Une prison pas comme les autres ... Quel que soit votre crime, vous le paierez.
 
AccueilPortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €

Partagez
 

 GI Joe, l'Américain trop américain

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Georges I. Joe
Gardien
Georges I. Joe

Date d'inscription : 24/02/2014

Mon personnage
Âge : 40 ans
Nationalité : Américain
Fréquentations :

GI Joe, l'Américain trop américain Empty
MessageSujet: GI Joe, l'Américain trop américain   GI Joe, l'Américain trop américain Icon_minitimeLun 24 Fév - 20:33

Profession: Gardien


 
  • Nom:Joe
  • Prénom(s):Georges Isaac
  • Sexe:masculin
  • Âge:40 ans
  • Origine: Etat de New York, Etats-Unis d'Amérique du monde
  • Nationnalité: Etat de New York, Etats-Unis d'Amérique du monde
  • CV: Service militaire de 18 à 20 ans ; Formation et service au SWAT de 20 à 26 ans ; Détective privé avec licence de 26 à 40 ans.
  • Poids: 106 kg
  • Taille: 185 cm

Psychologie du professionnel:

Attention : les idées et avis présentés dans cette fiche ne sont nullement représentatifs des idées et avis de l'auteure, mais seulement ceux du personnage lui même. Merci de votre compréhension.

Je suis un Américain, un vrai. Je pense américain, pour agir américain, quelles que soient les circonstances.
Oui, je suis nationaliste. Tout le monde devrait être nationaliste, parce qu'on devrait aimer son pays. Et si on ne l'aime pas, il n'y a qu'à le quitter pour un autre qu'on aime et alors, là, on devient nationaliste ! J'en ai rien à foutre de tous ces gens qui clament qu'ils ne peuvent pas partir. Ils n'avaient qu'à être Américains, car nous les Américains, rien ne nous arrête ! Nous sommes des selfmade men !
Bien sûr, je suis pour le capitalisme, à fond ! Et pour soutenir cet idéal magnifique, j'achète en masse, pour mon économie, pour les Etats-Unis d'Amérique. J'ai une piscine, une grosse voiture familiale, que je nettoie en été avec mon tuyau d'arrosage, un beau barbecue et une palissade blanche. Parce que c'est important, la palissade blanche, vous voyez, ça montre que vous respectez les autres Américains en vous fondant dans le moule.
D'ailleurs, je consomme aussi en bon Américain pour tout ce qui tient de la nourriture. A la maison, on mange minimum deux fois par jour de la viande de bœuf. Et il faut qu'une fois par semaine, on aille au MacDonald. Bien sûr, il y a toujours de quoi faire des frites et des pizzas. On mange beaucoup de surgelé aussi, ça soutient l'économie !
Après, faut utiliser toute cette énergie. Alors le sport, c'est bien. Je fais beaucoup de musculation, car c'est important de s'entretenir. Il faut garder la forme si on veut péter la gueule à ces enfoirés de terroristes ! … Je m'emporte, je traiterai ce sujet plus tard.
Donc le sport. C'est bien d'en faire, mais il faut aussi soutenir les professionnels de son pays. En regardant les matchs et en crachant sur la gueule de ces enfoirés d'asiatiques qui raflent plein de médailles aux JO ! De toute façon, je préfère le SuperBowl...
Mais ces connards de terroristes ! On aura leur peau ! Je me méfie de toute façon. Dès que j'en vois un, je le fais arrêter. On les reconnaît tout de suite, ces salauds, avec leur tête là...

Alors on me dit souvent, « nan mais arrête tes conneries GI, sors de ta bulle, lis un peu ! » Mais je lis ! Le journal, c'est pas important, ça peut être ? Et puis je suis quelqu'un de très cultivé.
La preuve : comme un bon Américain selfmade man, je pratique beaucoup le DIY. QUOI ? Tu sais pas ce que c'est le DIY ? T'es pas un vrai Américain alors. Tu serais pas un terroriste par hasard ?... DIY, c'est pour Do It Yourself. Je customise mes fringues, je me suis fait une étoile de shérif pour mon nouveau job et j'ai construit moi même ma maison, comme nos pères pèlerins.

