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 You're my Loveprize in Viewfinder

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MessageSujet: You're my Loveprize in Viewfinder   You're my Loveprize in Viewfinder Icon_minitimeMer 22 Oct - 23:38

. You're my Loveprize in Viewfinder .
♪ without you ♪

X. Feilong – U. Gantley

Cette fois c'était trop. J'avais explosé et remit à sa place mon jeune homme au pair de façon claire. Nous avions abandonné depuis longtemps d'avoir une relation, même physique, ensemble. En fait, Nous n'avions couché qu'une fois ensemble. Une fois très agréable mais à l'issue de laquelle nous avions décidé de ne plus recommencer. Nous n'étions pas compatible. Ce n'était pas pour autant que je l'avais mit à la porte, bien sûr.
Mais il était allé trop loin. J'avais besoin d'avoir une bonne relation avec le gardien Joe pour m'assurer une certaine prise sur les gardiens de DearDeath Jail. Et pour cela, je devais éliminer les ombres au tableau comme le fait, par exemple, de déranger son quotidien. Donc quand j'ai vu son fils sur mon canapé, sur les genoux d'Alhmet en train de se faire tripoter, j'ai réagit au quart de tour. Normal.
Et laissez moi vous dire que j'ai passé un sacré savon à l'Egyptien. Merde, j'ai besoin de cette relation, plus qu'il n'a besoin de faire le cul à ce petit gothique de Joe. J'ai clairement besoin de l'approbation de Joe et s'il découvre qu'ils s'envoient en l'air sous mon toit, je vais me faire littéralement défoncer.
Pour me calmer, je décide d'aller faire des heures supplémentaires. Après une bonne douche, je revêts mon costume trois pièces habituel et me dirige vers ma voiture. Dehors, je croise le jeune Joe, un peu rouge et je lui promets de ne rien dire à son père s'il se tient éloigné d'Alhmet qui est, de mon avis, beaucoup trop vieux pour lui. N'oublions pas qu'il mange du pain au petit déjeuner ce qui le classe dans la catégorie ''weirdos'' directement.
Une fois arrivé à la prison, je repère un attroupement de personnes dans le hall. Je me dirige vers eux et vois le docteur blond – l'allemand je crois, qui se précipite au milieu de la foule.


« Mais laissez moi passer putain de merde ! »

Elle fait éloigner la foule et je vois avec étonnement Ulrick, inconscient, étendu sur le sol. Il est entre les sous-sols et le hall.
Je me rends plus près de lui et suit le convoi médical jusqu'à l'infirmerie. Un peu plus tard, le cuisinier arrive et je vois bien qu'il panique. Hm, pauvre mec. Quand le médecin annonce qu'il doit partir d'ici pendant au moins quinze jours, je vois le cuisinier qui fait un pas en avant. Mais je le devance et énonce d'une voix forte.


« Je vais le prendre chez moi. J'habite dans une grande maison au village, il sera installé confortablement. »

Le cuisinier recule, j'ai gagné ce round.

Deux heures plus tard, il est installé confortablement dans mon lit, attaché à une poche de sang, le dos bandé, de la morphine plein le sang. Il fait peur à voir. Même un peu pitié. Et il m'excite.
J'ai envie de lui faire mal, de le faire saigner, de torturer ses blessures. C'est l'occasion rêvée. Mais je dois d'abord le mettre en confiance. Autant que possible. Je m’assois à côté de lui dans mon rocking-chair et commence à faire ma paperasse.
Quand il se réveille, j'annote un dossier de Kansas. Je ne sais pas pourquoi tout le monde l'appelle comme ça mais c'est une habitude que j'ai prise en écoutant les autres en parler. Je souris doucement et regarde mon pauvre bibliothécaire borgne émergé.


« Tu es réveillé Ulrick … c'est bien. Je me suis inquiété. »

Je pose mon dossier ailleurs, enlève mes petites lunettes rondes et prends sa main. Il va forcément me voir comme un sauveur après ça ...
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Ulrick Gantley
Bibliothécaire
Ulrick Gantley

Date d'inscription : 19/01/2014

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MessageSujet: Re: You're my Loveprize in Viewfinder   You're my Loveprize in Viewfinder Icon_minitimeVen 24 Oct - 1:09

Une sensation de bien être absolu m'englobait lorsque je m'éveillai, tout doucement. Puis, peu à peu, cette chaleur environnante s'estompa, pour dévoiler la douleur, de plus en plus forte, et la perception d'une réalité beaucoup trop pesante. D'abord, le lit. Confortable, un peu dur de matelas mais des oreillers moelleux qui me soutenaient bien. Et puis il faisait tout de même une température agréable dans cette pièce, si étonnamment calme pour ce que je soupçonnais être une infirmerie ou une chambre d'hôpital. Et puis il y avait cette odeur, personnelle, pas du tout aseptisée. Une odeur saine, d'air frais et de plantes. Je me rendis ensuite compte que quelque chose tirait ma peau au niveau de mon bras droit. Je bougeai légèrement ce dernier compris que j'étais rattaché à un tube... Une perfusion ? Cela semblait logique quand on repensait à...

