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 Aksel & Allen Circus

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Aksel & Allen Circus
R5723 & R5724 - Les jumeaux démoniaques
Aksel & Allen Circus

Date d'inscription : 23/03/2014

Mon personnage
Âge : 21 ans.
Nationalité : Américains.
Fréquentations :

Aksel & Allen Circus Empty
MessageSujet: Aksel & Allen Circus   Aksel & Allen Circus Icon_minitimeDim 23 Mar - 21:18

Dossier du détenu Matricules: R5723 et R5724]



  • Nom:Circus
  • Prénoms: Aksel et Allen
  • Sexe: MASCULIN (les deux)
  • Âge: 21 ans (les deux)
  • Origine: États-Unis, le Bronx.
  • Nationnalité: Américaine (les deux)
  • Casier judiciaire: Meurtres en série
  • Poids: 77Kg (les deux)
  • Taille: 1m78 (les deux)

Psychologie des détenus:

A...attendez ! Notre psychologie ? En gros parler de nous, tout ça ? Par où on commence frangin ? Je ne sais pas du tout. Je pense... Qu'on est hyperactifs. Et très malins. De quoi c'est-à-dire ? Ben malin ! Je crois qu'elle veut savoir dans quelle situation...mais ça on le dira après ! Croyez pas qu'on va tout vous déballer comme ça sur le tapis.

Sinon on se complète. On pense à la même chose. Tout le temps. Donc, on peut compléter la phrase de l'autre.

On aime la douleur. On est pervers comme vous dites. Même salement pervers. Faire mal aux autres. Vous les verriez gigoter ! Autant les femmes que les hommes. C'est tellement mignon ! Et leurs cris...un délice ! Un hors-d'œuvre ! Mais le bouquet final, c'est quand le cœur s'arrête. Vous ne pouvez pas imaginer la sensation éprouvée à ce moment-là... I-NOU-BLI-ABLE.

Résumé : on aime torturer, on aime tuer, on aime faire mal, aussi bien mentalement que physiquement. Et la douleur ne nous dérange pas. Ah oui ! On aime jouer à chat. Nous sommes toujours les chats bien sûr. Sinon ce n'est pas drôle chérie...


Physique des détenus:

Notre physique ? Nous sommes jumeaux alors pas trop de différences. Lequel vous voulez en description ? Le plus beau ? Ah c'est lui le plus beau ! Mais non, c'est toi le plus beau ! Mais non c'est toi... Tu me charries là... Aksel...pas devant la dame en fait non ? Ah oui, tu as raison. Snif. Aller, ne pleure pas. Dès qu'on est tous les deux seuls promis jurés ! Merci frangin...

Enfin...donc nous avons les cheveux noirs, les yeux jaunes – et oui comme les fauves chérie... – on a pas l'air balaise genre boxeurs, mais c'est que du muscle, et quand on tape, tu t'effondres de suite. Et on sait parfaitement ou te frapper pour te tuer d'un coup... Alors reste tranquille chérie... Puis on a la peau claire et blanche. Sublime peau d'ailleurs... Oh la tienne est plus belle que la mienne ! Mais non...la tienne est plus belle ! Si tu le dis mon Akselounet...mais la tienne est très belle et douce. C'est gentil mon petit Allen ! *Kiss* Pas devant la dame Aksel on a dit ! Mais la dame elle est morte sur la table Allen. *Tâte le cadavre* Ah oui ! Tu es toujours aussi rapide frangin ! Arrête un peu grand fou... J'aurais pu t'aider en plus. Tu m'as aidé à faire diversion Mon petit Allen ! Et rien que ça tu mérites pleins de petites choses censurées... Tu les mérites dix fois plus que moi...


Biographie des détenus:

Pff...pourquoi on parle à un enregistreur maintenant ! Parce que t'as assassiné la dame en premier ! Mais c'était drôle ! Et j'ai d'avantage aimer ce qu'il c'est passer après... C'était drôle oui... mais maintenant faut qu'on raconte notre histoire. Que le plus important alors ! Bien évidemment Aksel ! C'est pas drôle sinon...
Bien. Vous êtes bien assis ? Confortablement ? Bon je vous laisse le temps de changer de chaise, ça sera long alors bon... Mais non je blague ! Aller je commence !

Nous sommes nés ensemble comme de vrais jumeaux. Nous avons reçu la même éducation, les mêmes mots et les mêmes parents. Nous n'étions pas habillés pareils pour nous reconnaitre. Nos parents avaient peur de nous confondre. Petits, nous nous amusions à faire peur aux gens, à leur faire croire que nous étions morts des trucs dans ce genre. Leurs têtes horrifiées nous faisaient plaisir. Nous nous sommes calmés en fin de cinquième. Durant l'année de quatrième, nous avions commencé à faire les gentils élèves tout doux et tout gentils, moins turbulents, aimables, serviables, et toutes les autres qualités du monde !

