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 Luckas Faszler [Gardien]

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AuteurMessage
Luckas Faszler
Gardien
Luckas Faszler

Date d'inscription : 12/01/2014

Mon personnage
Âge : 30-31 ans
Nationalité : Allemande
Fréquentations :

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MessageSujet: Luckas Faszler [Gardien]   Luckas Faszler [Gardien] Icon_minitimeDim 12 Jan - 15:36

Profession: Gardien


 
  • Nom:Faszler
  • Prénom(s):Luckas
  • Sexe:Homme
  • Âge:Trente ans
  • Origine: Allemagne, Munich
  • Nationnalité: Berlin
  • CV: STAPS, puis dans l'armée de 2005 à 2009.
  • Poids: 94kg
  • Taille: 1m83

Psychologie du professionnel:

Ich bin sérieux et strict. J'écoute les ordres sans contester, comme j'avais toujours l'habitude de faire dans l'armée. Je suis donc le genre de gardien que les détenus redoutent, car je pas hésiter à utiliser menaces pour me faire écouter, et j'aime la discipline, le respect et les choses bien rangées. Malgré apparence sévère, froide et pas rigolote, je être quelqu'un de gentil, même si ça ne se voit pas car je le cache, et je n'aime pas faire violence, et n'ai jamais aimé. Problèmes affectifs, je ne supporte pas le contact et ai tendance à me crisper si les gens me touchent. Pas impressionnable et pas peur de criminels, au contraire. J'ai une nature plutôt pessimiste, et suis assez maniaque. Si je avoir telle apparence de l'homme qui ne plaisante pas, et si je suis distant, c'est parce que je m'attache très vite aux gens, et je n'en ai pas spécialement envie ici.
Je suis très calme et parle peu, mais m'énerve très vite et hausse le ton si on ne m'écoute pas, et dans ces moments-là, j'ai du mal à parler un anglais compréhensible. Donc, plutôt cliché de l'allemand de base, je pense, car je suis très patriotique avec ça. Même si je ne plaisante pas beaucoup, j'aime dire conneries et lancer des vannes, mais j'évite le plus possible.
J'adore les chiens, surtout les Jak Russel und les Berger Allemand, d'ailleurs, deux de ses animaux m'attendent chez moi, avec ma fiancée. La lecture, la bière et la musique sont mes passions, mais j'aime pratiquer beaucoup de sport pour me vider la tête.


Physique du professionnel:

Je avoir les cheveux blonds, toujours plaqués en arrière, et parfois petites mèches retombent sur le visage, ce qui est agaçant car je préfère que mon apparence soit soignée. Yeux bleus, sourcils souvent froncés et peau claire. Je suis un homme grand et musclé, et je me tiens très droit, ce sont mes restes de ma carrière dans l'armée. Porter uniforme vert très souvent, et je met tout le temps un collier avec une croix de chevalier de la Croix de Fer.
Mon visage est plutôt fin, mais mes traits sont dur et je pas sourire beaucoup. Je porte souvent des gants noirs car je n'aime pas me salir, et ma tenue est toujours impeccablement impeccable. Expression blasée, il paraît que j'ai une tête de vrai salopard, mais je m'en moque. Parfois je porte des lunettes de vue, mais ce n'est pas mon truc. Et en dehors du travail, je porte souvent débardeur, chemise à carreaux et jeans simple, mais je aimer les habits sophistiqués.  


Biographie du professionnel:

Plus jeune, je aurais aimé être professeur de sport, ou coach sportif. Depuis mes cinq ans, Tino était à mes côtés, un italien vivant en Allemagne depuis ses deux ans. Il était mon meilleur ami, nous faisions quatre cents coups ensemble et avoir grandi tout les deux, avec les mêmes ambitions. Il était comme mon frère, et physiquement même, nous nous ressemblions, bien qu'il était plus négligé que moi, et ses cheveux, plus clairs que les miens, n'étaient jamais coiffés.
Nous avoir loupés une année de fac, donc vouloir voir ailleurs. C'est comme ça que nous entrons dans l'armée, en 2004. Un ans plus tard, nous étions envoyés à la guerre du Golf, en Irak. Mais je pas vouloir faire la guerre, et Tino non plut, mais là-bas, ils avaient besoin de militaires, et nous étions bons au combat. Entre-temps, j'ai rencontré Giulia, jolie rousse italienne et amie de Tino. On formait un beau trio. Je étais heureux comme ça, alors pourquoi j'ai voulu changer d'horizons ? Une vie routinière, avec mes deux raisons de vivres, c'était suffisant. Mais il a fallu que je veuille goûter à la discipline, au danger. L'insouciance des jeunes, j'étais persuadé que nous reviendrions vivant, car à notre âge, on se sent invincible.

Quel con.