Moi, je suis quelqu'un avec des convictions. J'aime pas les indécis et les gens qui réfléchissent trop. Bordel, un vrai Américain, ça tire d'abord et ça pose les questions ensuite ! Dans le meilleur des cas, on n'a même pas besoin de poser de question.
En tout cas, je sais que les gens ont une place bien définie dans la société et c'est super important de la respecter. Les femmes, par exemple, hein. Ca devrait pas travailler, ça devrait rester à la maison à cuisiner, faire le ménage et s'occuper des gosses. Les homosexuels, ils devraient carrément s'isoler et encore, je suis gentil. Les étrangers devraient rester chez eux, putain c'est pas pour rien que c'est des étrangers, qu'ils le restent ! Et puis là où je travaille maintenant, c'est pareil. Chacun à sa place. Et les détenus, ils doivent obéir aux gardiens, comme moi. Ils ont intérêt à se tenir à carreaux les petits choux, sinon c'est un bon coup dans la tronche.


Physique du professionnel:

Je fais une bonne taille d'Américain, un mètre quatre vingt cinq. C'est normal, faut au moins ça quoi. Et puis bien sûr, je fais en sorte de conserver mes muscles parfaits. Je dois impressionner et je dois être capable de faire ce que les femmes ne peuvent pas. Le travail d'un homme quoi, comme soulever des planches et nettoyer la tuyauterie. En tout cas, mon idole physique c'est mister Univers. Je n'arrive pas à atteindre ce niveau mais ça me fait rêver.
J'ai pris soin de graver à jamais l'amour que j'ai pour mon pays dans la chair. Avec un magnifique tatouage de drapeau américain, sur le pectoral droit. (soulève son t-shirt et fait bouger le muscle, ndlr). Et bien sûr, un magnifique aigle américain sur tout le dos. Par un aigle de sale Allemand nazi, attention ! Si j'en croise un, de nazi, putain...
Mes cheveux châtain foncé, à l'origine, sont devenus de plus en plus blancs à partir de la trentaine. Aujourd'hui, ils sont complètement incolores, mais je refuse de les colorer. Je suis le patriarche nom de Dieu ! Et puis d'ailleurs, Dieu m'a fait ainsi, je respecte.
Il m'a fait aussi avec les yeux bleus, très clairs. Comme un vrai Américain ! Ouais ! Et j'ai même pas besoin de lunettes.

Mon dada, pour les fringues, c'est le papier transfert. Un beau t-shirt blanc et hop, un instant plus tard, y'a un beau drapeau dessus. J'affiche mon amour, moi !
Sinon, je mets souvent des vestes en cuir, façon aviateur de la seconde guerre, et les lunettes noires qui vont avec. Oh ouais...
Bien sûr, dans mon nouveau job, je vais devoir porter un uniforme. Mais ça m'empêchera pas de profiter de mes week ends pour me fringuer comme je veux et en cas de petit froid, je pourrai mettre mon cuir par dessus. Et même les lunettes, n'importe quand !


Biographie du professionnel:

Je suis né dans l'Etat de New York, à New York, Manhattan. Mon père était soldat dans l'armée américaine des Etats-Unis d'Amérique et ma mère m'a élevé, tout comme mes cinq frères et sœurs. J'étais un peu au milieu de la fratrie, alors j'ai eu beaucoup de choses recyclées. Mais c'était normal, et puis mon père il faisait son maximum pour nous ! Chacun d'entre nous a eu son propre vélo et il a assisté à presque tous mes matchs de football américain, comme je le fis plus tard avec mes fils.
Mon enfance n'est pas des plus passionnantes, je vais donc passer rapidement dessus. J'ai été élevé bien comme il faut, dans les lois de la Justice et de Dieu. J'ai eu quelques petites amies, de bons potes, mais ma vie a vraiment commencé à mes dix huit ans.

