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 BALURICK : Y.M.C.A.

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Luckas Faszler
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeMar 25 Fév - 23:36

Finalement, Ulrick décide de se comporter en Sam de soirée à la fin de la soirée, et je juge son acte comme héroïque. En tant normal, je aurai tout bonnement refusé, car bien qu'il être en meilleur état que nous – je être incapable d'aligner deux mots sans parler allemand, et je avoir cherché mes lunettes longtemps avant de me rendre compte que je les portais encore -, il n'est pas vraiment sobre.
Basile n'est pas si lourd que ça, bien qu'il ne fasse aucun effort pour me faciliter la tâche. Peut-être aussi que le cul d'Ulrick y est pour beaucoup dans ma déstabilisation. Scheiße ! Pas bien du tout, ça. Je m'oblige à regarder les clients en leur souriant niaisement pendant qu'Ulrick bidouille avec le barman.

- Ex … Excusez-nous hein, lançai-je doucement à un couple assit juste là.

Le trajet en voiture est un peu moins calme que ce que je m'être imaginé. Ayant cette fois pris soin d'éviter de me manger l’embrasure de la porte en m'asseyant, je me demande si ça n'aurait pas été mieux que je me la prenne pour qu'ensuite le trajet se déroule normalement. Côté passagé, dans l'état où je être, la tête en appuie sur le siège et les yeux mi-clos, je même pas parvenir à avoir peur alors qu'à l'origine je être terrifié lorsque je être en voiture avec un fou du volant.
Quand il lâche ledit volant, par contre, je avoir bouffé de panique et sursaute violemment en jurant, saisissant l'objet de mes deux mains après m'être dépêtré avec ma ceinture qui bloque tout mes mouvements brusques.

On est finalement arrivé en un seul morceau, à mon plus grand soulagement. Ulrick est tout de même parvenu à me redonner pas mal de lucidité à cause de sa course de taré, et je pense que je pas être prêt d'oublier sa manière de conduire. Ok, il être bourré, mais tout de même, à ce point … J'en avoir encore des frissons d'horreur.
Je continue de servir d'accompagnateur à Basile qui n'avoir pas l'air de se rendre compte. Je pas tenir l'alcool, mais lui, c'est encore pire. Un peu plus et il finir à l'hosto. Cherchant les clefs de sa chambre dans ses poches, en vain, je décide finalement de le mettre sur l'autre lit de ma chambre pour la nuit.
En fait, il dormir déjà, je crois. En l'allongeant sur l'autre couchette, il marmonne un peu. Je lui retire ses chaussures – en galérant cinq bonnes minutes – et le couvre avec le drap du lit.
Au tour d'Ulrick, maintenant. Je pense qu'il avoir dû réussir à rejoindre son lit, mais je préfère être sûr. Et puis je pas cacher que je vouloir le revoir une dernière fois, au moins pour ce soir. J'ai beau avoir grosso modo retrouvé mes esprits, je ne pas oublier ce que l'on a fait.

Je le trouve en travers de son lit, le haut du corps par terre, ronflant légèrement. Il pas perdre de temps, lui non plus. Je sûrement être un surhomme pour réussir à tenir encore debout. Je jette un coup d'oeil à ma montre, et je oublier aussitôt l'heure. À l'évidence, Ulrick n'ouvrira les yeux que dans une bonne dizaine d'heure. Je être un peu déçu, mais je pense que ça être mieux comme ça.
J'étouffe un bâillement particulièrement violent et entreprend de mettre le jeune homme au lit comme j'ai fais pour Basile. Je pas savoir comment ils font. Même bourré, je pas pouvoir me coucher sans m'être lavé, quitte à y passer un long moment. On dormir beaucoup mieux après, malgré l'effort que ça demande.

En le soulevant un peu pour le remettre droit, je sens une nouvelle vague de chaleur me subjuguer. Un flash-back transforme Ulrick en Tino, et les reflets de la lune font briller ses cheveux blonds, si blonds qu'ils paraissent blancs. J'y passe ma main, totalement chamboulé, et la chevelure brune d'Ulrick revient aussi vite qu'elle est partie.
Comme pour Basile, je lui glisse sa couverture sur lui, encore retourner par l'apparition de mon ami. Avant de partir, je me penche en avant, hésite, et je finir par lui voler un baiser.


