Une prison pas comme les autres ... Quel que soit votre crime, vous le paierez.
 
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 "Je sens que je vais me plaire ici."

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Clyde Anderson
F1323 - L'homme à la Rose Noire
Clyde Anderson

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MessageSujet: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeLun 6 Jan - 21:42

Quel mal de crâne... J'ai mal au crâne... ça m'écrase... J'ai l'impression qu'un train m'a frappé de plein fouet.
Un bruit... Quel est ce bruit ? Un bruit mécanique...Je connais ce bruit, c'est celui d'un fourgon de police.
Ah! ça y est je me souviens. Leur examen médical, la visite du docteur à l'accent allemand, il avait l'air louche, mais pourquoi chercher plus loin lorsqu'on a affaire à un médecin qui s'occupe tout les jours de types comme moi, voir pire que moi certainement. Et puis, pourquoi on doit toujours se désaper devant ce genre de type ?
Après la douche froide au carcher et la récupération de mes effets, ils ont dû me droguer pour que je rejoigne le royaume de Morphée, et pour que le chemin sois plus plaisant pour eux. Pfff... qu'est-ce que je donnerai pour un cigare, un cubain avec un léger arôme boisé serait le bienvenu. Bah...j'en trouverai bien là où je vais...C'est où, déjà ? Mince...la mémoire me flanche tout à coup.

Je lève la tête, et vois deux gros molosses l'un à côté de moi et l'autre en face, plutôt bien équipés, arme à feu de bon calibre, une matraque télescopique, très pratique et facile à transporter, sa leur plaît beaucoup. Leurs talkies-walkies rangés à la ceinture, et la bonne vieille plaque. Tout l'archétype même du bon flic, qui fait son taf avec beaucoup de cœur. Un sourire s'inscrit sur mes lèvres, ils doivent sûrement se demander pourquoi je souris.

« Ne vous inquiétez pas les gars, c'est juste un tic nerveux. »

Aussitôt leurs regard se sont tourné vers moi, façon robot. Peut-être m'ont-ils jugé, en tout cas ils n'ont pas cligné des yeux une seul fois. Je tente de résisté aussi, et aussitôt un combat de regard s'engage avec celui qui est en face de moi. L'autre le frappe et prononce d'une voix rauque :
« Laisse-le, il rigolera moins là-bas. »
Ouais. » rétorque l'autre.
Ils se mirent a rire. Alors machinalement, je me mis a rire aussi. Apparemment ce n'était pas une bonne idée, car ils s'arrêtèrent net et reprirent leur sérieux, me laissant seul.
Je repris le cours de ma pensée.

Où en étais-je ? Ah oui ! Où m'emmènent-ils ? Puis le chemin est très long, je sens les moindres bosses que le fourgon se prend. La banquette métallique inconfortable est gelée, il doit pas faire chaud, dehors. Je sens une odeur, quelque chose de familier, non pas cette odeur de métal, ni de gaz d'échappement. Non...c'est une odeur plus naturelle...plus belle. Je respire à plein poumons... Oui, nous sommes dans une forêt, ou du moins très proche. Il n'y a qu'une fenêtre et je n'y vois que le ciel et quatre barreaux de fer. Je regarde en face de moi et remarque que le gardien a mon Colt model 1911 rangé dans une petite valise mi-ouverte. J'essayerai de le récupérer, sa pourrait me servir. Non pas à m'enfuir en tuant quelques gardiens, ce serait trop périlleux, puis ils seraient beaucoup trop nombreux. Non, plutôt à me défendre. Mais où vais-je ?
Je lève la tête, regarde le garde en face de moi et prononce d'un ton nonchalant :