Les souvenirs, violents et perturbants, me revinrent en mémoire, en un bloc confus. Mon estomac se noua et la bile remonta ma gorge jusqu'à ma bouche. Je la ravalai par réflexe et le regrettai aussitôt, ne désirant plus que tout recracher et me réhydrater. Comme les images de mon séjour au sous sol continuaient de me torturer, allant jusqu'à me dégoûter de moi même, j'ouvris les yeux. C'était la seule solution que j'avais trouvé pour m'évader.

Ma vue était un peu trouble et je clignai plusieurs fois de la paupière, gémissant doucement. J'entendis la présence de quelqu'un à mes côtés et tournai la tête, ne sachant qui espérer voir. En tout cas, je ne fus pas déçu. Xiao... Mon cœur fit un bond dans ma poitrine et un faible sourire s'afficha automatiquement sur mes lèvres, sans doute très pâles.
Il me parla et saisit ma main, je ne me sentis que plus enchanté par sa présence. J'avais tellement envie de me jeter dans ses bras et me blottir contre lui, pour ne plus jamais en repartir. Mollement, mes doigts serrèrent les siens, désirant l'empêcher de partir, pour quelque raison que ce soit.

« Xiao... » réussis je à articuler malgré ma bouche pâteuse. « C'était tellement horrible... Mais maintenant, tout va bien, hein ? Tout est fini ? Elle ne reviendra pas, n'est ce pas ? »

Je projetai sur le Hongkongais un regard empli de détresse et d'espoir, l’œil luisant. Et soudain, je pensai à Basile. J'avais dû l'inquiéter ! Mais est ce que quelqu'un d'autre était au courant ? Xiao m'avait il simplement trouvé et emmené ici ?

Je me souvenais maintenant... J'étais tombé dans les pommes. A mon réveil, j'étais allongé par terre, libéré de mes entraves, mais abandonné dans un état catastrophique. J'avais rampé jusqu'à l'escalier, chanceux de le retrouver en un seul essai. Il fallait croire que le désir de survie m'avait donné un miraculeux sens de l'orientation. J'avais ensuite, au prix de nombreux efforts, gravi les marches, une à une, me blessant un peu plus par endroits. Lorsque j'avais finalement pu ouvrir la porte, que la lumière m'avait illuminé, j'avais tout abandonné. Lâché prise. Soulagé. Espérant que quelqu'un de bienveillant me trouve. Et je m'étais affalé au sol. Ensuite, je m'étais réveillé ici.

« Les autres... ? Ils savent ? Mon ami Basile, il est au courant ? »

Et Luckas ? Et Liam ? J'avais peur de ce que pourrai faire Liam. S'il retrouvait la fille... La tuerait il ? En serais je heureux et soulagé ? Je ne pensais pas. Je n'arrivais pas à m'ôter ce sentiment, presque amoureux, que je ressentais pour elle. Je décidai qu'il valait mieux le reporter sur Xiao, ce qui était beaucoup plus sain et bien moins dangereux.

« Prends moi dans tes bras... »

C'était tout ce que je désirais maintenant. Un peu de chaleur et de réconfort.
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MessageSujet: Re: You're my Loveprize in Viewfinder   You're my Loveprize in Viewfinder Icon_minitimeJeu 30 Oct - 15:30