Dernière édition par Luckas Faszler le Mer 26 Fév - 14:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeMer 26 Fév - 0:05


Aucune réponse. Alors je sors timidement et referme la porte. Sauf qu'en fait, elle ferme pas. Je force un peu pour la fermer convenablement mais pour une foutue mystérieuse raison, elle ne ferme toujours pas. Putain de merde mais tu vas fermer sale porte de … Oops. Dans mon élan, j'ai tiré un peu trop fort et la poignée m'est restée dans les mains. J'essaye de maquiller mon forfait en la remettant dans le bon trou mais elle retombe en faisant un bruit de tous les diables.
Je jette un coup d'oeil à l'horloge. Deux heures du matin. Un vendredi (ou plutôt un samedi). Personne ne doit dormir à cette heure là. Et le peu qui dormaient doivent avoir été réveillés par la chute de ce truc du diable. Putain ! Je m'éloigne donc en sifflotant comme si de rien n'était et rentre dans ma chambre, laissant là la poignée par terre de part et d'autre de la porte entrouverte. Je ne suis pas fou quand même, je ne vais pas tenter Luckas. Il n'a pas l'air méchant mais on ne sait jamais à l'avance qui a l'alcool violent.
Je pénètre dans une chambre au hasard et constate que ce n'est pas la mienne quand je vois Ulrick se faire embrassé après avoir été bordé par Luckas. Nom de dieu, je gêne un moment romantique. Je claque violemment la porte et rougit jusqu'aux oreilles, putaing quoi, c'est pas pudique tout ça. Bon, au moins, ils vont bien, même s'ils n'ont ps répondu à mes appels à l'aide, les petits bâtards. Je fais quelques pas vers ma chambre et puis me ravise.
Mais attends, il est que deux heures du matin. La soirée peut pas être finie, putain ! Ils peuvent pas me lâcher comme ça les petits saligots, surtout pas pour se peloter et vivre des moments romantiques. Alors, je rentre à nouveau, ouvrant la porte en coup de vent, déterminé.


« La fête est pas finie. Si vous me cherchez, je suis dans le réfectoire. »

Je descends les marches quatre à quatre, bien décidé à poursuivre la fête. Le réfectoire est fermé à cette heure mais j'ai le pass magique vu que j'ouvre pour le service du matin. Pourquoi j'y ai pas pensé avant ? Deux cent mètre carrés rien que pour nous trois ~ Je file en cuisine et ramène le poste radio de Chef Louis de la cuisine et je mets sur une station au hasard. La chanson me convient et je monte juste assez le son pour qu'on puisse l'entendre de partout dans la salle.
Deux minutes plus tard, je chante à tue tête et j'ai sorti tous les alcools disponibles dans les placards de la cuisine sur la table à coté de moi. Je m'allume vite fait une cigarette à strass et sourit. S'ils ne sont pas là dans dix minutes, je fais la fête tout seul. Ce serait bête de gâcher une telle occasion. Demain je serais bien allumé.
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeMer 26 Fév - 12:38

Girugämesh ♫ Alive

Je me réveillai en sursaut, alors que j'étais en plein rêve érotique. Avec Luckas. C'était quelque chose qui n'arrivait jamais, ça ! Je vivais une chance inouïe ! Sauf que non.
Je me redressai en sursaut et avant même d'avoir ouvert complètement l’œil, je plissai brutalement les paupières, sous le coup que je venais de recevoir au front.

« AIE ! » m'exclamai-je.

Je me frottai la tête et ouvris mon œil, sur Luckas. Ouh... L'excitation due à mon rêve et à mon alcoolémie s'amplifia alors que les rouages grinçant de mon cerveau se mettaient en marche. Qu'est ce qu'il faisait là ? Je me souvenais m'être assoupi en travers de mon lit, sur mon ventre, en train d'essayer de rattraper un préservatif. Pas confortablement installé sous les draps, avec un beau mâle en guise de ciel de lit.
Je vis Basile s'éclipser et ma mémoire fit quelques efforts, extraordinaires. Il descendait au réfectoire. Pour continuer la fête. J'étais totalement pour, hein. Mais avant, je cédai à une pulsion qui me démangeait entre les cuisses.
Je propulsai mes bras autour du cou de Luckas et l'embrassai langoureusement, ne lésinant pas sur les gémissements. J'ignorai ce dont je serai capable une fois en bas, avec cinq litres de bière en plus dans les veines. Tout pouvait arriver. Tout. Alors, je voulais m'assurer qu'il comprenne à quel point je tenais à lui. Et à personne d'autre. Une manière d'assurer mes arrières, en quelque sorte. Ca ne fonctionnait pas toujours, mais ça ne mangeait pas de pain.

Quand je me détachai des lèvres de Luckas, je récupérai d'un mouvement rond de langue la salive qui traînait entre nous et me détournai tout entier de lui.

« Allons nous amuser. Ce n'est pas tous les jours qu'on peut faire ça ici. »

Je fis sciemment frôler à mon bras celui de Luckas en gardant un air détaché, et me mis sur pied. Je tanguai autant qu'un bateau en pleine tempête, mais réussis à garder le cap. Direction : la cantine !


Quand je passai les portes, mes oreilles furent envahies par une musique forte. Et bonne. Aussitôt, j'eus envie de danser. Et de boire. Ca tombait bien, parce que Basile était entouré de bouteilles d'alcool, une clope au bec. Est ce que ce n'était pas un peu dangereux, les deux ensemble ? … Oh, rien à foutre !