« Hey ! Le gorille ! On va où comme ça ? »
- C'est à moi que tu parle le Rosbeef ? »
- Ouais. »
- Grr ! On va à Deardeath ! La prison la plus sécurisée au monde, personne n'a jamais réussi à s'enfuir et tous ont péri entre ses murs. Les rigolos comme toi vont finir à la casserole. »
- Bien, j'ai hâte de goûter à leur cuisine. »
- Qu'est-ce que tu dis ? »
- Je disais : j'ai hâte de goûter à leur cuisine. »
- Fais le comique, et tu passeras un sale quart d'heure. »
- Juste un quart d'heure ? Je suis sur que tu peux faire mieux King Kong. »
- Tu vas voir, toi ! »
Il lève son poing pour me frapper, mais son pote l'arrête aussitôt :
« Sois patient John, on est bientôt arrivé »
- Et oui John, l'heure de notre séparation approche, tu me manqueras. »
A peine ma phrase terminée, que le gentil John m'enfonce son poing dans la figure.
« Ouch ! » Je me met à rire, un rire jaune certes mais un rire quand même. Il me regardai, l'envie de m'en recoller une autre doit le tirailler. J'attends que ça. Au moins, j'aurais le plaisir de lui rendre la monnaie.
Tiens ! En parlant de monnaie, je me demande si...Ah ! Oui, je l'ai. Ma pièce porte-bonheur dans ma poche arrière. En la mettant entre mes doigts, je réfléchis.
Deardeath, la prison la plus sécurisée au monde, qui peut-on enfermé dans un tel endroit ? Heureusement que je vais récupéré Ivory mon cher Colt. Qui sait quel maniaque je trouverais là-bas. Je me méfie mais en même temps ils m'intriguent. Peut être sont-ils sympa au fond, je le saurais bien assez tôt.
Le fourgon se stoppe, les deux molosses restent insensible au lourd freinage, qui d'après ce que j'ai pu entendre a dû laisser de grosses marques dans le gravier. Les portes s'ouvrent, ils me prennent et me soulèvent pour me faire sortir. La lumière du jour est horrible et perçante, je plisse les yeux pour y voir plus clair. Mais tout ce que je vois c'est des projecteurs, des miradors protégé de barbelés et une immense porte de fer. Elle se dresse devant moi, imposante. Elle pourrait m’impressionner si je n'avais pas l'habitude de ce genre de porte blindée. Lorsqu'elle s'ouvre, je ne peux m'empêcher de regarder comment elle est faite.
Du bon travail de professionnel, blindage à six point d'ancrage, quatre charnières permettent le verrouillage complet de la porte, celle-ci risque d'être difficile à détériorer et à ouvrir, mais peut être pas impossible.
Je jette un rapide coup d'oeil à l'intérieur de cette forteresse, je remarque une cour,
de là je suis parfaitement visible par les autres criminels, tant pis pour l'effet de surprise, un couloir fait de grillage à l'air libre a était construit sûrement pour empêcher les détenus de s'enfuir. Au bout de ce couloir une autre porte ouverte. A l'intérieur, le noir total. Ce noir qui dissimule tout l'intérieur du gigantesque bâtiment qui s'offre à moi : « Splendide ! » criai-je.
Les deux molosses m'accompagnent jusqu'à l'entrée du tunnel, et me balancent avec un léger sourire :
« Tu connais le chemin ! » A partir du moment où je me met à marcher vers l'entrée obscure, l'immense porte de métal se referme, toujours avec des bruits de grincement et de raclement sur le sol. Alors que je m'approchai, une silhouette dans le noir du bâtiment se dessine.
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Ombrage Sadwood
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeMar 7 Jan - 19:25

[dit moi si quelque chose ne te convient pas, par mp ou sur la Chatbox ^^]


Encore un! Aller et on recommence! Combien de mort va-t-il y avoir aujourd'hui? Quarante? Cinquante? Je pensais qu'il ne laisserais pas pas faire d'arrivé aujourd'hui. Surtout avec ce qui c'est passé hier..mais bon. Ca n'a pas l'air de les géner. On m'accordais donc une deuxieme chance. Esseyons de faire de gaffe cette fois. Mais bon...C'est pas mon truc les responsabilités. Enfin, c'est le boulot comme ils diraient tous. Mais j'en ai marre du boulot! J'en ai marre...Non, ne craque pas. tu as déjà craquer à l'arrivé de Neil, ça suffis amplement. D'ailleur, je l'ai croisé ce matin...On a eu une petite conversation. J'ariverais à te cerner, et à te faire craquer. Ce visage que tu m'as montré...je veux le revoir, grand méchant loup.

Mais où est ce dossier? Je cherche encore..Ils ne rangent jamais rien! Dans cette salle, c'est toujours le bordel. Une bouteille d'alcool par ci, une autre par la. Oh et la! que vois-je? Un morceau de pizza moisi derrière les fauteils. Un porcherie. Apres tout, c'est normal. Tout les gardiens étaient des porcs, pervers. Il serais grand temps qu'il est un peu de nouveauté, cela fait longtemps qu'on a pas vu un visage nouveaux ici. Toujours les même: harry, terry, henri..Bah! je ne sais même pas leur nom. Ah! Le dossier! Victoire. Donc voyons ton cas mon ami. Ami? Je ne suis même pas sur de m'entendre avec un seul détenu de la prison, ni même un seul gardien. Juste Ayame, la psy d'ici.