Le calme règne dans la maison. Oh pourtant ce n'est pas faute d'avoir des enfants ici et même un jeune homme au pair qui parle fort mais tout le monde a accepté le fait d'avoir une malade ici. Alhmet est parti courir pendant deux heures avant de revenir faire calmement la cuisine, les enfants jouent tranquillement dans leur chambre et même le chien dort en face de la cheminée.
Oui le chien. J'ai finalement craqué après les nombreuses phrases de Georges sur le fait d'avoir un chien comme quoi ça pourrait me sauver la vie en cas d'attaque et qu'un vrai homme ça doit avoir un chien. Donc j'ai été au refuge de Portland et j'ai trouvé une énorme boule de poil. Un eurasier presque aussi grand que moi quand il se met sur ses deux pattes arrières. Il s'appelle Maoqiù, boule de poils en mandarin.
J'entends des petits rires dans la pièce d'à côté. C'est si … bon. Après DearDeath et son ambiance glauque, morbide et sombre. Mes filles me font un bien fou quand elle sont là. Je dois en profiter un maximum parce que dès la fin des vacances, elles retourneront dans leur pension.
Le sourire d'Ulrick me fait sourire à mon tour. Oh il est faible, terriblement faible mais il a sourit e me voyant alors ça ne peut être qu'un bon présage pour la suite des événements, de notre relation. Je le couve du regard, ma main toujours dans la sienne. Est-ce qu'il y croit vraiment ? Est-ce qu'il sait que je me joue de lui ?
Sa main serre la mienne et je me sens comme si un fantôme essayait de me toucher. Ses doigts sont glacés, terriblement froids. Je pose mon autre main en chapeau par dessus nos deux mains entrelacées, essayant de réchauffer un peu ce que je peux. Est-ce que la couette n'est pas assez chaude ? Le médecin a dit qu'il devait garder les bras en dehors pour toutes les perfusions mais s'il a froid … ?
Au prix d'un effort considérable, il finir par décrocher quelques phrases. Des phrases troublantes.
Je retire mes mains et je passe sous les cables pour venir dans le lit avec lui. Le collant contre moi, la tête sur ma poitrine, je passe une main dans ses cheveux. Je caresse même sa joue, doucement. Je ne veux pas le brusquer.


« Tout va bien, tu es en sécurité. Tu es chez moi. Plus rien de mauvais ne pourra t'arriver, je vais y veiller. »

L'une de mes mains chaudes passe sous le haut de son pyjama en pilou couleur vomi de lendemain de cuite et je caresse son ventre. Presque tout son corps est recouvert de bandages. Au moins il est paré pour Halloween, il peut faire la momie. Oh, désolé, ce n'est pas drôle.
Je souris avec bienveillance et réponds aux questions auxquelles je m'attendais.


« Oui, tout le monde est au courant. Le docteur Van Landsitz s'est occupé de toi et ton ami Basile et moi avons décidé d'un commun accord que tu serais mieux ici qu'à DearDeath. Tu as un arrêt de travail à durée indéterminée et ton frère essaye d'obtenir une permission de sortie pour venir te voir en ce moment même. »

Je le berce, lentement. La porte grince et je vois deux petites têtes qui dépassent de l’entrebâillement en silence. Je leur fais signe d'entrer et elles s’exécutent, semblant fascinées par Ulrick.
L'une d'elle, Kiwi, porte une salopette en jean gris et un t-shirt blanc avec un gilet en laine gris. Sun, plus exubérante porte une robe façon années trente, rouge à pois noirs, et des mignonnes petites ballerines à bande rouge vernies. Kiwi a les cheveux courts à la garçonne et Sun a une longue tresse sur le côté.

« Les filles, il ne faudra pas rester longtemps, d'accord ? Ulrick doit se reposer. Ulrick, voici mes filles, Kiwi et Sun. »

Je serre Ulrick contre moi alors que mes filles s’inclinent respectueusement et viennent s'asseoir chacune d'un côté du lit. Elles sont complètement passionnées par le bibliothécaire.

« Vous allez aller mieux ?
-Papa a l'air de beaucoup vous aimer, reposez vous bien. »

Oui, mes filles sont adorables.
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Ulrick Gantley
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MessageSujet: Re: You're my Loveprize in Viewfinder   You're my Loveprize in Viewfinder Icon_minitimeJeu 30 Oct - 19:21

Avant même de commencer à me répondre, Xiao se glissa dans le lit, à mes côtés. Il me serra tendrement contre lui et je fermai l’œil alors que ses doigts caressaient mes cheveux. Ces derniers étaient propres, on les avait lavés. On avait d'ailleurs dû me laver entièrement, parce que je ne ressentais pas cette impression qui survenait lorsqu'on avait traîné des jours entiers dans sa propre saleté. En y repensant, j'eus envie de pleurer, mais je me retins, pour essayer de me réfugier dans le cocon que m'offrait Xiao. Xiao et sa maison. Alors j'étais bel et bien chez lui. Pourquoi est ce que cette idée seule m'excitait ? Pas visiblement, mais je savais que mon rythme cardiaque avait légèrement augmenté et que mes muscles s'étaient un peu tendus. Et puis, il veillait sur moi. Je n'avais rien à craindre dans ses bras, dans sa maison.