Un peu plus tard...
J'étais tellement imbibé que j'avais atteint le niveau du trou de mémoire. Demain, j'aurai oublié cette partie de la soirée. Mais pour le moment, je m'amusais follement !
J'étais à moitié à poil, sans chemise et sans chaussure, en train de rouler une pelle monumentale à Basile, collé à lui comme une moule à son rocher. Ou un Irlandais à son whiskey. Parce que c'était comme ça que ça avait commencé. Il m'avait provoqué, refusant de me donner cette bouteille et se l'enfilant en me gardant. Alors voilà, j'étais allé cherché l'ambroisie à la source. Dans la bouche de Basile.
Il était mignon, surtout complètement bourré, et le provoquer m'amusait follement. Quand j'étais dans cet état, toutes mes inhibitions s'envolaient et mon expérience reprenait sauvagement le dessus. J'avais fini par prendre réellement goût aux réactions du cuisinier face à mes provocations. Il semblait incapable de savoir quoi faire.

Je rompis le baiser pour lui dérober la bouteille et m'enfuis en direction d'une des tables du réfectoire, brandissant mon trésor. Je grimpai dessus et sans raison logique, lançai le whiskey vers Luckas, comme dans une course de relais.

« Hey Luckas ! Réflexe ! »

Même s'il avait réussi à avoir un réflexe, ça aurait été peine perdue, à moins qu'il réussisse à se jeter sur le côté avec assez de force pour franchir l'infinie distance qui le séparait du point d'impact de la bouteille. Cette dernière s'écrasa au sol, se répandant en verre et en alcool. Et ça me fit rire. Je me roulai sur la table, puis dessous, sans réussir à me calmer.


[Je me suis rendue compte après coup, en vérifiant la fin de ton post, que Luckas était sensé s'être barré aux douches. Mes plus sincères excuses, cordialement. Si ça te pète les couilles que j'ai pas respecté ça, je changerai. C'est normal après tout.]
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeMer 26 Fév - 16:42



La voix de Basile me tire de mon intense contemplation, et je tourne la tête pour voir la porte se refermer. Il avoir dormi trente minutes, et ça y est, il être en forme. Il faudrait qu'il m'explique comment il fait.
Je me prends un violent coup au visage et eut un mouvement de recul en lâchant un juron allemand. Juron qui se retrouve étouffé par les lèvres d'Ulrick. Bon sang mais que ce mec est bandant ! Je pensai être calmé, mais ses gémissements sont tellement excitants que les effluves de l'alcool recommence à faire leurs effets. Quand il me relâche, je reste un instant en suspend, comme tout à l'heure. Il avoir une emprise sur moi qui me rendre totalement à sa merci, c'est dingue.

Je le suis jusqu'au réfectoire, tout de même pas rassuré. Ça ne pas être abusé de continuer ici ? Ça être tout de même un établissement privé, surveillé, encadré, et si quelqu'un découvre que des employés avoir enfreint les règles, nous êtres dans la merde, et les détenus n'auront plus de respect pour nous. Déjà qu'ils pas en avoir beaucoup. Mais je rien dire, peut-être que ce sera plus calme qu'au bar.

~

A l'évidence, je m'être planté. La soirée avoir bien continuée, et si je pas être encore plus bourré que tout à l'heure, j'aurai ordonné à mes deux amis d'arrêter de suite et de rejoindre gentiment leur chambre.
Ulrick semble être plutôt libéré, et le voir collé à Basile me fait chauffer les joues et je préfère discuter avec ma bouteille plutôt que de les regarder. Il être un séducteur, et je être une cible parmi tant d'autre. Mais je pas être jaloux. Nein.
Lorsqu'il m’interpelle cependant, je me précipite vers la bouteille qui vole, sûr de pouvoir la rattraper. Après tout, je avoir aussi envie de m'amuser, hein. Malheureusement, je pas arriver à temps, et alors que la bouteille se brise au sol, je continue ma course, finissant par déraper sur l'alcool et finir par atterrir brutalement par terre. La douleur de la chute est atténuée par mon état, mais je ressentir tout de même le picotement des morceaux de verres à l'intérieur de mes paumes. Du sang coulent sur mes avants-bras et je me relève difficilement, partagé entre l'amusement et l'agacement. De plus, avec l'alcool, ça brûle. L'avantage c'est que ça désinfecte en même temps.
En titubant un peu, je rejoins les deux garçons en riant un peu :

- Putain Ulrick tu pas savoir lancer !