Un cambrioleur? C'est rare ici. D'habitude, ils nous envois plutôt les bon vieux taré, ayant déjà plus années de prison et de meurtres sur leur casier. Non, tu es plus délicat mon cher. "Rose noir"? "L'homme à la rose noir?" C'est assez mignon pour quelqu'un ayant douzes meutres sur les bras et deux autres sur le dos. Enfin, toujours se méfier des apparences. Une rose est entouré d'épines. Evitons d'avoir d'autre blessure. Quelle heure était-il?..je suis fatigué. je devrai avoir le temp de dormir. Cette nuit m'as fatigué plus qu'autre chose...Et m'a blessé aussi. Même si c'était par mon intermédiaire. Enfin..

Je regarde ma main..Sale état. Je devrais peut-être m'en occuper pour une fois. Je me lève et m'approche de lévier. Pas vraiment de quoi nettoyer. Fesons avec ce que l'on a: de l'eau, du savon et du tissu. Je passe les coupure sous l'eau, nettoyant avec soins celle où les bouts de miroirs étaient partis. Maintenant, le plus délicat. Je me crispe et sur le bord de gémir à chaque fois qu'un morceau est retiré de ma chaire. Qu'elle imbécile j'ai été de frapper dans cette vitre à cause de mon reflet. Vraiment imbécile.. Apres de longues minutes de souffrance, j'avais enfin finis. Il ne manqué plus qu'a bander cette main en fesant en sorte que le tissu ne me gène pas. Qu'elle était-il?...ça va..j'ai encore le temps de me reposer..je suis fatigué tellement...

Encore ce rêve...Mon père..Sa mort et cette sensation. Exquise. Le sang qui s'écoule de son cadavre et l'expression de son visage marquer par la stupeur, la peur. Ses yeux, deux orbites vide. Vide de sens, sans plus aucune expression. Pourquoi ne pas les arraché? Tu m'as tellement fait souffrir Papa. Non! N'approche pas ton sang de celui de Maman, tu es indigne d'elle. Indigne. Encore du sang, de la chair. Cette sensation. Je suis seule..personne ne la ressends la, avec moi. Tellement délicieux..J'aime tellement ton cadavre Papa. Et je ris, je ris encore. Une fillette en pleine adolescence, rigolant de la mort. N'est-ce pas merveilleux? L'inocence disparait, mais pas dans le sexe ou la jalousie des couples. Non! Ne me rabaissaient pas à cela. La mort, si belle...

Je me réveille en sursaut. Je vais être en retard. Je sort en courant de la salle, laissant à moitier tombé le dossier du nouveau. Arrivé devant l'entrée, les gardiens de surveillance me charrir.

"Combien de prisonnier vont mourir Aujourd'hui? Hein Criminelle?"

Ma reponse fut directe et clair. "Fermez la". Ils commencaient vraiment à m'énerver, un jours je les tuerais..tous. Pour l'heure, je devais accueillir ce petit nouveau tout droit sortit du tribunal. La grande porte de métal était ouverte et commençais déjà à se refermer. J'en conclu donc qu'ils avaient laché la bète. Ma conclusion était confirmé. Un homme assez imposant avancer vers moi, les mains encore menottés. Il avançait tranquillement, comme si le fait d'être en prison ne le géner pas. Tu es comme même priver de liberté, Tu te devrai te mettre ça dans le crâne. Enfin, il fait ce qu'il veut. Je suis juste venu récupérer le colis, pas plus pas moins. Evitons le carnage de la dernière fois. Je lui souris. Cette fois pas de gaffe, tu retires les menottes à l'interieur, n'est-ce pas Ombrage?

Anderson Clyde je suppose? Mais ça ne serais pas logique que ça ne sois pas toi. Il n'y a que toi de prévu à cette horaire."


Un gueule d'ange ce mec, trop innocent. Enfin, il y en a peu dans le coin, fait gaffe à pas te faire abîmer. Sa frappe dure ici. Il n'y a qu'a regarder la machoire de Neil, déjà bleu à son premier jours. Enfin, gueule d'ange mais regard sarcastique impitoyable.

"Je te retirais les menottes quand on aura passé le contrôle. Tu auras droit à un rendez vous psycologique peu dans les jours qui suivront. Les cellules se trouvent au premier étage. Une cloche sonne chaque horaire important. Le levée est à 7h30 , le repas du midi à 12h30 et le repas du soir 19h30. A 22h30 tous les détenus sont censé être en cellule pour la nuit. Les nouveaux arrivant sont prié de pratiquer un effort physique en salle de musculation de 15h à 18h"

A tient, j'avais oublier d'en informé le grand méchant loup. Je le fairais dés que je le pourrais. Bref, Pourquoi me dévisages-tu? je te dérange?