Un contact chaud me surprit, sur mon ventre. Je compris qu'il s'agissait de la main de Xiao et me sentis rougir, heureux qu'ainsi collé contre son torse, il ne puisse pas me voir. Cet homme osait tellement de choses, il n'hésitait jamais à me montrer l'attirance qu'il éprouvait pour moi. Ce depuis le début. Nous n'avions jamais eu que deux rendez vous, assez chaotiques par ailleurs. Un restaurant avorté par une urgence et l'anniversaire de Basile. J'étais trop bourré à cette soirée pour m'en souvenir avec exactitude, mais j'étais certain que nous n'avions pas couché ensemble. Du coup, notre proximité actuelle attisait grandement ma timidité et la tension sexuelle. Oui, Xiao était le genre de mec capable de me donner envie de lui alors que j'étais dans un état absolument déplorable. Et pour ça, mon affection pour lui n'en était que plus forte.
Sous ses caresses, mon ventre se contracta un peu. La douleur qui s'ensuivit me persuada de ne pas en faire plus.

Alors, tout le monde savait. Au moins, Basile ne s'inquiéterait pas. Mais que pensait il de tout ça ? N'avait il pas hâte de savoir ce qui s'était passé ? Et Xiao ? N'allait il pas me poser des questions et me faire repenser à tout ce cauchemar ? Au moins, j'avais un congé prolongé, qui était le bienvenu.

« Il ne va pas venir tout de même, hein ? »

J'étais inquiet au sujet de mon frère. Pour certaines raisons liées à mon état, il était l'une des dernières personnes que je voulais voir.
Je me pressai un peu plus contre Xiao et déposa ma main sur sa cuisse. Je voulais lui montrer que ses gestes attentionnés comptaient pour moi, je voulais l'encourager aussi.
Alors qu'il me berçait doucement et que je commençais à caresser la tendre idée d'un baiser, la porte de la chambre grinça et je tournai la tête vers l'entrée de la chambre. Surgirent du couloir deux petites filles au style bien différent mais dont les traits ne laissaient aucun doute quant à leur parenté. Très polies et concernées, surtout pour leur âge, elles s'approchèrent pour s'inquiéter de moi et me souhaiter un prompt rétablissement. Elles étaient vraiment adorable mais mon premier réflexe, en les voyant dans la pièce, fut de vouloir m'écarter de Xiao. Nous étions dans un moment que j'estimais assez intime pour vouloir le cacher à des enfants. Mais le Hongkongais me retint. Alors ça ne le dérangeait pas ? Il s'affichait vraiment devant ses propres enfants ? J'étais impressionné et mon malaise se dissipa un peu. Alors, tout allait bien ? Il était rare que je ressente une telle chose dans mes relations, plutôt éphémères d'ailleurs.

« Enchanté, Kiwi et Sun. Merci beaucoup, je vais faire au mieux, ne vous inquiétez pas à propos de ça. »

Oui, elles étaient gentilles et mignonnes, même si elles me fixaient avec insistance, ce que je trouvais un peu bizarre. Est ce que c'était le fait que je sois venu dans leur maison alors qu'elles ne m'avaient jamais vu ? Ou bien parce que j'étais au lit avec leur père ? Le fait que je sois un homme ne semblait en revanche pas les déranger.

« Oh, Xiao, tu ne m'avais pas dit que tu avais deux filles. Laquelle était malade l'autre fois ? »

Ca avait été son excuse pour partir du restaurant en catastrophe. Sa fille était malade. Bon. Je ne m'étais pas inquiété plus que cela, après tout, jamais un homme encore marié ne m'aurait ainsi sauté dessus devant tout un réfectoire. N'est ce pas ? Tout de même, la question me brûlait les lèvres. Mais je ne pouvais pas le faire devant les enfants, au risque d'éveiller des souvenirs douloureux. Et je ne voulais surtout pas les blesser, parce que je m'attachais de plus en plus à Xiao.

Lorsqu'elles s'en allèrent, un peu penaud de me demander de telles choses, je marmonnai, le visage levé dans la direction de l'homme :

« Tu n'es pas marié, au moins ? Ou avec quelqu'un d'autre, hein ? »

Mon inquiétude était plutôt compréhensible étant donné mon historique amoureux récent. Xiao n'était cependant pas au courant et je craignais qu'il ne se moque de moi ou prenne mal ma question.
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