Nom:Lady Prénon:Alice Sexe:Féminin Âge:16 ans Origine: Orphelinat de Liverpool, adoptée par plusieurs familles (dont les « Lady ») Nationnalité: Anglaise Casier judiciaire: Assassinat Poids: 42 kg Taille: 1m64

C’était il y a 11 ans je crois. C’est à partir de là que j’ai des souvenirs a peu près net. Je n’ai jamais connu mon vrai papa et ma vraie maman. Enfin…je n’ai pas de souvenir d’eux. Je me souviens de la grande maison avec beaucoup d’enfants. Hm…ils étaient…comment dire…loin de moi. Ils ne voulaient pas m’approcher. Pour eux j’étais une anomalie, une sorcière. Ils me lançaient des pierres et les dames qui s’occupaient de nous ne disaient rien. D’ailleurs…pourquoi elles rigolaient ? Lancer des pierres…c’est amusant ?
10 ans, toujours pas de famille d’adoption : Le professeur ne faisait que me gronder. Même lui parfois rigolait. Un jour…il m’avait prise par le bras et plaquer contre une table. Les autres enfants n’étaient pas là. J’étais seule sans l’être. Puis ces mains…froides… il m’avait touché.
12 ans : Une…famille ? Une dame et un monsieur ? Tiens ! Une petite fille ? Lily ? Elle serait…ma nouvelle petite sœur ? Remarque, on avait le même âge. Enfin, j’allais peut-être avoir une maison. Au début ça allait, mais après ma « sœur » était devenu bizarre : elle me volait mes vêtements, mes stylo, mes dessins, etc. puis quand elle faisait une bêtise, elle disait que c’était moi. Alors mon « papa » et ma « maman » me punissaient très fort. Le jour où ils m’ont dit adieu, c’était quand ma sœur était sorti de l’hôpital, car celle-ci avait tenté de me noyer dans la piscine. Au final on était tombée toute les deux. Moi je flottais, et elle ben elle s’amusait à regarder l’araignée morte au fond de la piscine. …je n’avais pas compris pourquoi on l’avait enfermée sous terre et aussi pourquoi les gens pleuraient sur sa boite de bois.
De 15 à 16 ans : Encore une maman et un papa ? Mr et Mme Lady. Ils avaient l’air…ni gentil ni méchants. Et puis…en regardant mieux le monsieur…c’était le professeur. Une sensation m’étais revenue : la peur. C’est comme ça que ça s’appelle je crois. Ils voulaient la fille parfaite qu’ils disaient. Les premiers jours il c’était rien passer de spécial. Puis une fois…papa était rentré dans ma chambre. J’entendais le bruit de l’appareil photo. Je n’ai pas osé bouger. Après, j’ai entendu maman et papa se disputer à mon propos : elle avait trouvé les photos. Depuis…maman me tapait. Elle disait être jalouse de moi…mais c’est quoi être jaloux ? Dès que maman ou papa me faisait mal, je me répétais « je suis une lady, je dois être gentille, je ne dois pas taper ». Dans le noir presque total, papa et maman me faisait mal. Et puis…et puis…
« Ta vue deviens rouge. Tu en veux. Du sang. Tu as pris les ciseaux les plus proches, et tu les as poignarder Alice. 34 coups de couteau pour madame, et 58 pour monsieur. Le tout accompagné d’un rire exquis que je n’oublierais jamais. En revanche, toi, Alice, tu ne te souviendras de rien. Car c’est moi le marionnettiste, et toi ma marionnette ».