"Que veux-tu?"
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Clyde Anderson
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeMar 7 Jan - 21:46

Plus j'avance et plus la silhouette devient perceptible. Des bottes sortent de l'ombre et puis un corps, de femme à mon grand étonnement et la voilà qui s'avance vers moi, souriante. Ses cheveux ont plusieurs couleurs différentes, du violet, du vert et du brun, originale. J'apprécie, c'est mieux qu'un molosse dresser pour attaquer à la moindre occasion.
Je continue de la regardée, et de discerner à première vue sa personnalité. Savoir à qui j'ai affaire.
Tiens ! Elle a une blessure à la main. Intérressant, elle s'est battue, mais ce n'est pas sa première fois, se genre de chose ne se cache pas aussi facilement qu'on ne le souhaite. Une femme de caractère je suppose...très intéressant. Ses lèvres marmomonne quelque chose qui me reste indéchiffrable, et tout à coup des sons sortent de sa bouche :

« Anderson Clyde je suppose? Mais ça ne serais pas logique que ça ne sois pas toi. Il n'y a que toi de prévu à cette horaire. »

Son regard est si perçant, elle aussi, elle m'évalue. Elle veut savoir qui je suis ou ce que je suis. Pour l'instant elle a mon nom et mon prénom, sa suffit amplement. On continue de marché vers le pénitencier, quelques pas avant l'entrée et sa bouche libère d'autres paroles :

« Je te retirais les menottes quand on aura passé le contrôle. Tu auras droit à un rendez vous psychologique dans les jours qui suivront. Les cellules se trouvent au premier étage. Une cloche sonne chaque horaire important. Le levée est à 7h30 , le repas du midi à 12h30 et le repas du soir 19h30. A 22h30 tous les détenus sont censé être en cellule pour la nuit. Les nouveaux arrivant sont prié de pratiquer un effort physique en salle de musculation de 15h à 18h »

Sa voix a un timbre plutôt agréable.

«Que veux-tu ? »

Son regard croise le mien, toujours aussi perçant, elle à l'air plus aggresive tout à coup, pas besoin de vous énervez mademoiselle. Avec un grand sourire je lui répond :

« Et bien maintenant que vous en parlez, où sont les toilettes ? J'ai une envie assez pressante. »

Elle ne me répond pas, ma plaisanterie n'a pas l'air de lui faire un grand effet. Son regard semble encore plus perçant, j'ai l'impression qu'il entre en moi et qu'il cherche à entendre mes pensées. Cherchez encore mademoiselle.

On entre enfin, après avoir passé le contrôle, elle retire mes menottes. Aussitôt les a-t-elle enlevées que je me frotte les poignets, ses menottes sont toujours trop serrées, ils pensent jamais au confort du détenu.
Maintenant je suis à l'intérieur, le soleil et le ciel ont disparu laissant place à des couloirs de cellules, où chaques gardes est posté dans chaque coin, le toit est haut, il doit y avoir plus qu'un étage, cette prison m'a l'air plus grande de l'intérieur que de l'extérieur. Elle est comme un immense coffre fort, dans lequel on entasse, non pas des billets de banques, mais des détenus. D'ailleurs je me demande comment ils sont? Seront-ils à l'image de ce bâtiment, lugubre et morbide. Je verrais bien, je ne suis pas pressé de les rencontrés, tâchons de connaître un peu plus cette prison avant de se faire des amis.
La gardienne, me fais signe d'avancé. Je ne sais pas où elle m'emmène mais je la suivrai volontiers où elle le souhaite.
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Ombrage Sadwood
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeMer 8 Jan - 22:19

Ses yeux étaient noisette, en harmonie avec ses cheveux châtains. Ils me jugeaient, m'observant dans les moindres détails. Un sourire étira ses lèvres déformantes au passage la cicatrice qui ornait le côté gauche de son visage.

" Et bien maintenant que vous en parlez, où sont les toilettes ? J'ai une envie assez pressante. "


Une plaisanterie ? Et si c'est le cas, tu devras attendre. Enfin, ton humour me rappelle Neil. Serais-tu comme lui ? Enfin non, tu n'es pas comme lui sur tous les plans, sauf celui de l'humour. Enfin, pourquoi me dis-tu cela ? Pour faire rire ? Détendre l'atmosphère ? Me faire relâcher mon attention et que tu puisses voler les clés de ses chaines qui t'emprisonnent sans que je m'en rende compte ? Tu étais un voleur après tout.