Vous savez, nous aimons beaucoup le théâtre et la comédie, tout ça tout ça. De voir les gens faire semblant c'est une chose, mais le voir en vrai...nous le voulions tous les deux. Voir à quoi pouvaient ressembler les vrais cris de souffrance, les vrais rires, les vrais méchants, les vrais gentils. Même si nous avons très vite constaté que les gentils sont très rares... Très très rares. Nous avons discuté de ça pendant deux ans. Et au lycée, nous avons fait notre premier harcèlement. Cette fille était si forte...elle se tapait tous les mecs puis se barrait. Nous lui avons donné une bonne leçon. C'était naturel non ? Une lycéenne qui déprime après qu'elle ait regretté ses actes puis qui se suicide à cause des nombreuses lettres de menace qu'elle reçoit (et qu'elle range dans son casier comme de trophées, mais ça, c'est la version véridique, et pas celle que les inspecteurs vont penser). Mais racontons tout cela en détail...

Nous l'avons d'abord gentiment appâtée. On a fait semblant de ne pas s'intéresser à elle. Pour qu'elle ait envie de nous...posséder. De nous séduire. Pour elle c'était un jeu. Ça l'a été pour nous aussi. Allen l'a invitée chez nous. Première rendez-vous. Personne ne savait. Nous avions piégé son portable pour nous assurer qu'elle n'en parlerait à personne. Nous étions toujours proches pour éviter qu'elle ne soit une balance.
Je l'ai bien accueillie. Je lui ai servi le thé, puis elle a commencé à me parler. Qu'elle m'aime ? J'en ai rien à cirer, elle ment en plus, mais je te fais croire que moi aussi chérie. Puis je lui ai bandé les yeux et je lui ai demandé de me suivre. Je l'ai menée à la chambre et nous l'avons attachée à la chaise de bureau. Père et mère venais de partir pour Londres et nous ont appelé comme quoi tout allait bien. Personne ne t'entendra crier chérie.
J'ai aidé Allen à l'attacher et à la maitriser. La chaise est confortable ? Mais non on ne te frappera pas. Si on te frappe les inspecteurs vont remarquer des traces post mortem chérie ! Cependant...nous allons te faire ressentir une douleur à laquelle tu ne pourras pas luter.
Tu comprends ? Non ? Tu veux que l'on t'explique ? Tu cherches longtemps mais tu n'as presque pas couché avec les garçons. Ou alors après un long moment de dispute et de jalousie factice. Tu disais te les taper, mais tu séduisais puis lâchais le morceau.
Tu séduis trop chérie. Nous on va te faire mal. Hurle. Aller. On attend.

« - On attaque Aksel ?
- A toi l'honneur Allen. »


Je commençais par la violer. Lentement. Mais intensément fort. Puis vins mon tour. J'y allais rapidement, mais très longtemps. Elle commença à nous supplier. Nous refusions de capituler à ses caprices. Elle l'avait cherché non ? Oh oui et plus d'une fois.

Nous l'avons ensuite amenée sur un pont. A deux, nous avions prononcé sa sentence.

« Saute. »

Elle s'exécuta. Aucun soupçon ni même question nous était destiné.

Puis, quelques années plus tard, nos parents nous offrirent un appartement. A ce moment-là, nous prévoyons déjà les autres meurtres. Les autres victimes. Nous avions décidé de ne pas avoir de critère précis. De prendre une personne au hasard et de la suivre pour connaitre ses habitudes. Les tueurs prudents font souvent ça. Nous avons juste repris la technique. Comme un maître apprend à son élève à méditer. Nous, les tueurs nous apprennent indirectement les fils de leur métier.

Notre deuxième victime fut un homme. Plutôt jeune, la trentaine à peine. Il faisait son jogging tous les matins de 5 à 7h. Nous avons étudié son parcours avec minutie. Chaque recoin. Chaque angle. Chaque habitué qui passait aussi. Puis, là, nous avions sélectionné le lieu, la manière. Tout.

J'arrivais derrière la victime et l'assommais à moitié, juste pour qu'il reste au sol. Puis, à deux, nous lui ouvrîmes le ventre et déballâmes tous ses organes sur le sol. Ce fut un moment crucial. Voulions-nous recommencer ou arrêter là ?
Nous voulions continuer. Découvrir les autres façons de tuer. Les autres manières de faire mal. Lentement ou rapidement. La meilleure façon de tuer. Nous voulions tuer. Ça nous plaisait. Ça nous plait toujours. Vous savez, chaque 13 du mois nous allions à la chasse.et tous les 13 du mois, nous rapportions un trophée. Nous étions fiers et nous le sommes toujours.