Je vouloir ébouriffer les cheveux de Basile au passage mais me résigne à cause des morceaux de verres. Du coup je me contente de lui péter un smack retentissant avant de regarder autour de moi, à la recherche d'une pince ou quelque chose.
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeMer 26 Fév - 21:58


Ils arrivent finalement, comme un bon petit couple amoureux. Oh, je me doute qu'ils ont du se retenir un peu vu qu'ils n'ont pas mit deux heures et j'en suis fier en fait. Très fier. Parce que bon, je ne les connais que de depuis … Heu pas très longtemps, je ne saurais pas quoi dire de combien parce que l'alcool commence déjà à réendormir mes neurones. Déjà que d'habitude ils marchent pas super … Eh ! Je viens de m'insulter là ?
La soirée se déroule de façon moins mouvementée que celle au bar et je me dis qu'on ne va pas trop tarder. Je sens la fatigue me piétiner les os et j'ai besoin de tout sauf de ça. J'essaye de contrôler mon débit de boisson, servant surtout aux autres. Et là, c'est le drame. Ulrick veut du whisky.
Je lui refuse, il est assez fait comme ça. Et puis de toute façon, c'est mon mien à moi, bordel de merde. J'essaye de me le siffler devant lui pour qu'il ne l'ai pas mais il profite que je prenne ma respiration pour.. m'embrasser. Il viens juste de m'embrasser. Ulrick me roule la pelle du siècle. Putain de merde de putain de bordel de merde. Je …
Je laisse la bouteille à l'irlandais et le regarde partir et la jeter sans raison. Je … Ulrick vient de me voler mon premier baiser et je m'en souviendrais peut-être pas demain. Faites que je m'en souvienne pas ! S'il vous plaît, saint Laurent, faites que je devienne amnésique. Pour m'assurer d'effacer ça de ma mémoire, je me fais un TGV à l'ancienne avec une bonne giclée de citron et avale tout d'un coup. Alors là, je suis parti loin, c'est sur.
Je fais tomber mon verre vide sur la table sous mes fesse quand je vois l'état de Luckas. Non merde mais non quoi ! Il est censé être le plus responsable des trois putain. Mon sang ne fait qu'un tour et j'avise les alcools sur la table. Pas assez fort. Je bondis sur mes pieds et fonce en cuisine. Là, voilà, de l'alcool à flamber. Je revient vers mon ami et hurle à Ulrick de venir. Oops. Je suis plus bourré que ce que je crois.
Je dois me ressaisir. Me désaouler. Je bois une gorgée d'alcool à flamber et tousse. Putain ça arrive. Ah oui... C'est vrai c'est de l'alcool pur. Je relève les bras de l'allemand et demande au voleur de premiers baisers de les tenir comme ça pendant que j'enlève les débris de verre. Il n'y en a pas tant que ça alors je ne lui fait pas trop mal. Juste après, je verse l'alcool en cascade sur ses bras. Il doit souffrir mais c'est pour son bien.

- - - G … euh … dgjdgj mintres puls trda … plu stard- - -

Me voilà à califourchon sur les genoux de Luckas que j'embrasse passionnément. Comment j'en suis arrivé là putain ? Je reprends mon souffle et plisse les yeux. Je suis même pas sur que ce soit Luckas. Ça pourrait tout aussi bien être Ulrick. J'ai pas mes lunettes et je vois rien avec ces yeux embués de larmes. Tant pis, je replonge sur les lèvres rougies de je ne sais plus qui et donne tout ce que je peux pour faire de mon mieux. Une musique passe à la radio, je ne sais pas ce que c'est. Je m'en fous. Qui je suis déjà ?


(Je vous laisse maitre de savoir qui embrasse Basile. Ulrick ou Luckas?)
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeMer 26 Fév - 22:33

G-Dragon ♫ Breathe

On m'appelait. Je cessai aussitôt de rire, si vite que s'en était inquiétant, et roulai de dessous la table. Une fois debout, je suivis la voix de Basile. Quand je vis l'état des mains de Luckas, l'inquiétude pris le pas sur l'amusement. Il ne semblait pas vraiment souffrir, mais je ne pouvais pas bien compter sur ma vue, non ? Il n'y avait qu'à voir comment je venais de viser sur le lancer de bouteille. Il devait y avoir un angle d'au moins quarante cinq degrés entre l'emplacement initial de Luckas et le point de chute du whiskey.
Basile aspergea les blessures d'alcool une fois les morceaux de verre retirés. Je fus soulagé. L'alcool avait vraiment réponse à tout.

Comme je n'avais pas de sucette à lui donner (enfin, j'aurai pu mais bon) pour le consoler de ses blessures, je lui fis un gros câlin. Accroché à son cou, la tête contre son épaule, je le berçai maladroitement en nous secouant de droite à gauche. Cela me donna mal à la tête et j'arrêtai presque aussitôt. Puis, je levai la tête vers Luckas et lui volai un long baiser. La tête dans les nuages, je le regardai ensuite droit dans ses yeux à lui et lui avouai, sur un ton de... De mec bourré au paradis des Bisounours :

« C'est vraiment cool de t'embrasser toi. »

Et puis, ma générosité sans faille fis surface. Oui, celle qui me venait parfois, quand j'étais assez imbibé. Je me décrochai de Luckas et allai rejoindre Basile. Je ne pouvais pas garder tout ce bonheur pour moi.

« Heeeey ? T'as déjà embrassé Luckas ? C'est juste... Trop bien ! »

Un peu plus tard, j'avais réussi à faire asseoir Luckas sur une chaise sans tomber moi même au sol, puis à amener Basile sur lui.