Nous passâmes le contrôle, aucune embuche jusque-là. Espérons que ce calme va durer, j'ai besoin de rester discrète un moment. Même si on me baladant avec une arme de se calibre, ce n'est pas vraiment gagné. La porte fermée, le contrôle passé, je te retire les menottes. J'espère que tu ne vas pas non plus m'attaquer dans mon dos. Enfin, je ne montre jamais mon dos entier, j'ai toujours un œil derrière moi. Je voudrais éviter les surprises qui ne plairaient pas. Au passage, je récupère sa future tenue, immonde. Je me demande pourquoi on les oblige à porter une couleur aussi déguelasse. Est-ce que tu me suis, voleur ?

Allons bon, tu ne me causeras pas d'ennuis, on dirait, et j'en suis ravie. Enfin une arrivée qui se passe normalement. Discrétion, enfin ! C'est tellement bien le calme. Je lui remis sa tenue en détaillant celle qu'il portait. Malgré quelques taches un peu partout, il portait un costume assez élégant qui était un peu...surprenant. Une cravate rouge attirée l'œil. Voudrais-tu éviter tout éclaboussure de sang ? Tu n'es donc pas un tueur, tu trouves ton compte dans le dépouillage d'autrui. Un meurtrier, enfin pour la plupart, aime ressentir le sang sur eux. Le sang de leur victime agonisante.

D'une main, je lui montre la porte des douches.

"Change-toi là, c'est les douches et il n'y a personne à cet horaire. Pour plus tard, elles sont mixtes. Maintenant dépêche-toi."

En voyant la porte de douche, une pensée me repris. J'étouffai un rire. Dire que j'avais failli refaire la couleur de ses murs et de cette porte en particulier. Le sang et le cerveau de Neil avaient failli se retrouver à moitié déchiquetée ici. Je ne vous raconte pas le ménage si cela était arrivé. Et puis, il aurait été exécuter, avant l'heure, tout simplement. Je sortis le 'SIG-Sauer P229', cadeau d'Ayame, et m'entrepris de l'observer. Aucunes des 15 balles n'avaient encore été utilisé. Je les gardais en réserve pour cher Ami, Allesbury Clay William Ernest. L'arme était entièrement noir. La cross était plutôt confortable et l'arme en elle-même était maniable. Il ne manquait plus qu'un petit entrainement aux tires et ça serait parfait. Une arme restant simple. Mais la simplicité est beaucoup plus efficace que les armes customisée tout les gadget possible.

Tu es long Clyde. Tu te serais endormi. Je m'appuyais contre le mur, l'attendant. Un gardien passa, me souriant bêtement. Dans ces yeux hautains, je ne pouvais lire que mépris et supériorité ainsi que la question indirecte. "Que fais-tu ici, criminelle ?" Oui, j'ai tué et alors. Qui vous dit que je vais recommencer ? Enfin si, je vais recommencer, mais cela ne vous regarde absolument pas. C'est de la simple vengeance.

"Casse-toi!"

Manquant de lui faire un croche-pied, il s'éloigna, retournant à ces occupations. Bon que fais-tu Clyde ? Tu as rencontré une jeune détenue et tu tentes d'abusé d'elle ? Ou alors tu te disputes avec un autre détenu ? Ou même, tu n'arrives pas à enfiler cette foutu chemise et pantalon. Bouge ton cul bordel, je n'ai pas que ça à faire de ma journée. Je haussai la voix, histoire qu'il m'entende.

"Dépêche-toi Clyde. Ou alors tu ne comprends pas comment enfiler cette chemise déguelasse?"

Aller, je dois te conduire à ta cellule encore. Que cette arrivée se finisse bien comme même.
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Clyde Anderson
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeJeu 9 Jan - 20:50

Je suivais la gardienne, tout en projetant mon regard dans toute la prison, décernant la moindre parcelle de béton. Je pense que c'est un réflexe, un vieux réflexe. On doit toujours sondé les lieux que l'on ne connait pas, pour ensuite le connaître sur le bout des doigts. En cas de fuite ou de situation grave, connaître le terrain au préalable peut servir.
Elle stoppa mes pensées pour attraper une tenue, enfin je crois que s'en était une, peut être un vieux chiffon orange. Même si je me doute bien que c'est la tenue pour tous les prisonniers, je crois qu'au fond mon esprit ne se sent pas encore emprisonné. Mais je suis patient, quand il s'en rendra compte, ce sera autre chose. Une tout autre histoire comme à Londres. Ah ! Londres, une si belle ville, tellement de crime peuvent avoir lieu à Londres. Tué, volé est si aisé là-bas. Ce n'est pas pour rien si elle a servis pour bon nombre de légende tel que Jack l’Éventreur. Le livre préféré de ma défunte mère, qui ne trouva rien de mieux que d'appeler mon frère comme ce tueur sanguinaire, Jack. Jack...Tu me manque, j'aimerais que tu sois là. Où es-tu en ce moment ? Tu me cherches ? Tu me désobéis ? ça ne m'étonnerai pas. À moins que tu aies enfin trouvé une madame Anderson...madame Anderson... Une scène me viens, une sensation au fond de l'estomac.
Non je ne dois pas penser à ça... Non pas elle...Pas son visage...
La gardienne me montre la porte des douches et me tend le chiffon.