Je m'engageai alors pour deux ans dans l'armée des Etats-Unis d'Amérique. Ce fut sans doute les deux années les plus palpitantes de ma vie, car j'y appris tellement ! C'est dans cet environnement que je forgeai ma propre personnalité. A la sortie, j'étais moi.
A vingt ans, je suivis une formation pour entrer dans le SWAT et y servis jusqu'à mes vingt six ans. A vingt et un ans, je fis la rencontre de ma femme. Ou plutôt, je la rencontrai de nouveau. Car c'était avec elle que j'avais fait le bal de promo du lycée. Caroline. Blonde, jolie, mince, avec un caractère doux.
Nous nous mariâmes au printemps suivant et elle tomba enceinte quelques mois après. J'hésitais alors à rester dans le SWAT mais Caroline me convainquit. Après tout, elle continuait bien à travailler au World Trade Center. Je profitai néanmoins de son congé maternité pour chercher avec elle, lors de mes rares temps libres, un terrain à construire dans une jolie banlieue proche de New York.
A la naissance de Junior, je pris deux ans de congé pour construire cette maison, comme l'avait fait mon père avant moi, et son père avant lui, etc... A la fin de ces deux années, j'avais réussi mon exploit et n'en était pas peu fier ! Nous eûmes à peine le temps de nous installer que Caroline m'annonça de quoi me rendre le plus heureux des hommes : elle attendait un nouvel enfant !
Un an après la venue au monde de Tommy, je quittai le SWAT pour me reconvertir. J'obtins une licence de détective privé et achetai un bureau à Manhattan. Ce n'était pas facile pour moi de concilier ma vie de famille et mon travail avec les déplacements constants, mais Caroline était compréhensive et je parvenais à être toujours là aux repas de famille, aux fêtes et aux matchs de baseball de Junior.

A mes vingt sept ans, je me retrouvai père d'une petite fille, Karen. Cette année marqua donc une nouvelle joie, mais aussi ma plus grande tristesse. La mort de Caroline.
Elle travaillait au World Trade Center quand l'attaque terroriste eu lieu. 11Septembre, date à jamais funeste. Je me dis toujours que si j'avais encore été au SWAT, peut être que... Et si elle n'avait pas repris le travail... J'aurai dû l'en empêcher, sa place n'était pas dans un bureau tout gris, mais dans la jolie maison colorée que j'avais bâtie de mes mains.

Suite à ce drame, je vendis la maison et m'installai avec les enfants à Manhattan, dans un grand appartement, situé près de mon bureau. Mais le métier de détective privé était plein de contraintes, surtout pour un père célibataire. Je décidai donc de me reconvertir à nouveau.

Ma haine du terrorisme et mon amour pour mon pays me conduisit finalement à postuler pour DearDeath, en tant que gardien. J'obtins assez rapidement le job, avoir fait partie du SWAT était certainement un atout considérable.
J'achetai une maison dans le village le plus proche de la prison, afin de pouvoir rentrer tous les soirs, si mes horaires le permettaient, voir mes enfants. L'année prochaine, Junior partira pour l'Université. Je compte bien le mettre dans la meilleure et j'espère que ses résultats le lui permettront. Ce n'est pas facile pour eux, ils doivent se contenter de cours par correspondance car le lycée est bien trop loin. Mais leur nounou s'occupe bien d'eux, j'en suis sûr. Et puis, je leur ai acheté un chiot pour les consoler un peu.

Avec moi, dans cette prison soit disant de l'horreur, ça va filer droit, ça va filer Américain !


Info : DC Ulrick Gantley

Revenir en haut Aller en bas
Ayame Shizuka
Psychologue
Psychologue
Ayame Shizuka

Date d'inscription : 13/07/2012

Mon personnage
Âge : 23
Nationalité : Américano - Japonaise
Fréquentations :

GI Joe, l'Américain trop américain Empty
MessageSujet: Re: GI Joe, l'Américain trop américain   GI Joe, l'Américain trop américain Icon_minitimeMer 26 Fév - 20:32

Re-bienvenue, donc  Wink 

Et à défaut de chambre, tu trouvera la 'Maison Joe' au village ...
Revenir en haut Aller en bas
https://deardeath.forumactif.fr
 

GI Joe, l'Américain trop américain

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» "Ne t'approches pas trop, c'est sombre à l'intérieur"
» "Trop de lecture peut étouffer le génie" - Ulrick et Neil -
» [FERME] Idée de sujet plutôt précise mais pas trop quand même

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Deardeath Jail ::  :: Dossiers d'Admission :: Dossiers d'Admission des professionnels :: Dossiers retenus-