« Allez, embrassez vous maintenant ! »

Mais ils avaient déjà commencé. Bon. J'attendis, que Basile me donne son avis. Mais ils ne s'arrêtaient pas. Hey oh ! Faudrait pas voir à oublier qui appartient à qui là ! Merde alors. Je l'avais vu en premier.
Je tirai alors mon ami cuisinier par le bras et, sans le vouloir, le fis tomber par terre. Mais ça ne m'arrêta pas. Je devais d'abord accomplir la tâche que je m'étais fixée, sinon mon cerveau imploserait. Une chose à la fois.

« Luckas c'est mon mien ! Je le veux rien qu'à moi ! T'as qu'à te trouver ton gardien ! »

Et pour conclure en bon adulte, je lui tirai la langue.

« Bien. Maintenant, on continue à faire la fête. »

Oui, après tout, maintenant tout était clair. Inutile d'en rajouter, Basile n'était pas quelqu'un de stupide. Pas plus que moi en tout cas.

« Au fait, est ce que quelqu'un sait où est mon pantalon ? »
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeJeu 27 Fév - 0:51



Malgré son état déplorable, Basile réagit aussitôt. Je être dans mon monde, et dieu sait comment je faire pour tenir debout. Je avoir jamais été dans cet état, et je avoir envie de vomir. Ou l'affront suprême à ma personne. Déjà que je pas avoir fière allure, si en plus je me mettre à rendre tout ce que j'ai bu et mangé, ce serait le sacrilège. Plus qu'à mourir, quoi.
C'est donc sans réaction que je contemple le cuisinier me soigner comme il peut, et je rien sentir à par des chatouillements. C'est demain que ça va être dur, mais je préfère ne pas y penser. De toute manière, je pas être capable de penser, et c'est à peine si je sens Ulrick se serrer contre moi et me bercer doucement. La seule chose que je ressentir être la nausée, mais heureusement, il s'arrête très rapidement, préférant s'occuper de mes lèvres apparemment. Je ferme les yeux, transporté, encore une fois. Le manque affectif que je vivre à DearDeath n'existe pas avec ces deux mecs, et du coup, Giulia me paraît subitement plus terne. Avec elle, je pas m'amuser autant.
Affront. Qu'est-ce que je viens de dire ? Je pas avoir osé … si ? Claque mentale. Giulia m'a sauvé, et ça être en pensant cela d'elle que je la remercie ? Je me mets à boire à la bouteille pour noyer ce sacrilège.

Ulrick me tire finalement et me plante sur une chaise, et j'ai vaguement conscience de ce qu'il dit. Embrasser Basile ? Je bien vouloir, après tout on est des foufous ou on ne l'est pas, mais lui ?
À en juger par la manière que le cuisinier s'assoit sur moi et colle ses lèvres aux miennes, approfondissant aussitôt le baiser, ça devoir pas lui poser trop de problèmes. Et moi, vu mon état, je ne pouvoir qu'apprécier, et ne lésine pas sur les mains baladeuses. C'est incroyable l'effet que de simples baisers langoureux peuvent avoir sur moi, surtout qu'il est doué, le Basile.
Mais il s'allège subitement, et je mettre un instant à comprendre qu'il être par terre par la faute à Ulrick. Je cligne plusieurs fois des yeux et regarde autour de moi, étonné de ne pas me trouver dans ma chambre.

- Je suis … Où … Où on est ? Parvins-je à articuler dans un effort surhumain.

Je compris péniblement qu'Ulrick est à la recherche d'un pantalon. En le reluquant longuement, je finis par dire la phrase qui sur le coup, me paraît être digne des plus grands films à l'eau de rose :

- Tu es mieux comme ça.

Puis je fronce les sourcils et m'attarde un peu plus sur la vision d'ensemble, avant de lever un regard interdit sur lui :

- Tu l'avoir encore sur toi, non ?


Je me relève pour l'observer de plus prêt, et retombe aussi net. Je croire même que je perds connaissance. En tout cas, quand je reprendre conscience de ce qui m'entoure, je ne sais pas combien de temps plus tard, c'est le visage d'Ulrick penché sur moi que je vois. Je être de nouveau étonné, mais cette fois-ci, c'est de ne pas me trouver au camp militaire. Je avoir l'impression de débarquer de nul part.

- Garde à vous soldat ! Braillai-je en allemand, me redressant sur les coudes. Repos ! Dix pompes toi !

Il faut réagir, bougeons, bougeons ! Bourdonnement. Je tente de me relever mais ça être peine perdue, et je m'en trouve que plus agacé. Coups de feu, hurlement d'agonie, de douleur. Corps qui tombent. Membres qui se détachent. Terreur. Panique.

- Chut ! Nous êtres attaqués !
repris-je finalement en anglais. Tous à vos poste, à mon signal !