"Change-toi là, c'est les douches et il n'y a personne à cet horaire. Pour plus tard, elles sont mixtes. Maintenant dépêche-toi."

Je devrais la remercier, mais ma bouche reste close. Je suis trop pris par ma pensée, il faut que sa cesse. Il faut que je me ressaisisse, le passé reste le passé. Tant de démon en moi, tellement. Ils sont incontrôlables, imperturbables. Ce sont des fantômes. Ceux du passé. Je voudrais tellement subir un lavage de cerveau, oublié ce jour. Mais il est inscrit en moi, au fer rouge. Ma haine ne cesse de grandir... Elle enfle... Elle se transforme... Je le hais... Je le hais tellement ! Cet Assassin...

"Casse-toi!"  

Je lève brusquement la tête lorsque ce cri retentit, pourquoi elle cri ? Un détenu ce serais trop approché d'elle ? Alors, aurait-elle peur de nous ? Ceux qu'on appelle les criminels. Si c'est le cas, que fait-elle ici alors ? Dans ce lieu de rétention et de sanction.
Cette prison est étrange, l'atmosphère y est...lourd.
Cette pièce est froide et lugubre. Il s'est passé beaucoup de choses, ici. La douche est insalubre, de la crasse suinte le long des murs. Je la prendrai plus tard, je n'ai pas le temps. Je n'ai pas envie de m'attarder à discuter avec la gardienne, j'aurais tout mon temps pour ça. Pour l'heure, il faut que je réfléchisse à la manière la plus plausible de survivre ici. Réfléchis Clyde, comment tu faisais ? Rappelle-toi...Lorsqu'une nouvelle sensation familière s'installa au creux de mon estomac, tout mon corps ce mis à frémir.
Ah ! Oui, la meilleure solution que j'ai utilisé. L'improvisation. Après tout je suis dans un endroit inconnu, entouré d'inconnus de la pire espèce, quoi de mieux pour s'amuser un peu. L'adrénaline, ma vieille amie. Je sens que je vais me plaire ici. Et c'est avec un grand sourire presque un léger rire, que je m'appuie contre le mur. La tenue orange sur le dos, je regarde une dernière fois mon costume. Mon bon vieux costume trois pièces et ma cravate rouge. C'était tellement beau, tous ces braquages, tous ces vols de billet, parcourir les routes en dépensant notre argent à tort et à travers. La liberté. C'est une autre liberté qui s'ouvre à moi, maintenant. Totalement différente, mais toujours la même, émotionnellement.

"Dépêche-toi Clyde. Ou alors tu ne comprends pas comment enfiler cette chemise dégueulasse?"

On n'a vraiment pas le temps de se reposer, c'est incroyable ! Je prends mes affaires, enfournant ma cravate rouge et ma pièce porte-bonheur dans la poche arrière de la tenue. Et c'est avec un léger sourire, que j'ouvre la porte et vois la gardienne appuyée contre le mur. Elle me regarde et dis :

''Tu étais bien long, que faisais-tu ?''

- Il fallait que j'admire une dernière fois, mon beau costume. C'est un vieil ami, vous savez.''

Mes yeux se pose tout à coup vers sa cuisse. Tiens, elle porte une arme. De bon calibre, peut être le même qu'Ivory, mon colt. Non n'y pense pas Clyde, refoule tes pulsions. Ne te fais pas remarquer dès ton arrivée, laisse la tranquille. Pour l'instant fait profil bas. Même si le fait que ce soit une femme me gêne vraiment. J'ai toujours su poussé à bout mes gardiens, mais c'était des hommes. C'était tellement simple et amusant de les poussés au-delà de leurs limites. Mais là c'est une femme. Je suis vraiment stupide. Stoppé mes pulsions pour elle. Me voilà frustré. J'aurais tellement aimé lui voler son revolver, le plaqué contre sa tempe et m'enfuir. Mais ce serait trop simple de partir ainsi comme un lâche, j'ai un minimum de morale et surtout Elle ne voudrait pas ça. Non... stop ! sortez mauvais esprits, sortez ! Je ne veux plus vous voir ! Il faut que j'efface ces pensées, il faut que je pense à autre chose. Elle ne doit plus me hanté.

