Carte d'identité

Nom : Anderson
Prénom : Clyde
Sexe : Masculin
Age : 27
Origine : Anglais
 
Dossier Médical

Poids : 70 kg
Taille : 182cm

Aspect physique : Je suis brun, toujours bien peigné. J'ai les yeux noisette et une légère cicatrice sur le côté gauche du visage. Je porte toujours un costume trois pièce, et une cravate rouge sang (en cas d'éclaboussure), je suis très propre sur moi. J'aime être bien habillé. Je me tiens droit et j'ai une démarche sur de moi. Je suis de taille plutôt moyenne, et ni trop musclé ni trop maigre. Ma peau est beige foncé, du à mes origines hispanique. Et mon visage est ce qu'on appelle ''une Gueule d'ange'', trop propre sur lui pour être innocent.

Aspect psychologique/mental : Je suis très minutieux dans tout ce que je fais, mes choix, mes paroles ne sont jamais dîtes au hasard. Je n'aime pas parlé de moi, ni de ce que je peut ressentir. Il parait que je suis plutôt hautain, très sarcastique. Il paraîtrai également que je dis trop ce que je pense, ce qui m'a attiré beaucoup d'ennui croyez moi, pas beaucoup de gens ont de l'humour de nos jours (c'est peut être le mien qui est trop spécial allez savoir). J'aime le danger et les sensations fortes, ce qui peut expliquer des comportements parfois kamikaze. Cependant je suis assez sociable, comme dis le dicton "Sois proche de tes amis mais sois le encore plus de tes ennemis."

Dossier Judiciaire

Casier :
Vol à main armé de 6 casinos dont 12 banques
Infraction dans un lieu à haute sécurité
12 homicide dont 2 involontaire
Évadés de la prison de Londres