Je être pas bien, pas bien du tout. Je bien savoir que je pas être en Irak, mais je avoir la même adrénaline que lorsque j'y étais, et avec l'alcool, ça bousille mes repères.
Je me rendre finalement compte, et, profondément touché par les images qui avoir défilé devant mes yeux, je passe mes mains autour d'Ulrick et le sert tout contre moi. Et par la même occasion, j'embarque Basile dans notre étreinte. Besoin de sentir de la vie.
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeJeu 27 Fév - 16:18


Le baiser est langoureux, passionné. Je n'ai jamais vécu une expérience pareille. Je commence même à me frotter à mon partenaire d'échange buccal comme si je voulais lui arracher les même gémissements que ceux qui sortent de ma bouche. Non, je ne ressens pas vraiment de désir sexuel dans l'instant présent. Je veux juste … Juste continuer. Ulrick a raison, embrasser Luckas c'était trop bien. Les yeux fermés, je profite pleinement de sa bouche au parfum de bière, de sa langue qui semble habituée à ce genre d'exercice, de ses mains qui traînent sur ma peau brûlante. Je ne me rends même plus compte de la présence de son petit ami.
Et puis là, le sol. Ma tête cogne durement contre le carrelage jaune pisse du réfectoire et je reprends mes esprits. Putain mais c'est pas vrai j'étais bien. Je hoche rapidement la tête quand mon nouvel ami m'affirme que Luckas est rien qu'à lui et baille largement. Je suis mort, je veux être dans mon lit. Je veux dormir au chaud dans mon lit et … Je veux un banana-split aussi. Je veux un banana-split avec des pepitos.
Quand Ulrick réclame son pantalon, je le regarde et rougit comme une tomate du champ de ma tante. Putain mais il est tout nu du bas. Je détourne le regard et me traîne jusqu'à une table. Sur la table, je regard au loin, comme un explorateur dans la savane. Là ! Pantalon repéré ! Je saute et glisse jusqu'à la cible avant de l'attraper de la soulever au dessus de ma tête, victorieux. Ah non, c'est mon gilet ça.
Luckas tombe je ne sais comment et se relève presque aussitôt en parlant allemand. Oulah ! Je lâche le gilet et lève les mains en l'air. Ah ! Je veux pas être tué par un allemand fou ! J'ai vu assez d'épisode de Derrick pour savoir combien ils sont dangereux. Les fourbes ! Je ne sais pas quoi répondre alors je hurle le seul truc que je sais dire en allemand :

« ACHTUNG, GRENADE ! »

Puis je saute à terre. Quand je relève la tête façon taupe pour voir ce qui se passe, Luckas tient Ulrick et embrasse une serpillière que je sais pas comment qu'elle est arrivée là. Regardant la grande horloge du réfectoire, je panique et hurle comme une petite fille. Le réfectoire ouvre dans une heure. En deux secondes, je redeviens sobre et me met plusieurs objectifs en tête. Ranger le réfectoire, réveiller Pipo et Mario, retrouver le pantalon de l'arche perdue et remettre les tables en place.
Me rhabillant assez convenablement, je me dirige vers les autres et les secoue.

« Faut ranger ! On se bouge ! »

Une demi heure plus tard, je suis satisfait de moi et je referme la porte du réfectoire. Faisant à câlin à mes deux amis, je souris.

« On monte ? »

(Ce post a été fait sans musique puisque une certaine personne jouait de la basse à coté de moi, désolé s'il est pas aussi foufou que d'habitude. Avec respect, la Direction.)
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Ulrick Gantley
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Ulrick Gantley

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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeJeu 27 Fév - 18:50

J'avais des doutes. Avais je, ou non, mon pantalon. Au début, Luckas semblait intéressé. Si intéressé, qu'il m'annonça cash me préférer dans le plus simple appareil. J'en fus incroyablement satisfait et un grand sourire suffisant étira mes lèvres. Et puis, il déchanta. Apparemment, seul son imagination ou sa vue d'homme bourré aimait mon corps à nu. Parce qu'à l'entendre, j'avais toujours mon futal. Mais pourtant, Basile aussi me voyait nu ! Non ? Il venait de se jeter au sol, brandissant un vêtement bien trop petit pour que j'y enfile ma magnifique paire de fesses musclées. Non, il ne s'agissait pas de mon pantalon. De toute façon, je n'en voulais plus. J'étais bien plus à l'aise à l'air libre.