''Je présume que vous allez m'emmené dans ma cellule ? Suis-je seul ?''
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeSam 11 Jan - 20:46

Il pointa enfin sa tête hors de la piece, décoré d'un large sourire.

"Tu étais bien long, que faisais-tu ?''

Je n'aime pas attendre, mais contrairement à l'autre imbécile, tu étais sorti sans me tomber dessus. C'est déjà ça. Maintenant, espérons que le prochain soit rapide et ne me tombe pas dessus au risque de se prendre une balle dans la tête. Sa voix résonna en réponse à ma question.

"Il fallait que j'admire une dernière fois, mon beau costume. C'est un vieil ami, vous savez.''

Ton costume ? Ton ami ? Tu es au courant que ce ne sont que des habits ? Ils ne peuvent pas être tes amis. À moins que tu sois comme l'autre demeuré qui parle au mur.

Que regardes-tu ? Mon arme ? Que veux-tu la prendre ? Je ne suis pas si faible que ça, tu pourras demander à certain de tes collègues. Ils en ont encore quelques blessures. Enfin, je ne les plains pas, ils n'ont pas un œil ou la vie en moi, c'est déjà un exploit. Tu m'as l'air perdu, à la limite de l'angoisse. Que ce passe-t-il ? Serais-tu fou toi aussi ? Tu me sembles pourtant sain d'esprit. Mais la folie à différent aspect après tout. Tu parles à tes vêtements et maintenant, tu restes la planté, sans rien dire. Je n'ai pas que ça à faire. J'allais me mettre en route, en espérant qu'il me suivrait, mais sa voix me stoppa dans mon geste.

''Je présume que vous allez m'emmené dans ma cellule ? Suis-je seul ?''

Tu présumes bien mon grand. Seul ? Oui, si tu te retrouves en cellule d'isolement, ou encore si tu te retrouves seul avec le frère du biblio. Ce n'est pas un grand bavard et tu retrouveras vite à parler tout seul. Si tu arrives à enclencher une conversation avec les membres de la cellule voisine, fais juste attention au sujet. Ça peux vite tourner au vinaigre, et pof. Des ecchymoses et du sang apparaisse sur ta peau blanche quelques secondes.

"Cellule 2 avec Cian Neil, Akemi Akizumi et Allesbury Clay William Ernest. Neil te ressemble un peu niveau humour con, Akemi ne parle pas, ou peu. Et Allesbury...disparaitra dans quelque temps. Ne t'occupe pas de lui."

Allesbury. Tu risques un peu ta vie en étant dans la même cellule. Un jouet. Voilà comment il allait te considérer. Un simple jouet qui lui fera passer le temps. Que seras-tu ? Une poupée mécanique ? Un robot ? Une marionnette ?

"Si tu n'aimes pas les jeux d'enfant du style marionnette et autre, je te souhaite bon courage."

Le couloir était froid. Les détenus hurlaient. Encore une engueulade. Sortant l'autre flingue que le cadeau d'Aya, je pris le parti de dissiper le problème. J'en avais déjà mis un en cellule d'isolement, je pouvais en mettre d'autre. Je n'aurais aucune pitié.

"On se calme mes agneaux ! Le combat de coqs commencera quand on aura terminé l'arène."

Je séparai les deux adversaires, faisant au passage s'éloigner les autres.

"Le câlin cela sera pour une autre fois les mecs. On accepte les homos, mais on évite de le faire devant tout le monde"

Tu ne veux pas reculer mon ami ? Tu oses t'opposer à moi ? Traitresse peut-être, mais moi, j'ai une arme, même deux. Mais l'autre, je ne l'utiliserais pas. Elle était réservée pour une personne et pour les cas d'extrême urgence et dangereux. Aller recule. Je lui passe le flingue sous le menton. Il y a des avantages à être petit.

"Alors, tu penses que ça fait mal de se faire exploser la mâchoire et peut-être la cervelle au passage ? Alors recule mon grand. Clyde, tu es en cellule 2, je pense que tu peux te débrouiller sans moi."

Un poids de moins. Maintenant réglons ce problème tranquillement.
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Clyde Anderson
F1323 - L'homme à la Rose Noire
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeDim 12 Jan - 16:02

"Je présume que vous allez m'emmener dans ma cellule ? Suis-je seul ?''

Après cette question, mes pensées étaient accaparées à autre chose, enfin libérer de ce fardeau. Je m'imaginai mes compagnons de cellule, bizarrement de gros bras tatoués, capable d'écraser une noix de coco avec leur têtes.