Même Tino savait que l'un de nous ne reviendrait pas, il me l'avait dit. Et je pas été angoissé, car il avait toujours été du genre pessimiste, contrairement à moi, avant, qui prenait la vie comme elle venait. Et après quelques années à la guerre, à nous battre, à tuer, à vivre sur le qui vive, nous nous sommes fait chopper.

Prise d'otage. Bien sûr, nous sommes les otages, Tino, moi, et deux autres soldats. Désarmés, affaiblis, nous prenions bien cher. On ne savait même pas combien de temps nous étions enfermés, dans les pires conditions, dans une pièce sombre et sale. Les terroristes nous frappaient, et nous ne pouvions pas nous défendre car blessés et épuisés. Les jours passaient, on ne mangeait presque pas, il faisait chaud, très chaud. Aucun signe de nos alliés. L'un des soldats était dans un sale état. L'un des irakien l'acheva d'une balle dans la tête. Son cadavre était resté longtemps parmi nous, nous avions pu voir l'évolution de la composition d'un corps humain sous la chaleur. Terrible. Encore aujourd'hui, je avoir images immondes dans la tête. Plus jamais la guerre.

Les terroristes voulaient quelque chose des autres et nous gardaient jusqu'à ce qu'ils obtiennent satisfaction, mais nous pas savoir de quoi ils s'agissaient. Nous ne savions pas ce qu'il se passait, à l'extérieur, ni quel jour nous étions, ni dans quel état nous nous trouvions. L'autre soldat décéda également, d'épuisement. Il tentait de parler aux ennemis, essayait de les convaincre de nous relâcher, en vain, et c'était lui qui prenait le plus. Tino et moi, nous restions assis, contre le mur glacial, à attendre, le regard vide, déjà morts. Parfois, nous entendre explosions à l'extérieur. La guerre continuait.

Un jour, l'un des terroristes était encore plus énervé que d'habitude. Il nous hurlait dessus, mais nous ne comprenions pas. Violence, encore de la violence, et nous pas la force de riposter, étions réduits à de vulgaires animaux. Blessures de plus en plus graves, plaies de plus en plus profondes, infectées, on savait qu'on allait aussi y passer. L'ennemi avait chopé Tino et le menaçait de sa mitraillette en lui hurlant dessus. Il était tout seul avec nous, les autres devaient être à l'extérieur. Alors, puisque plus rien à perdre, je tentais le tout pour le tout et je rassemblais mes dernières forces.

Je me levai, lui pas me voir car j'étais derrière lui, et grâce à mes bras puissants, je lui brisai la nuque. Il s'écroula, cessant tout bruit. Ce fût tellement simple que Tino est moi sommes restés un instant debout, les bras ballants et la bouche ouverte.
Je prendre l'arme du terroriste et, protégeant mon ami, nous sommes sortis, car porte pas fermée à clef, pour une fois.

Le reste des preneurs d'otages gardaient l'entrée, et moi avoir dû agir en traître et les abattre par derrière. Après avoir balayé la scène du regard, on se rendit compte que nous n'étions pas si éloignés de notre camp. La traversée serait risquée, mais nous pas pouvoir faire autrement.
Des cadavres gisaient, nous devions ramper entre eux. C'était calme. Peut-être étions nous surveillés, peut-être nos alliés pensaient que nous étions des ennemis tentant de s'infiltrait dans leur camp, ou que les irakiens nous prenaient pour des cibles, mais des balles se mirent à siffler à nos oreilles. Très vite, on se releva, et se mit à courir, sans savoir d'où provenait ces tirs.

Et ce qui devait arrivé arriva. Tino fût touché, à l'épaule et au flanc. Sur les quelques mètres qui restait, il a tenu et a continué de courir, le visage déformé par la douleur. Enfin, finalement, nos alliés nous reconnurent, et nous avoir été transportés d'urgence pour soigner les plus grosses blessures.

Tino est mort. Et je suis vivant. J'ai quitté l'armée aussi sec, et suis resté des années sans rien faire, avec le réconfort de Giulia qui avait elle aussi perdu son meilleur ami. Dépressif, idées suicidaires, cauchemars, hallucinations, je n'être plus que le fantôme de moi. Il fallait que je me réveille, et Giulia m'a aidé. Je ne serai plus rien sans elle. Elle m'a aidé à me relever, à trouver du travail, ici, à DearDeath, car c'est le seul endroit qui daigne accepter quelqu'un comme moi. Quand à Giulia, elle continue sa profession de metteur en scène. Depuis un ans que je suis dans ce pénitencier, je n'ai pu la revoir que deux fois, pendant deux semaines à chaque fois. Mais ses lettres et ses appels me suffissent et au moins, ici, je ne pense plus à Tino. Ou presque plus.

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Luckas Faszler [Gardien]

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