement de texte (comme Word, par exemple) pour écrire votre message et corriger les fautes. Ensuite, vous n'aurez plus qu'a faire copier-coller dans votre sujet. Autant vous dire de suite que moi non plus, je ne suis pas une experte, vous l'avez sûrement constaté.

N'oubliez pas de rester bien dans l'univers de Deardeath, et laissez les autres donner les actions de leurs personnages.

Ne faites pas non plus de votre message un récit, c'est décourageant à lire pour certains, et en plus, il est encore plus difficile de répondre.