"Cellule 2, avec Cian Neil, Akemi Akizumi et Allesbury Clay William Ernest. Neil te ressemble un peu niveau humour con, Akemi ne parle pas, ou peu. Et Allesbury...disparaitra dans quelque temps. Ne t'occupe pas de lui."

La fin de sa phrase c'était terminé sur une note sombre. Je ne sais pas ce que cet Allesbury a pu lui faire, mais elle était prête à tout pour s'en débarrasser. Serais-ce lui, le plus a craindre ? Possible.
Les autres n'ont pas l'air si horrible que ça. Un fanatique de l'humour étrange comme moi, si j'en crois la gardienne. Et un incorrigible timide. Le regard de la gardienne était comme plongé dans l'obscurité. Et en voyant les traits de son visage, on pouvait presque y lire en lettre capitale ''JE VEUX SA MORT''.
Elle arriverait presque à m'effrayer, si je n'avais pas déjà connu ce sentiment si puissant.

"Si tu n'aimes pas les jeux d'enfant du style marionnette et autre, je te souhaite bon courage."

Elle avait dit cela comme si je savais ce qu'elle pensait. Les jeux d'enfants ? Décidément cette prison est pleine de mystère. Il me tarde de les découvrir, mais d'abord je veux voir ma suite nuptiale.
On marcha dans un long couloir froid, des cris retentissaient. Une dispute entre détenu avait éclaté. Quelque chose me dit que c'était monnaie courant par ici. Arrivé à leur niveau, la gardienne sortit son arme d'un geste et la pointa sur les deux lascars.

"On se calme mes agneaux ! Le combat de coqs commencera quand on aura terminé l'arène."

Elle est bien plus forte qu'elle n'y paraît. Même plutôt efficace, on dirait qu'elle est faite pour ce travail. Ils s'étaient tous écartés presque effrayé. Ça me faisais sourire le fait de voir ces mecs s'écarter apeuré comme des enfants face à leurs pires cauchemars.

"Le câlin ce sera pour une autre fois les mecs. On accepte les homos, mais on évite de le faire devant tout le monde."

Un sarcasme. En disant cela avec sang froid, elle avait posé le canon de son revolver sous la mâchoire d'un des détenus qui avait refusé de reculer comme les autres.

"Alors, tu penses que ça fait mal de se faire exploser la mâchoire et peut-être la cervelle au passage ? Alors recule mon grand. Clyde, tu es en cellule 2, je pense que tu peux te débrouiller sans moi."

Elle n'avait pas quitté des yeux le détenus. Celui-ci avait l'air à la fois apeuré mais aussi malveillant, il la regardé dans les yeux. Comme pour la défiée de tirer même si au fond il ne le souhaitait pas vraiment. Tu as bien raison mon ami, mieux vaut survivre que périr comme un oiseau en cage.

''Pas de problème, je vous laisse réglez ça. Vous avez l'air d'avoir la situation en main. Si vous avez besoin, je suis en cellule 2.''

Les autres me regarder, un peu étonnés. Sans doute n'avaient-ils pas compris l'humour dans ma phrase. C'est fort probable vu l'espace vide qu'il doit se trouver entre leur cervelle et leur crâne. J'avançais le long du couloir. Aucune pensée en tête, si ce n'est l'idée de me poser enfin dans quelque chose qui pourrait faire office de lit. Mais quand on marche silencieusement on ne peut s'empêcher d'avoir des choses qui trottent dans la tête, surtout en prison, où on n'a rien d'autre à faire que de réfléchir.
Le visage de la gardienne lorsqu'elle m'avait parlé de mes compagnons de cellule, revint dans mon esprit. Ce regard haineux, assoiffé de vengeance. Quel sentiment puissant, surtout quand on tient une arme entre nos mains. On ne réfléchit plus, tout ce qu'on veut c'est étanché sa soif de vengeance. Comme je vous comprends Mademoiselle...
Quelque chose me frappe alors, elle connaissait mon nom mais le sien, j'avais omis de lui demander. Ce sera pour une prochaine fois.
Je tourne la tête pour regardé les chiffres des cellules, je vis alors le 2 rouillé sur le haut de la porte du cachot.
A voilà la cellule. Voyons voir qui se trouve à l'intérieur.
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitimeDim 12 Jan - 20:43

Rp Terminé

tu peux partir faire des rp's avec d'autre personnage! Bon jeu Very Happy
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MessageSujet: Re: "Je sens que je vais me plaire ici."   "Je sens que je vais me plaire ici." Icon_minitime

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