Et là, sous mes yeux, Luckas tomba. Je me jetai sur lui, prêt à lui faire le bouche à bouche et le massage cardiaque sur ses muscles bien dessinés. Oh ouais... Pour ce que j'en avais touché, c'était vraiment agréable. J'étais tout à fait paré à recommencer...
J'allais profiter de la situation quand Luckas se réveilla, gueulant des trucs incompréhensibles en Allemand. Mais quoi ? QUOI ? Histoire de remettre de l'huile sur le feu, Basile hurla un mot que je compris malgré son mauvais accent germano-français. GRENADE ! GRENAAAADE !
Sous l'avertissement, je me plaquai sur les pectoraux de Luckas, essayant sans grand succès de ne pas apprécier la proximité. Mais bon, j'étais en sécurité, c'était l'essentiel. Mais.. ? Y'avait vraiment une grenade ?
Luckas répliqua qu'il y avait une attaque. Je pris peur. Il fallait que je sois à mon poste ! Je me redressai, à genoux, bougeant la tête de droite à gauche. C'était quoi mon poste ? C'ETAIT QUOI MON PUTAIN DE POSTE ? Vite, sinon on allait tous mourriiiiiiir !
Luckas me pressa alors contre lui. Je me retrouvai aussi nez à nez avec une serpillière que je me demandais bien ce qu'elle foutait là. En tout cas, Luckas avait l'air de beaucoup l'apprécier.

Et puis, comme alarme incendie, la voix de Basile me perça les tympans. Je me décollai de Luckas et le fixai alors qu'il papillonnait de partout, mettant des tables de traviole et étalant le whiskey dont j'avais brisé la bouteille tout à l'heure. Il rangea les bouteilles d'alcool dans le frigidaire et le four et, pour finir renversa de la Javel pure sur le comptoir.
Quand il eut terminé, j'avais retrouvé mon pantalon. En fait, il était resté sur moi tout le temps. Mais j'avais tellement pris l'habitude de le porter que je ne le sentais même plus.

Nous nous retrouvâmes finalement en dehors du réfectoire et je pensai au papier absorbant que j'avais déroulé sur les bancs et autour des pieds de table, pour rigoler. Ahah ! Décoration spéciale week end ! Ils allaient adorer les gens, quand ils viendraient, demain. Enfin, tout à l'heure.

Nous montâmes finalement tous les trois à l'étage et je bifurquai automatiquement vers la chambre de Luckas. Maintenant que je connaissais bien son emplacement, je n'allais pas m'en priver. En plus, je ne voulais pas déranger mon colocataire. Avec ses horaires nocturnes, il devait être en train de se coucher. J'avais du respect pour les autres, moi, monsieur !
La porte était ouverte. Je poussai un truc métallique avec mon pied, qui alla se perdre dans un coin d'ombre du couloir avant que j'ai pu l'identifier. Bah, ça ne devait pas être important.

Sans vraiment savoir où était Luckas présentement et si Basile était arrivé à bon port ou si tous les deux étaient juste dans mon dos, je commençai à me déshabiller. J'en avais rien à foutre, au final, de qui faisait quoi à ce moment. J'étais concentré sur mes fringues. Enfin, mon pantalon. Une fois débarrassé, pour de vrai cette fois, de cet encombrant machin, je me glissai dans les couvertures du lit de Luckas. Enfin, j'espérai... Mais il était défait alors. Et je me mis bien au milieu. AHAH ! Il ne pourrait pas m'éviter là.
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Luckas Faszler
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Luckas Faszler

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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeJeu 27 Fév - 23:31



Le cri de Basile achève de me faire revenir dans l'instant présent. Et l'instant présent est qu'un Ulrick totalement torché est blotti contre moi. Je pas me souvenir comment il s'être retrouvé ainsi. Je pas me souvenir de pourquoi je suis par terre, ni pourquoi je avoir les mains blessées. Woooooh mais je être bourré ! Pourquoi je tenir une serpillière ? Ça pas être hygiénique !

Basile nous presse d'un seul coup, son cri raisonnant en écho dans ma tête, et le temps que je parvenir à me remettre sur pied, il a déjà remis en place la moitié du réfectoire, et Ulrick a disparu de mon champs de vision.
Au final, je vraiment me sentir paumé, et je seulement comprendre qu'il faut que je retourne dans ma chambre. Action, réaction. Le cuisinier nous pousse du réfectoire et nous prend dans ses bras. Maintenant, on monte, il a dit. Action réaction. Ou presque. J'oublie de monter un autre étage et me retrouve à celui des détenus. Bien évidemment, je croise l'un de mes collègues, Matt, pendant sa ronde de nuit. Il me regarde, étonné, sa lampe torche tournée sur moi, me faisant un mal de crâne insupportable.

- Qu'est-ce que tu fous là, dans cet état ? Me demande-t-il, interdit.
- Je pas te poser de question, moi ! Je réplique en lui tournant hautainement le dos, les joues en feu.

Je tâte un peu le mur, surpris de ne pas trouver l'escalier, avant de voir l'ouverture un peu plus sur la gauche.

- Au travail,
ordonnai-je au gardien latino.

