Lady Alice L3606 - Meurtrière au corbeau
Date d'inscription : 04/10/2012
Mon personnage Âge : 16 - 17 ans Nationalité : Anglaise Fréquentations :
| Sujet: Petites idées - Grands moyens Mer 5 Mar - 0:38 | |
| Petit bout d'inspi' que je voulais faire partager :3 pour ceux qui aiment le glauque je crois que ça va plaire... Sinon...! Sinon...sinon rien du tout en fait ^^" Musique d'inspi' (merki Nombrage :3)Petit texte 1 :
Je me dirigeai vers les portes, calmement. J’avais bien l’intention de sortir de cette prison. Cet asile rempli de fous. Et j’en sortirais. Parce que je ne suis pas folle. On m’a appris à tuer. Alors je vais tuer ceux qui m’ont appris à tuer. Par tous les moyens. Alors poussez-vous de mon chemin. Poussez-vous de ma vue. Armée des ciseaux de cuisine, j’avançais laissant des cadavres sur ma route. Mes pieds trempaient dans le sang de pauvres petites choses inoffensives et innocentes comparé à moi. Comparé à moi, vous n’êtes que des poussières. Alors poussez-vous si vous ne voulez pas crever inutilement. Vous n’êtes pas mes cibles. Tranquillement, je marchais sur mes cadavres, mes victimes, mais pas sur mes proies. Aller viens à moi. Viens…que je te fasse subir ce que tu m’as appris. Viens. Assume. Assume la souffrance que tu as infligée à ma sœur.
Tranquillement, je me dirigeais vers ce que les gens appellent l’étage interdit aux malades. Mais je ne suis pas malade mon chou, c’est toi qui l’es. Parce que c’est toi qui apprends aux gens comme moi à tuer. Toi qui apprends aux gens comme ma sœur à se nourrir du sang des autres. Alors celui qui doit être le plus interné, c’est toi. J’ouvre la porte, lentement pour que tu comprennes. Comprendre quoi ? A toi de voir. Regarde-moi. Regarde ma robe blanche, ou presque. Regarde mon arme. Remonte les yeux, et regarde les miens. Que crois-tu que je vais te faire ? Que je vais t’épargner ? Dis-le moi… Que penses-tu ? Parle.
Tu t’élances sur moi et me plaques au sol…mais crois-tu au moins pouvoir me toucher ? Tu vois ? D’un seul coup, tu te retrouves en étoile au plafond. Ton propre plafond. Mais quelle idée aussi d’attaquer un monstre ? Par la simple force de ma pensée, je te fais descendre. Vois-tu comment un cerveau comme toi est faible par rapport au mien ? Tu fais des pauvres petits calculs, mais moi, j’ai le contrôle total de moi-même. Tu comprends ça ? J’ai – le – contrôle – sur tout. Doucement, je commençais à écarter tes membres. Tu es tellement fragile petite proie. Tellement facile à briser, que c’en est amusant. Regarde-moi bien dans les yeux. Je veux voir ta douleur. Regarde-moi. REGARDE-MOI !
Je te plaquais au sol cette fois, t’immobilisant avec des chaines que JE contrôle. Je te contrôle ? Tu comprends espèce de taré ?! JE TE CONTROLE !
Lentement je te coupais le bout d’un doigt, le cisaillant à la limite de l’os. Puis un doigt entier. Puis deux. Puis trois. Tout ton sang se déversait au sol. Se sol si blanc où tu t’amuses avec tes plus belles patientes. Voir même avec les infirmières. Et bien tu vois, aujourd’hui, c’est moi qui m’amuse à le tacher. Ensuite, j’écartais ta blouse blanche. Admirant se torse peu musclé. Avec la pointe, je commençais a te l’entailler. Dessinant les parties que j’avais découpées. Tu sais, comme toi quand tu dessines au feutre sur tes tests. Tu sais les pointillés. Non ? Tant pis…tu vas voir de tes propres yeux. Le sang sortit sans giclée. Après tout, ta blessure n’était pas profonde. Quoi ? Tu cries déjà ? Mon pauvre choux…comment vas-tu réagir à ce qui va t’attendre ? Après avoir fini les délimitations, je te coupais ta main. Là, giclée. Exquise. Mais ce n’était pas assez, tu devais payer plus. Encore plus. Toujours plus.
« Que dirais-tu…de vivre tes propres autopsies ? »
Je t’écartais la cage thoracique. Tu hurles. Je ris. Ça gicle. Je m’en prends plein la gueule. J’empoigne mes ciseaux à deux mains, te poignardant. Encore. Encore. Toujours. Toujours plus fort. Douce violence. Intense violence. Sanguine violence. Encore. Encore. Moins ta mâchoire. Moins ta gorge. Moins ton foie. Des bouts de chairs volaient dans tous les sens, et ton sang tapissait les murs. Toujours plus de sang. Toujours plus difforme. Je finissais par t’arracher le cœur. Il ne mérite pas d’être intact. Plantant mes dents, j’arrachais un bout. Puis un autre. Les mâchant, puis les avalants.
Ton cœur n’est plus. Ton cœur est mien. |
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