Ensuite vint la troisième. Enfin...la troisième et le quatrième. Et oui. C'était un couple. Un très beau couple. Quel dommage que leurs voisins se soit tous absenté dans un même laps de temps. Nous sommes entrés démontant la porte. Le mari se prit un coup dans les couilles et la femme fut facilement maitrisée. Nous contrôlions tout. Et nous avons toujours tout contrôlé.
Nous les avons attachés tous les deux sur deux chaises. Ils étaient face à face. Nous leur avons posé des questions à tous les deux. Puis une idée nous vint à l'esprit... Choisissez qui va mourir et qui va survivre. Bien sur aucun des deux ne survivra. En fait ils choisissent lequel va mourir sous les yeux de l'autre !

C'était amusant ! Les deux pleuraient et les deux faisaient non de la tête pour pas qu'on tue l'autre. Mais cela devient vite lassant, alors on a violé la femme devint le mari ! Puis on battait le mari quand il voulait crier un peu trop fort. Vous l'auriez vu se retenir...c'était...merveilleux ! Et la femme qui hurlait et qui nous suppliait pour qu'on laisse son mari tranquille.

« Je ferais ce que vous voulez mais laissez-le ! » Qu'elle disait. De mon côté je m'amusais à lui faire répéter sa phrase. On ne sait jamais ! Elle aurait pu ne pas être consentante ! Alors qu'elle allait le répéter encore et encore, son mari fini par criser ! Il voulait mourir. Nous lui avons demandé : de quelle manière ? Il a répondu : rapidement. Tout en lui détachant soigneusement un bras, je lui donnais un pistolet malgré les pleurs de sa chère femme. Et Pan. En pleine tempe.
Puis vint ton tour chérie. Allen me donna l'arme, et je te la mise entre tes doigts. Vas-tu nous tuer ou te tuer ? Au début elle nous pointait, mais petit à petit, l'arme se dirigeait vers sa tempe, comme pour son mari. Ses larmes étaient excises, et sa tête explosée l'était aussi.

Comme c'était notre second meurtre, nous voulions dire au monde que nous commencions. Alors nous avons peint un grand 2 sur la porte. Une peinture très spéciale, qui, au feu, laisse des maques. Nous avions trouvé cela dans le garage du couple. De vernis non ? Pour du bois. Et le vernis ça fait un effet différent.
Lorsque nous avons mis le feu, nous avons juste regarde le feu bruler les rideaux. L'alarme était désactivée. Nous n'avons pas pu assister à l'embrasement complet de la maison. Dommage...

Est-ce qu'on leur parle des autres meurtres grand frère ? Humm...nan ! Juste des méthodes utilisées et les différentes victimes. Bah on a utilisé quoi...des cisailles, des battes de baseball, des tronçonneuses, des scalpels, des sacs plastiques, le cyber harcèlement, des couteaux de cuisine, des armes à feu et...et pleins d'autre choses ! Ouais, et après on a assassiné deux vieilles dames, plusieurs couples, avec et sans enfants, des enfants tout cours, des jeunes, des moins jeunes, de tout quoi ! Ah et pour les bébés on ne fait pas d'exception aussi. Vous voyez la devinette qui dit : qu'est-ce qu'il y a de pire qu'un bébé dans une poubelle ? Un bébé dans deux poubelles. Et ben nous, on le découpe, et on le met dans bien plus que deux poubelles ! On fait ça même avec les adultes. Mais les hommes de préférences. Les femmes c'est plus facile de les violer et bien plus amusant ! Puis on les tue derrière bien évidement ! Mais on a des petites préférences... Nous sommes exigeants et minutieux. Parfaits.

Hé frangin ! Je pense qu'ils se demandent comment on s'est fait choper si on est parfait ! Alala les gens normaux... vous connaissez l'ennuie ? Ben nous, on veut tenter toutes les manières de tuer. Y compris tuer toutes les personnes de classe différentes : secrétaire, ouvrier, patron, femme au foyer, étudiant, retraité, etc. Mais il nous manque une catégorie...la nôtre. Celle des tueurs. Nous voulions voir quelle serait la réaction d'un tueur de se retrouver tuer. Ça peut être drôle, vous ne pensez pas ? Tuer des tueurs... Alors nous nous sommes rendus et au lieu de la peine de mort, nous avons demandé à ce que l'on nous envoie dans la plus grande prison de malade du pays.
Alors, il arrive ce fourgon ?

Aksel - Allen - Les deux qui pensent la même choses - Juste la couleur pour quand ils parlent.

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