Je pas savoir du tout où se trouve mes deux amis, mais pour l'instant, je avoir qu'une idée en tête : douche. Je m'engouffre dans les communes et règle le thermostat pour que ce soit tout juste frais. Je m'étonne de l'agilité que je manifeste pour me dévêtir et lâche un soupir de bien-être quand l'eau ruisselle enfin sur ma peau meurtrie par notre soirée.
Appuyant ma tête contre le mur, je plonge dans des réflexions tellement profondes que je même pas savoir à quoi je pense. Très vite, j'enfile le jogging rangé dans mon vestiaire et rejoint ma chambre d'un pas bien plus léger, encore trempé. Je avoir toujours l'impression d'être dans les vapes, mais la sensation d'être propre me fait le plus grand bien et je souris en repensant au passage de la soirée que je me souviens. Quand je repense à Basile. Et à Ulrick. Peut-être surtout à Ulrick, qui sait ? Moi ? Ah oui. J'en venir même à espérer qu'il se trouve dans ma chambre.

En m'asseyant sur mon lit, je sursaute en sentant une masse en dessous de moi et me relève aussitôt. Je pas avoir allumé la lumière, du coup je à peine distinguer Ulrick, et mon sang ne fait qu'un tour. Mon cœur s’accélère et je déglutis, secoué par les pensées qui me traverse la tête. Sans un mot, je me penche sur lui, glisse ma main blessée derrière sa nuque et l'embrasse langoureusement. En même temps, je m'installe sur le lit, bloquant Ulrick sous mon poids, une jambe légèrement pliée et l'autre calée entre les siennes, sans pouvoir m'empêcher de rougir en me rendant compte que cette fois, il être réellement nu, et aussi excité que moi.
Je me détache de ses lèvres pour m'occuper de son cou et de son torse musclé, traçant des sillons humides avec ma langue, collant mon corps contre le sien encore parfumé par l'alcool, odeur qui m'étourdis légèrement.
Je me recule pour reprendre mon souffle et admirer le physique d'Ulrick malheureusement en parti caché par le drap qui nous sépare. Et comme ça devoir arriver, je hésite, encore, déjà mangé par les remords. Je faire une erreur, et je vais le regretter. Mais pour l'instant, c'est comme si ça n'avoir aucune importance. Je avoir l'impression de revivre enfin, depuis cinq ans où je plus rien faire de réellement nouveau.

- Tu pas avoir récupéré ton pantalon, finalement ? M'enquis-je d'une voix cassée par le désir.

Je le défis d'un sourire, en profitant également pour essayer de remettre mes cheveux en arrière.
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MessageSujet: Re: BALURICK : Y.M.C.A.   BALURICK : Y.M.C.A. - Page 2 Icon_minitimeVen 28 Fév - 0:12

Stay aliiive, stay aliiight ~
(le clip est énorme, à regarder :3)


Je galère un peu avec cette serrure mais je finis par y arriver. Elle a voulu faire sa maligne mais on ne me la fait pas à moi. Je ne suis pas le genre de mec à s'en aller, dépité, parce qu'il a perdu son duel contre une serrure grippée. Je suis le genre de mec qui gagne, quitte à casser sa clef. Ce qui s'est passé, en l’occurrence. Je range mon bout de clef dans ma poche et sourit, narguant la serrure, fermée, du moins jusqu'au lendemain. Enfin … dans quelques heures... Euh … je suis plus très frais. Je m'embrouille. L'essentiel à retenir de ce paragraphe étant que j'ai vaincu la bad serrure. Attendez … Quel paragraphe ? Et qui êtes vous ?
Je suis mes amis distraitement et je me rends compte qu'il n'y a plus personne autour de moi quand je regarde après un battement de paupière. Je me décolle du mur des escaliers et baille. Mais je … Ils étaient là il n'y a même pas trente …. deux … heures … je sais plus. J’essuie ma bave, ne sachant pas vraiment comment elle est arrivée là et je continue mon chemin.
Je m'aperçois au fur et à mesure que l'ambiance à changé. Il y a des détenus autour de moi qui me regardent bizarre et la lumière du jour. La lumière du jour ? Mais ça veut dire qu'on est le jour ! Merde alors ! Je speed jusqu'en haut et découvre un couloir ensoleillé. Et merde de putain de merde. J'ai dormi contre un mur ? C'est la putain de loose.
Je vois passer devant moi Chef Louis qui court. Chef Louis qui court. C'est la blague du siècle. Je l’arrête à temps pour lui parler et il m'explique la situation.


« Des détenus ont saccagé le réfectoire et cassé une clef dans la serrure. Alors il faut tout remettre en ordre, cazzo ! Viens, tu vas aider aussi ! »

C'est pas très frais que j'aide à remettre nos conneries en ordre, ne me dénonçant pas une seule fois et pestant comme les autres après les ''salopards de détenus''. Je ne me souviens pas de grand chose d'hier mais je suis sûr d'un truc : on est venu, on a bu et on a foutu le bordel. Pfou, je suis pas très frais … Je baille sans arrêt et demande à Chef Louis de me demander un congé parce que j'ai mal dormi. Heureusement, il ne pose pas trop de question.
Courant rejoindre mes amis dans la chambre sans poignée de Luckas, je les découvre … pas là. Oh et puis merde. Moi je vais dormir. Je vais dans ma chambre et me couche dans mon lit et presque aussitôt je sombre au pays des songes. Dodo …
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