Matricule : F1323

Histoire

Bonjour j'espère que vous êtes bien installé. Croyez-vous au hasard ou à la chance ? Moi oui, j'y croyais.
Mon histoire est simple, je suis un voleur, depuis toujours, je crois que c'est héréditaire. J'aime les sensations extrêmes depuis tout jeune, si bien que sa m'a poussé jusqu'au dernier de mes retranchements.
L'adrénaline que l'on ressent lors d'un cambriolage avec un faible taux de réussite est si enivrant, que notre cœur s'accélère, nos poumons se serrent, le cerveau surchauffe à calculer nos moindre gestes. C'est une sensation si douce, si délicieuse, à la fois nous sommes attiré par elle, mais aussi repoussé. C'est sa qui me plait, l'adrénaline. C'est un besoin presque vital, pour moi. Les banques sécurisée, les casinos sur-protégés ne sont que de simple passe-temps. Mais je ne suis pas seul sur ce marché, nous sommes plusieurs à aimer cela par dessus tout.
Et c'est par pur égoïsme ou survie qu'on peut parfois commettre l'acte ultime.
C'est cette obsession si persistante qui me mena jusqu'ici et qui me caractérisa comme « L'homme à la Rose Noire », car lorsque les directeurs des casinos ouvraient leurs coffre vidé, il ne resté qu'une rose noire, posée au sol.
La chance m'a toujours aidé dans mon ''métier''.
Sauf ce jour, oui … je me souviens de ce jour. Le casino de Monte-Carlo, à Monaco. Il était superbe, les tours à l'entrée étaient serties de marbre blanc, tout comme le sol qui brillait sous mes chaussures de cuir fraîchement cirées. Comme à notre habitude, ma femme Clarisse et moi nous nous étions déguisés en client et pour être sûrs d'être bien reçus, il faut savoir se la jouer classe supérieure et toujours être hautain avec le personnel. Ce personnel, dont un groom qui n'était autre que mon frère Jack, avait accès à tout les étages du casino. Même le sous-sol, notre cible. Tout les coffres sont au sous-sol, cela permet en cas d'effraction de bloquer les accès aux étages supérieurs. Sauf que nous avions l'habitude, et pour nous c'était devenu un jeu. C'était si exaltant de dépouiller un riche propriétaire et de ne lui laisser que ma signature la fameuse rose noire. Le désespoir et parfois la colère qui se lisait sur son visage était si drôle, ça me faisait comme un plaisir un peu sadique de le ramener à la vermine qu'il était.
Mais cette fois, alors que nous nous étions infiltrés avec beaucoup de discrétion et de coordination, des bruits se firent entendre. Des perceuses, des flingues, des cris. Mon frère et moi étions dans la salle des coffres, et Clarisse devait surveiller si aucun garde ne revenait pour reprendre sa ronde. Car nous avions au préalable étudié les moindres gestes des gardiens, leurs moments de relève, leur temps de pause, leur temps de ronde. Nous avions choisi l'heure optimale pour tenter le braquage.
Mais nous n'étions pas les seuls à avoir choisi ce créneau. Une bande de mercenaire était arrivée, beaucoup moins discret il est vrai. Mais mieux armée et mieux équipée. Ils entrèrent dans la salle des coffres en faisant sauter la porte, alors que le sifflement de l'explosion restait dans mes oreilles et ma tête, les balles commençaient à fuser dans la salle. Quelques liasses de billet furent détruites par les coups de feu.
Clarisse sortit son colt et tira dans le tas. Elle était belle en pleine action, son sourire démontrait à quel point elle s'amusait à leur tirer dessus. Je crois que de la bande, elle était la plus cruelle de nous tous. Elle adorait sentir le sang couler, le sang chaud et brûlé par les balles. Ça me rappelle ce jour, où nous devions infiltrer ce cartel dissimulé dans un casino de Brooklyn, elle avait prit un malin plaisir à torturer leur chef et lorsqu'on avait tout raflé, je l'avais achevé d'une balle dans le crâne.
Ça oui, on en a connu des situations dangereuses, mais celle-ci l'était plus encore.
Nous étions piégés incapables de sortir, il fallait se frayer un chemin à travers ces gros bras. On tirait tous dans le tas. Lorsque les hommes s'écartèrent pour éviter nos tirs, je pris Clarisse par la main et je couru, nous sortant de ce piège infernal. L'instant d'une seconde, mon cœur s'arrêta de battre, mon cerveau de réfléchir, mon corps n'avait qu'une seule instruction, survivre.
A peine étions-nous sorti que la main de Clarisse m'échappa, l'un des mercenaires la détenait entre ses mains. Par instinct, je dégaina mon colt, Ivory. Je le tenais en joug, j'aurais pu l'atteindre d'une balle dans son infâme crâne, mais voilà, il y avait ma Clarisse qui le ''protégeait''. Elle était en face de moi, un revolver sur la tempe. Son regard me suppliait de la délivrer mais ses paroles m'ordonnées de tuer. J'hésitais, les gardiens n'allaient pas tarder à arriver en grand nombre. J'hésitais encore, grave erreur. Sans plus attendre, avec un sourire machiavélique comme s'il avait prévu son coup depuis le début, le mercenaire sans scrupule éclata son magnifique visage. Elle s'effondra sur le sol et avec elle mon âme. La colère me prit aux tripes, le sang de Clarisse coulait sur le sol. Plus il coulait et plus mon colt crachait des balles dans la chair des hommes qui se postaient en face de moi. Jack fut blessé à la jambe, lui aussi tirait dans le tas. Voyant leur effectif diminué à vue d’œil, les mercenaires s'enfuirent, et avec, l'assassin. Au moment où je me leva pour les poursuivre, les gardiens se firent entendre. Maintenant ce qui m’importait le plus c'était mon frère. Je lui fis signe de s'enfuir et il se releva péniblement et pris le premier ascenseur qui se présentait. Son regard me fit signe de venir avec lui, mais il comprit que je ne pouvais pas, et me murmura un léger « je reviendrai ». Mais je lui répondis qu'il ne devait pas.
Les gardiens couraient, leurs pas se faisaient entendre au fond du couloir.
Je me dirigea vers le corps de Clarisse. Et je me posa délicatement sur elle, comme pour espérer un dernier regard attendrissant de sa part. Quand ma tête se posa sur son corps inerte, plusieurs fusils d’assaut étaient braqués sur moi. Voilà comment un simple braquage, peut tourner à la catastrophe, en peu de temps. Mais ces mercenaires ne perdent rien pour attendre, j'aurai leurs peaux. Surtout celle de l'Assassin. Je l'étriperai comme l'aurait fait Clarisse, ce sera une belle vengeance …

Bienvenue
..ta fait signer le reglement....

Bienvenue à toi Clyde ! Enchanté de te voir parmi nous